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20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 15:52
Le livre du jour

"C'est l'histoire de Mohamed, un gamin des banlieues qui a eu - dès sa naissance - de sérieux problèmes au grand dam de sa mère Malika (une lionne) et de Karim, son papa, qui avoue avoir tout plaqué pour s'occuper de lui ("Un instinct de survie, pour mon fils").

 

Premier problème ? Le petit Mohamed ne s'alimente pas jusqu'au jour où le miracle se produit. Il accepte enfin de manger un petit pot carottes-saumon de la marque Carrefour.

 

Commence alors une épopée de plusieurs années où les supermarchés de la région parisienne sont dévalisés par la famille et les amis par cartons entiers.

 

Même les employés des magasins de l'enseigne rejoignent cette chaine de solidarité afin de nourrir Momo qui refuse catégoriquement d'avaler quoi que ce soit d’autre.

 

Autre problème : le petit garçon passe son temps à sauter et à hurler mais ne parle pas jusqu'au jour où - à sept ans révolus -, il prononce son premier mot : « Maman".

Le coeur de Malika s’emballe.

 

Mais les problèmes s'enchainent jusqu'au jour où Mohamed se pique au jeu des échecs où il se compare à la tour, pour sa capacité à se déplacer à l'horizontale et à la verticale. Sans coups tordus. Son père s'incarne dans le roi, et sa mère, dans la reine.

 

Et Assia ? Mohamed sourit, entremêle ses doigts. Son regard se fait fuyant. Il n'ose pas avouer qu'il associe sa soeur au fou pour son côté "électron libre ».

 

La suite - merveilleuse - est à découvrir dans ce livre.

Bonne lecture.

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
15 juin 2022 3 15 /06 /juin /2022 10:58

04-18-CP-G-Bouret-copie.jpg

"L'auteur est né le 18 avril, le jour de la Saint-Parfait. 

 

  Après avoir tenté sa chance au cinéma (coupé au montage) et à l’écriture d’un roman (non publié), il a été représentant pour les piles Energizer, les huiles de protection solaire Hawaiian Tropic et les cuisines Schmidt.

 Parallèlement, il a tenté de s’imposer dans le sport de haut niveau notamment dans le tennis (une défaite cruelle contre un retraité - récent - mit fin à ses rêves) et la course à pied (une arrivée hors-délais au marathon de Paris eut raison de ses ambitions). Depuis, il s’essaye au cyclisme.

 Section amateurs.

 

 En 2010, un repas épique avec sa Mamie va bouleverser sa vie. Il décide sur le champ de se lancer à coeur perdu dans les affaires culturelles** avec la ferme intention de proposer un tour de chant où les spectateurs retrouveront – tour à tour -, les jolis souvenirs de leur vie.

 Un voyage féérique, nostalgique et thérapeutique en somme, où sa Mamie mène la danse de la vie.

 

 Après toutes ses expériences ratées et à l’orée d’une carrière qu’il espère prometteuse, il est aujourd’hui serein. En paix avec lui-même. Comme dit sa Mamie, il a trouvé sa légende personnelle. Son chemin.

 Enfin.

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
28 mai 2020 4 28 /05 /mai /2020 21:39

RIP

RIP

"Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...

Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul...

Quand le temps s'arrêtera...

Je t'aimerai encore.

Je ne sais pas où, je ne sais pas comment...

Mais je t'aimerai encore.

D'accord ?

A Guy Bedos et à Jean-Loup Dabadie.

Immense merci.

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 15:30
Madeleine et Léo Ferré

"Comment voulez-vous que j'oublie... d'Annie Butor.

 

 Ma mère se souvenait de leur rencontre, extrait : "Il était une fois à Paris un bistrot ouvert toute la nuit. La clientèle ? Chaufeurs de taxis en rupture de compteurs, peintres sans galerie d'exposition, écrivains sans éditeurs, chanteurs sans voix, putains sans clients, pigistes sans chiens écrasés... J'avais vingt-six ans, un divorce sans importance et une passion qui s'essoufflait.

 Il est entré, incolore dans son imperméable beige, l'écart des dents de la chance éblouissant son. sourire d'enfant, un air d'Ailleurs. Il me tend la main, je lui offre une Pall Mall, il s'assis calmement face à moi. Nos destins étaient joués, gagnés, perdus.

 Puis tu m'as dit "A demain" comme on dit "de toute éternité".

L'éternité, c'était lui.

 Je le revois dans sa veste de pingouin à carreaux noir et blancs qui ne t'allaient pas du tout. Mais Dieu, que je te trouvais beau !"

 Ils ne se quittèrent plus pendant dix-huit ans.

Ce fut entre eux, immédiatement, un amour fou, une incroyable complicité intellectuelle ; une entente physique totale. J'ai cru au grand amour en les voyant se regarder.

 Leur amour irradiait.

 Seul les sous manquaient, ces fameuses "fins de mois qui reviennent sept fois par semaine". Nous vivions d'amour, d'eau fraîche, de spaghettis et d'espoir. L'amour, "ça pousse à la maison", allait bientôt chanter Léo dans la chanson "Paris-Canaille", qui lui apportera un. début de célébrité.

Je me souviens des ballades au bois de Boulogne qui restent à jamais le souvenir même du bonheur.

Je me souviens aussi de nos vacances en Bretagne où toute notre bande allait se baigner en chantant "La Paimpolaise".

Je me souviens du camping dans les Alpes. Léo  a écrit dans un recueil :

"Rappelle-toi

Cette neige de nuit avec mes cheveux gris

Ma mère et moi, nous nous sommes longtemps rappelé...

 

Ma mémoire est faite de chansons

Léo aimait les Beatles et ne détestaient pas les voix de Françoise Hardy et de Sheila.

Il aimait Trénet et Aznavour et se moquait de l'"abbé Brel" quand il entendait "Je t'offrirai des perles de pluie venue d'un pays où il ne pleut pas"....

 "Cela ne veut rien dire !"

Il aimait les films policiers, les westerns, les films à grand spectacle. Il m'emmena voir Les dix commandements, Le train sifflera trois fois, Ben Hur, me fit apprécier Charlton Heston. En revanche, il faisait la grimace, haussait les épaules lorsque je fondais d'admiration devant Burt Lancaster ou Raf Vallone. Il me parla de Chaplin, de Garbo, et de Danielle Darrieux dont il avait tant admiré la beauté.

Grâce à Léo, au cours de ces années passées à ses côtés, j'ai vécu naturellement entourée de musique et de poésie.

Comment voulez-vous que j'oublie ?

L'année 1954 fut un bon cru. "Le piano du pauvre", "Paris-Canaille", L'Homme", de véritables succès populaires qui nous ont permis de vivre plus aisément.

 Mouloudji, Catherine Sauvage, Jacques Douai, Eddie Constantine, Jacques Loussier, Les Garçons de la Rue, les Compagnons de la Chanson, les Frères Jacques venaient apprécier les diners de ma mère. Je les revois à la maison, autour du piano, en costume de ville répéter "L'homme" ou "Monsieur William".

La suite prochainement.

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
22 novembre 2018 4 22 /11 /novembre /2018 14:30
#Merci Prof#Merci Prof

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 13:53

lisette"Trois hommes travaillent sur un chantier.

Un passant demande :

 "Que faites-vous, braves gens ?"

'Je gagne mon pain', dit le premier

'J'exerce mon métier', dit le second

'Je construis une cathédrale', dit le troisième.

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
10 mars 2008 1 10 /03 /mars /2008 15:57

ii3t3hnb"Ecoute-moi, mon fils.



 Tandis que je te parle, tu dors la joue dans ta menotte et tes boucles blondes collées sur ton front moite.

 Je me suis glissé seul dans ta chambre.

 Tout à l’heure, tandis que je lisais mon journal dans le bureau, j’ai été envahi par une vague de remords. Et en me sentant coupable, je suis venu à ton chevet.

 "Et voilà à quoi je pensais mon fils : je me suis fâché contre toi aujourd’hui. Ce matin tandis que tu te préparais pour l’école, je t’ai grondé parce que tu te contentais de passer la serviette humide sur le bout de ton nez ; je t’ai réprimandé parce que tes chaussures n’étaient pas cirées ; j’ai crié quand tu as jeté tes jouets par terre.

 Pendant le petit déjeuner, je t’ai encore rappelé à l’ordre : tu renversais le lait ; tu avalais les bouchées sans mastiquer ; tu mettais les coudes sur la table; tu étalais trop de beurre sur ton pain. Et quand au moment de partir tu t’es retourné en agitant la main et tu m’as dit : "Au revoir, papa !", je t’ai répondu en fronçant les sourcils : "Tiens toi droit !". 

 Le soir, même chanson.

 En revenant de mon travail, je t’ai guetté sur la route. Tu jouais aux billes, à genoux dans la poussière, tu avais déchiré ton pantalon.

 Je t’ai humilié en face de tes camarades, en te faisant marcher devant moi jusqu’à la maison… "Les pantalons coûtent cher ; si tu devais les payer, tu serais sans doute plus soigneux !"

 Tu te rends compte, mon fils ? De la part d’un père ! 

 Te souviens tu ensuite ? Tu t’es glissé timidement, l’air malheureux, dans mon bureau, pendant que je travaillais. J’ai levé les yeux et je t’ai demandé avec impatience : "Qu’est-ce que tu veux ?"

 Tu n’as rien répondu, mais dans un élan irrésistible, tu as couru vers moi et tu t’es jeté à mon cou, en me serrant avec cette tendresse touchante que Dieu à fait fleurir en ton cœur et que ma froideur même ne pouvait flétrir…

 Et puis tu t’es enfui, et j’ai entendu tes petits pieds courant dans l’escalier. "Hé bien ! mon fils, c’est alors que le livre m’a glissé des mains et qu’une terrible crainte m’a saisi. Voilà ce qu’avais fait de moi la manie des critiques et des reproches : un père grondeur ! Je te punissais de n’être qu’un enfant. 

 Ce n’est pas que je manquais de tendresse, mais j’attendais trop de ta jeunesse ; je te mesurais à l’aune de mes propres années.

 Et pourtant, il y a tant d’amour et de générosité dans ton âme. Ton petit cœur est vaste comme l’aurore qui monte derrière les collines. Je n’en veux pour témoignage que ton élan spontané pour venir me souhaiter le bonsoir. Plus rien d’autre ne compte maintenant mon fils. Je suis venu à ton chevet, dans l’obscurité, et je me suis agenouillé là plein de honte. 

 C’est une piètre réparation ; je sais que tu ne comprendrais pas toutes ces choses si tu pouvais les entendre. Mais demain, tu verras, je serai un vrai papa ; je deviendrai ton ami ; je rirai quand tu riras, je pleurerai quand tu pleureras.

Et si l’envie de te gronder me reprend, je me mordrai la langue, je ne cesserai de me répéter, comme une litanie : "Ce n’est qu’un garçon… un tout petit garçon !"

 

 J’ai eu tort, je t’ai traité comme un homme. Maintenant que je te contemple dans ton petit lit, las et abandonné, je vois bien que tu n’es qu’un bébé. Hier encore, tu étais dans les bras de ta mère, la tête sur ton épaule… J’ai trop exigé de toi.

 Beaucoup trop.

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 14:55

lisette"Cher fils, Nou mbada ?

Je t'écris ces lignes pour que tu saches que je t'écris. Alors, si tu reçois cette lettre, c'est qu'elle est bien arrivée. Si tu ne la reçois pas, tu me préviens pour que je te la renvoie.

Je t'écris lentement parce que je sais que tu ne lis pas très vite. L'autre jour, ton père a lu que selon les enquêtes la plupart des accidents arrivent à 1 km de la maison, ainsi nous nous sommes décidés à déménager plus loin. 

La maison est superbe; elle a une machine à laver, mais je ne suis pas sûre qu'elle fonctionne. Hier, j'ai mis le linge dedans, j'ai tiré la chasse et je n'ai plus vu le linge depuis, mais bon. Le temps ici n'est pas trop mauvais. La semaine dernière il a plu seulement deux fois. La première fois, la pluie a duré 3 jours, la deuxième 4. 

A propos de la veste que tu voulais, ton oncle Ibrahima m'a dit que si nous te l'envoyons avec les boutons, comme ils sont lourds, ça coûterait plus cher, alors nous avons enlevé les boutons et les avons mis dans la poche.

Je te raconte que l'autre jour, il y a eu une explosion de gaz dans la cuisine, et ton père et moi sommes sortis propulsés dans l'air au dehors de la maison : quelle émotion ! c'est la première fois que ton père et moi sortons ensemble depuis des années.

Le médecin est venu à la maison pour voir si nous étions bien et il m'a mis un tube en verre dans la bouche.Il m'a dit de me taire pendant 10 minutes, ton père lui a proposé de lui racheter le tube. Et puisqu'on parle de ton père, je t'annonce qu'il a du travail, il en est fier, il travaille au-dessus d'à peu près 500 personnes. Ils l'ont pris pour couper le gazon dans le cimetière. 

Ta soeur Youmané, celle qui s'est marié avec son mari, elle a enfin mis au monde, mais on ne sait pas encore le sexe, je ne saurais te dire si tu es oncle ou tante. Ton père a demandé à ta soeur Youmané si elle est enceinte, elle lui a dit que oui, de 5 mois déjà; mais là, ton père a demandé si elle était sûre qu'il était d'elle, elle lui a dit que oui. Quelle fille solide, quelle fierté, tel père, telle fille ! Ton cousin Poulho s'est marié et il prie tous les jours devant sa femme, parce qu'elle est vierge.

Par contre, on n'a plus revu l'oncle Amadou, celui qui est mort l'année dernière.

Ton chien Gnouky nous inquiète, il continue à poursuivre les charrettes à l'arrêt. Mais ton frère Diagana, c'est pire. Il a fermé la voiture et il a laissé les clefs à l'intérieur. Il a dû aller chez lui chercher le double pour nous sortir de là.

Bon mon fils, je ne t'écris pas l'adresse sur la lettre, je ne la connais pas. En fait, la dernière famille qui a habité ici est partie avec les numéros pour les remettre dans leur nouveau domicile.

Si tu vois Fatimata, passe lui le bonjour, si tu ne la vois pas, ne lui dis rien.
Ta mère qui t'adore.

PS : J'allais te mettre quelques sous, mais j'ai déjà fermé l'enveloppe. 

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
17 février 2007 6 17 /02 /février /2007 13:58
lisette"C'est l'histoire d'un bûcheron qui est embauché sur un chantier où il est payé à la tâche.

Le premier jour il abat 20 arbres, remportant l'admiration de tous.

Le deuxième jour, il en abat 19, sous un tonerre d'applaudissements.

Le troisième jour, malgré ses efforts, il n'en coupe que 16.

Le quatrième, épuisé, après avoir coupé douze arbres, il confie au contremaître qu'il ne comprend pas. Malgré ses efforts, ses performances diminuent.

Le contremaître lui dit alors : "Depuis combien de temps n'as-tu pas affuté ta hâche ?

Fin de l'histoire.
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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire
4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:30

banque.jpg







"Un jour Mr Loubrac Mangin demanda à Mme Couffignal d’imaginer qu’elle gagne un concours dont le prix est le suivant :

« Chaque matin une banque t’ouvre un compte créditeur de 8 640  €. Mais tout jeu ayant ses règles celui-ci en a deux : la première règle est que tout ce que tu n’as pas dépensé dans la journée t’es enlevé le soir, tu ne peux pas tricher, tu ne peux pas virer cet argent sur un autre compte, tu ne peux pas le dépenser, mais chaque matin au réveil, la banque t’ouvre un nouveau compte, avec de nouveau 86400 € pour la journée ; La seconde règle est que la banque peut interrompre ce petit jeu sans préavis, à n’importe quel moment. Elle peut te dire que c’est fini, qu'elle ferme le compte, qu’il n’y en aura pas d’autre.

Qu’est-ce que vous feriez Mme Couffignal si tous les matins vous aviez 86400 € avec pour seule contrainte de les dépenser dans la journée, le solde utilisé étant repris quand vous allez vous coucher, mais ce don du ciel peut s’arrêter à tout moment, que feriez-vous de ce don ?"

 

Mme Couffignal répondit spontanément qu’elle dépenserait chaque euro à faire plaisir et à offrir quantité de cadeaux aux gens qu’elle aimait. Elle ferait en sorte d’utiliser chaque centime offert par cette banque magique pour apporter du bonheur dans sa vie et dans celle de ceux qui l’entouraient. Même auprès de ceux que je ne connais pas d’ailleurs car je ne crois pas que je pourrais dépenser pour moi et mes proches cette somme, mais ou voulez-vous en venir Mr Mangin ? » 

 

 « Mme Couffignal, dit Mr Mangin, cette banque magique, nous l’avons tous. C’est le temps. La corne d’abondance des secondes qui s’égrènent. En effet, chaque matin, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et le soir lorsque nous nous endormons, il n’y a pas de report à nouveau.

Ce qui n’a pas été vécu dans la journée est perdu.


Chaque matin cette magie recommence, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie  et nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à tout moment, sans aucun préavis. Alors qu’en faisons nous de nos 86400 secondes quotidiennes ? Les  secondes de vie ne sont-elles pas plus importantes que des euros ? »
 

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Published by Régis IGLESIAS - dans La belle histoire

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin