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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 00:04
Marathon de Milan

La tactique était simple : attaquer devant le stade de San-Siro (théâtre des exploits de l'OM), mettre les Kenyan à l'amende - Olé ! - avant de filer vers la terre promise et de brandir (excusez du peu !) le tee-shirt où était écrit - en grosses  lettres - "Nous sommes tous Charlie." Quel message. Quelle victoire. Et quelle fierté de dire ensuite que...

 nOui mais non.

Qu'écrire ? Un jour "sans", une chaleur accablante, une cause trop grande, le romantisme de la ville, que sais-je ? Peut-être un peu des quatre. Mais la vérité est terrible : impossible d'accélérer pour jouer la victoire finale. Incapable - encore une fois ! - de suivre les Kenyans. Et ça continue encore et encore, c'est que le début d'accord d'accord...

Du coup, j'ai préféré resté dans le grupetto.

Foutu pour foutu.

 

 Seulement voilà, j'écris ça pour les mauvaises langues, la vérité c'est que c'était une tactique délibée. L'important était ailleurs, l'important était de redire - encore et encore... - que Nous sommes tous Charlie.

Le reste n'est que littérature.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 19:37

timthumb.php"Le marathon de la Rome des Alpes.

 

 Le départ a lieu au bord du lac. Là, las, c'est parti pour pour plus de 42 km - en chantant ! - au milieu de paysages changeants.

 Des faux-plats comme s'il en pleuvait, une ambiance magique et une arrivée tout en couleurs à deux pas d'Annecy le vieux.

 La fin ? Une bière bien fraîche pour saluer le retour sous les 3 h 30 - 3 h 25 ! - et un dimanche merveilleux mais qu'est-ce que la course fut dure.

 Le reste n'est que littérature.

 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 12:48

Venise2.jpeg"La ville éternelle.

 

 Un départ dans la campagne, une campagne somme toute très ordinaire mais vous savez ce qu'on dit : "La campagne, ça vous gagne !"

La suite ? On longe la mer, les voies de chemin de fer puis on arrive dans la ville éternelle pour une vue imprenable sur les gondoles et sur les ponts.

 Les ponts ? Il y en a 27.

Et pas un de moins !


 Le temps ? Il n'existe pas à Venise alors les mauvaises langues diront que 3 h 52, ce n'est quand même pas terrible.

Savent-ils que l'organisation m'a placé en dernière ligne ? Et qu'il a fallu doubler des milliers de coureurs pour se replacer dans la course, abandonnant au passage toutes chances de victoire finale ?

 La course ? Une ballade dans les rues vénitiennes avec un passage sur la place Saint-Marc et le détour des plus beaux monuments. 

 Le top.


 Résultat de la course, après "Voir Venise et mourir", nous avons inventé un nouveau slogan...

"Voir Venise et courir !"

Et toc.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 17:49

Marathon-Arles.jpg"La fin du monde.

 

 Un marathon de dingue avec la bagatelle de 18 km sur les petits chemins - qui sentent la noisette -, 15 km de trail dans la montagne, un froid de canard et une pluie diluvienne qui empêche aux petits gabarits comme bibi de tirer leur épingle du jeu avec une course bouclée en 3 h 50.

 Bref, pour le résultat, on repassera.

 

 Dario Secoïa m'a dit, je ne fais que citer : "Personne en moins de trois heures, c'était un marathon pour les retraités ?" "Un marathon pour les courageux, monsieur, mais difficile de finir dans le premier wagon".

 Quant à la victoire n'en parlons même pas.


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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 22:38

Cannes7"Le marathon de la méditerranée.

 

 La tactique était simple : tenir les Kenyans jusqu'à Antibes sans leur laisser un pouce de terrain et là - dans la montée -, placer une attaque au deuxième virage. Imparable !

Oui mais non.

Le stress. La fatigue. Le manque d'entraînement. Le froid. La pluie. Le genou qui déraille. La rate qui se dilate. La pleine lune.

 Un mauvais jour, en somme.

Et une nouvelle victoire d'un kenyan au bout.

Dommage, après tout.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 18:16

Marathon Barcelone"Barcelone., printemps 2012.

 

Un marathon en mémoire de :


Gabriel Sandler 4ans ; Arieh Sandler 5 ans ; Jonathan Sandler 30 ans ; Myriam Monsonego 7 ans

 

Toulouse, 19 mars 2012


 

Abel Chennouf 25 ans ; Mohamed Legouad 24 ans


Montauban, 15 mars 2012


 

Imad Ibn Ziaten 30 ans  

 

Toulouse, 11 mars 2012

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 12:04

marathon"Marseille l'insoumise. 

 

Dix-huit ans à vie. C'est écrit dans tous les livres d'Astrologie. Le bélier est un éternel enfant, un gamin, un mioche, un sale gosse. Pas très fut-fut en somme mais plein de fraîcheur et de folie. Une folie qui m'a poussé dimanche sur les routes de Marseille avec la ferme intention de gagner le marathon.

 
La tactique était simple : suivre les kenyans jusqu'au 30 ème km puis porter l'estocade sur le Vieux-Port au niveau du bar de la marine pour filer vers la terre promise. Imparable ! 


J'ai explosé au 2ème km avant de finir - en roue libre -, une bonne heure après le vainqueur. Dommage, après tout. J'avais pourtant bien préparé mon coup. J'avais oublié simplement que j'avais deux fois dix-huit ans...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 17:33
59463 1638359522508 1342364843 31722194 4082267 n"Médoc, automne 2010.

 

 Le thème pour l'édition 2010 est les personnages de bandes dessinées.

Avec Vincent et Arnaud, on se retrouve sur la route accompagné des Dalton, de Bécassine, des Dupond, d'Astérix, de Maya l'Abeille, des Bioman et de Dark Vador pour ne citer qu'eux pour le marathon le plus long et le plus folklore de l'histoire du monde.

 Un moment inouï !

 

 Temps officiel : 4 h 44.

Mais si on décompte les 23 arrêts pour goûter les grands crus, le stand fromage, le boudin (deux tranches), les huîtres (deux douzaines), l'entrecôte (500 grammes) et la pause pipi (dix gouttes), le temps effectif passe à 2 h 24, soit ni plus ni moins que le meilleur temps de l'épreuve.

 La gagne, en somme.

 Ce qui veut dire qu'avec un peu plus de rigueur, je repartais avec 67 kilos de pinard.

 Dommage, après tout.


 Mais pour réaliser une bonne performance, on est parti trop tard.

Peut-être en hommage à Tonton, parti trop tôt... 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 11:52

geneve.jpg"Genève.

 

 Sur la ligne de départ, il y avait les Kényans, personne ne s'est mis à côté, comme si les participants avaient peur d'eux...

  Moi je n'avais pas peur d'eux, ils ne m'impressionnent pas ces mecs-là. Je me suis mis au milieu et ils ne m'ont même pas regardé. Quand j'ai fait quelques étirements, ils ont commencé à me prendre au sérieux. Après avoir entamé une série de pompes, j'ai vu la peur dans leurs regards.

 Ils avaient la trouille !

  

 Je voulais leur montrer que j'étais le plus fort et que j'allais les mater.


 La tactique ? Elle était simple : les suivre jusqu'au 30 ème km et placer une attaque dans la montée de la Rade. Imparable.

 J'ai explosé au 2ème km. Dommage. Qu'importe, j'ai défié les Kényans, on peut le dire.

 Et j'ai perdu, on peut le dire aussi...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon
17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 15:00
8039644-1-.jpg"Marseille.

Un départ à côté du stade vélodrome, un petit plat, le temps de se chauffer et s'est parti pour la montée...

Longue. Belle. Éternelle. 

Puis s'est la grande descente jusqu'au port de Cassis et la plongée dans la foulée dans la méditerranée.

Un rêve de gosse...

 Comme l'était peut-être le rêve  de Félix Carvajal, un des personnages les plus truculents de l'histoire des marathons. Personne n'avait entendu parler de lui avant le 30 août 1904, jour du marathon olympique de Saint-Louis, et personne n'entendit plus parler de lui après. Particulièrement fier de son endurance, il décida de participer à l'épreuve lorsque la nouvelle parvint à Cuba.
 
 Comment ce petit homme filiforme très brun de peau, déjà âgé de 29 ans et haut de 1,52 m qui ignorait tout de l'athlétisme et vivait dans une île isolée, éprouva-t-il pour cette compétition encore sans grand prestige un attrait irrésistible ? Mystère !

 Quoi qu'il en soit, Carvajal dut résoudre un important problème pour mettre son projet à exécution. Un problème qui tenait en une seule question : comment se rendre à Saint-Louis ?

 Voici la solution que trouva notre facteur : son travail terminé, il visita les jardins publics de La Havane et décrivit des cercles en courant ; lorsqu'il jugeait le nombre des badauds intrigués par son manège, il montait sur une caisse de bois et déclarait à la cantonade : "Je veux aller à Saint-Louis pour gagner le marathon ! Aidez-moi parce que je n'ai pas un peso !"
 Autre mystère, il parvint ainsi à ses fins.

 Débarquant à la Nouvelle-Orléans, il se trouva rapidement impliqué dans une partie de dés au cours de laquelle il perdit le peu qu'il possédait. Vivant de combines et de mendicité, parcourant 1000 kilomètres en auto-stop pour parvenir à Saint-Louis, il toucha néanmoins au but à temps.


 Une fois sur place, il devint la mascottes des lanceurs de l'équipe des États-Unis. Les géants américains partagèrent leur nourriture avec lui et hébergèrent le petit Cubain en essayant de lui inculquer quelques principes de vie saine et d'entraînement.
 
 La vérité oblige à dire que Carvajal ne fut pas un très bon sujet. Pour lui, courir était un acte instinctif. Il n'y avait pas à sortir de là et il ne voulait pas entendre parler de stratégie.
 En revanche, il ne se fit jamais prier pour échanger des plaisanteries avec ses hôtes et raconter des histoires dans un anglais rudimentaire. Bref, il continua de mener la même vie décousue et fantaisiste.

 Et c'est avec une température de 32° et alors que le taux d'humidité atteignait 90% que Félix se présenta ensuite sur la ligne de départ curieusement accoutré.
 Porter une chemise de nuit avec de longues manches en guise de maillot, un pantalon au lieu d'un short et des chaussures de ville munies de gros talons n'est pas, on en conviendra, la meilleure façon d'aborder un marathon. Surtout par une chaleur pareille.

 Pourtant, c'est tout juste  si le Cubain permit à un policier New-Yorkais de couper avec des ciseaux les jambes de son pantalon à hauteur des genoux. L'opération prit quelque temps, et il est généralement admis que Carvajal partit avec un léger retard sur le peloton, libéré à 15 h 03.

 Il trotta en route avec désinvolture, exactement comme s'il accomplissait sa tournée habituelle dans les rues de la Havane.
 N'ayant pas d'entraîneur pour le conseiller, l'encourager ou réprimer sa fantaisie, il plaisanta avec les spectateurs et, comme on lui refusait quelques pêches, il en vola deux avant de s'enfuir en mangeant. Un peu plus loin, il grimpa dans un pommier et croqua plusieurs fruits verts.

 Sur la fin de la course, ces pommes troublèrent l'estomac de Carvajal. Tourmenté par des coliques, pris de crampes. Il fut contraint de se reposer longuement sur le bas-côté du chemin, ce qui ne l'empêcha pas de se classer quatrième. Ce fut aussitôt pour disparaître de la scène sportive.

 Par la suite, on s'accorda à penser que le fantasque Cubain, qui possédait sans doute les meilleures qualités athlétiques parmi les engagés, aurait aisément gagné le marathon pour peu qu'il ait fait preuve d'un peu plus de sagesse.

 Qu'importe, il avait réalisé son rêve...
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Published by Régis IGLESIAS - dans Marathon

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin