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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

O5CAGAA4GFCA62ZU.jpgAlvarez Lili était une sportive complète. Excellente joueuse de tennis, elle fut finaliste à Wimbledon en 1926, 1927 et 1928, et remporta le double de Roland Garros en 1929. Un petit revers coupé, un coup droit bien arrondi à l'espagnole et un mental en acier trempé...

Après une brillante carrière, Alvarez aurait pu prendre du repos bien mérité, mais c'était sans compter sur son désir de relever les challenges, parce que figurez-vous qu'elle était également championne d'Espagne de ski, où sa manière d'attaquer les pistes noires impréssionnait même les scandinaves...

Pour la petite histoire, elle fut aussi championne de patinage artistique et de billard...

Le tout, avant de remporter un rallye d'automobile, une championne hors du commun !

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

café"Le Masters.

 

 La finale du Masters de 1976 à Houston oppose l'espagnol Manuel Orantes au polonais Wojtek Fibak. En menant 2 sets à un et 4-1 dans la quatrième manche, le polonais est prés de l'exploit.

 Mais, la télévision américaine bouleverse soudain l'ordre des choses. Au changement de coté, comme elle le fait depuis le début du match, elle interroge une personnalité présente dans le public. C'est au tour de l'acteur Kirk Douglas de donner son avis : " Fibak et Orantes sont deux gentlemen du sport, mais au point où en est, je pense que le vainqueur sera Fibak ". A première vue, rien de très choquant. Mais le problème, c'est que l'interview était retransmisse en direct dans la salle. Et soudain, l'épouse de Kirk Douglas saisit le micro et déclare : "Attends ! Orantes n'est pas encore battu. Orantes est un grand lutteur, il va se battre jusqu'au bout pour gagner ! ". 

 L'espagnol sourit, se lève, serre les poings et retourne sur le court… Deux heures après, il remporte la finale du Masters ! Lors de la conférence de presse, Fibak déçu, déclarera : " Cette interview, c'était certainement une bonne idée…pour le public ". 

Morale de l'histoire : Orantes a gagné la finale des Masters grâce à l'épouse de Kirk Douglas !

Rideau.

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

images-6-.jpg"Le choc.

A la suite de cet article, vous allez comprendre aisément que le joueur qui nous a fait ces déclarations a préféré parler sous couvert d'anonymat car son témoignage est édifiant, morceaux choisis : 

"Arrive donc le fameux 13 octobre. Les Israéliens sont supposés si faibles (71ème au classement FIFA) que notre victoire ne fait guère de doutes. Houillier multiplie les déclarations présomptueuses, comme "J'ai déjà réfléchi à plusieurs projets de préparation pour le mondial."

Les médias aussi nous expédient avant l'heure aux États-Unis, "ça sent le hamburger", assure L'équipe.

Le stade n'est pas en reste, la sono diffuse L'amérique de Joe Dassin. La suite est connue : une défaite sur un but inscrit à 3 mn de la fin du match ! 
La faute à qui ? A Houllier ? A la presse ? Au public parisien dont Papin et Canto n'acceptent pas les sifflets ? Non : à nous les joueurs ! Trop de tensions, trop de prétention. Nous avons sous-estimé l'adversaire, nous ne l'avons pas respecté. surtout, ce groupe ne forme pas une équipe mais un assemblage d'individualités. Il manque de solidarité, d'amitié, de la plus élémentaire cohésion.

Mais revenons au 17 novembre 1993. Même stade. Même enjeu. Mêmes joueurs.

Cette fois, promis-juré, l'Amérique sera vraiment au bout ! Seul problème ; le stage préparatoire a été marqué par une "affaire Ginola". Plus isolé que jamais David s'est plaint publiquement d'être rejeté au profit du duo Canto-Papin. Houllier l'a sermonné, tout est rentré dans l'ordre mais en coulisse le malaise persiste. La suite ? Il ne reste que quelques secondes à jouer. La-bas, au loin, près du poteau de corner adverse, j'aperçois David. Il pourrait gagner du temps, dribbler, garder le ballon, il n'y a pas meilleur que lui pour ça, surtout dans cette zone du terrain. Non, il préfère centrer, loin, très loin et dans le vide. Les Bulgares récupèrent la balle, remontent le terrain...

Allez ce n'est pas bien grave, encore 20 secondes d'impatience...

Mais là, sur ma gauche un Bulgare s'avance, Kostadinov. Laurent tente de l'arrêter, l'autre tire. Une frappe de brute, omme il n'en réussira pas deux dans sa carrière. Le ballon heurte le dessous de la barre, pénètre dans le but. Lama est battu, la France humiliée. Une fois de plus, on pourra ranger les bouteilles de champagne... 
Pour être franc, je ne suis pas totalement abattu., un sentiment étrange, inavouable un soir de déroute prend le dessus : je n'ai pas l'impression que cette défaite soit vraiment la mienne, ni celle des joueurs de ma générations, cet échec est avant tout celui des joueurs cadres.

C'est aussi celui de Gérard Houllier, qui tourne en rond dans le vestiaire en répétant : "C'est pas possible, c'est un crime !" ces mots provoquent l'indignation de certains joueurs dont Sauzée, le fait d'avoir centré au lieu de conserver le ballon est un incident de jeu, un choix qui relève de l'incertitude sportive, non du code pénal. 
Cette élimination, si traumatisante soit-elle, marquera une rupture, un nouveau départ. Le groupe est si marqué par l'affront bulgare qu'il devra procéder par étapes pour relancer la machine :

1ère étape : Restaurer la confiance par des victoires.

2ème étape : Intégrer des jeunes.

3ème étape : Construire un groupe.

On connaît la suite...

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

café"La finale.

 

 A la suite de cet article, vous comprendrez aisément que le joueur qui nous a fait ces déclarations a préféré parler sous couvert d'anonymat car son témoignage est édifiant, morceaux choisis : 

  "C'est le match d'une vie, celui qui arrivera en tête de liste au moment des souvenirs. Le film, on le sait, commence par la fin... Il reste une minute à jouer. Les Italiens mènent au score. Ils se voient champion et ils ont raison : une minute à tenir, pour un fils du Calcio, c'est l'enfance de l'art, le b-a-ba du métier. Garder le ballon. Le passer. Le repasser. Tomber, grimacer. Avoir mal, ou faire semblant. Discuter, grapiller des secondes. Cinq, dix, quinze... J'ai connu, je l'ai fait. Comme Maldini, comme Albertini. Et ce soir, ils sont en face. Alors... Là-bas, près de leur ligne de touche, leurs copains remplaçants peuvent déjà se lever, bras dessus, bras dessous. J'entends des cris, des rires...

 Dégagement de Fabien. Le ballon s'élève. C'est à peine si j'y prête attention... Tête de Trezeguet, déviation vers Sylvain Wiltord. A quoi bon ? ... Un premier rebond, un deuxième, une frappe croisée de Sylvain... But ! C'est idiot mais j'ai un moment d'hésitation, je n'arrive pas à comprendre ce qui se passe. J'étais déjà dans l'après, défait, battu, noyé et voilà que Sylvain nous ramène à la surface. Il nous sauve." 


 Quand Robert Pires est entré en jeu en seconde mi-temps, il m'a tout de suite énervé. Nous étions encore menés, sans aucun espoir à mon sens, et il est venu à moi : "Ou est-ce que je dois me placer ? A droite ou à gauche ? " Mais je m'en foutais moi, de son placement ! La défaite menaçait, j'avais le moral à zero, j'ai crié : "Tu te débrouilles et montre-nous maintenant si tu es un grand joueur ou pas !" J'ai du le vexer : plus rien ne l'arrête ! En cours de prolongation, je l'apperçois qui file sur la gauche. Robert accélére, dribble, centre... David est là, David reprend, David marque, il nous offre l'euro !

 Le reste n'est que littérature..."

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43
images-7--copie-2.jpg

 

Les enquêteurs tirent au sort à raison de 20 pour cent par classe les noms des élèves qui seront étiquetés cas intéressant,, promet beaucoup. Les résultats sont communiqués fortuitement aux professeurs. Au cas où vous seriez intéressé... Les professeurs furent ainsi influencés à leur insu et il ne restait plus à ROSENTHAL qu'à attendre. Quatre mois plus tard, une série de tests fut effectuée, une autre à la fin de l'année scolaire ainsi qu'un an après.  Les résultats furent ahurissants : les élèves artificiellement sur valorisés avaient réalisé d'étonnants progrès par rapport aux autres enfants. Tel ce petit mexicain dont le quotient intellectuel a sauté de 61 à 106 en un an. D'élève retardé aux yeux du professeur, il est devenu élève doué. Même progression pour une autre petite mexicaine qui a vu son quotient intellectuel passer de 88 à 128. Et ce pour des dizaines d'autres enfants. A propos de ces cas intéressants, les professeurs, invités à donner leur appréciation insistaient sur leur gaieté, leur curiosité, leur originalité, leur adaptabilité.  Précisons que la progression des élèves n'est pas uniforme, elle est plus sensible la première année pour les plus jeunes des cas intéressants, la deuxième année pour les plus âgés. Pourquoi cette différence? Les petits sont en fait plus fortement influencés par le professeur et l'année d'après, lorsqu'ils changent de professeur pour un qui croit moins en leurs possibilités, ils ralentissent leur progression. Par contre, les grands, moins influençables, sont plus aptes à se maintenir d'eux-mêmes. L'enquête précisa le sort des élèves obscurs, ceux dont les noms n'avaient pas été soufflés aux professeurs. Leurs performances sont nettement moins bonnes que celles de leurs camarades. Mais il y a plus grave: si un de ces élèves se distingue du lot, il est automatiquement ramené par le professeur au niveau qui doit être le sien. Mieux encore: plus il fait de progrès, moins bien il est classé, sa performance n'étant pas attendue, est considérée comme indésirable puisqu'elle dérange les prévisions du professeur.(…)  Ainsi, pour que les élèves deviennent doués, la condition indispensable est que l'enseignant croie en eux. Il faut croire en la rose pour qu'elle puisse éclore...

C'est une bien curieuse expérience que fit un professeur américain de psychologie, R. ROSENTHAL: il convoqua un jour douze de ses élèves et distribua à chacun cinq souris grises en leur demandant de les dresser pendant quelques semaines à se débrouiller dans un labyrinthe. Ces souris avaient des capacités semblables mais il précisa à six des élèves que leurs souris avaient été sélectionnées pour leur remarquable sens de l'orientation. Aux autres, il confia qu'il n'y avait rien à attendre de leurs animaux pour des raisons génétiques. Les résultats furent saisissants: les souris sur valorisées se révélaient étonnamment douées tandis que les souris sous estimées restaient pratiquement à leur point de départ. Séduit par ces résultats, il voulu étendre son expérience en mai 64 à une école élémentaire du sud de San Francisco. Il faut préciser que ce quartier est habité par des familles pauvres dont des étrangers mexicains, portoricains. Il s'agit donc d'enfants défavorisés par leur milieu, dont on n'attend traditionnellement pas grand-chose. ROSENTHAL se présente avec son équipe comme venant enquêter à propos d'une vaste étude en cours à Harvard, financée par la National Science Fondation sur l'éclosion tardive des élèves. Les professeurs flattés ouvrent grandes leurs portes à ces prestigieux enquêteurs. Ceux-ci ne leur demandent simplement que l'autorisation de faire passer un test aux élèves pour déceler ceux qui pourraient se révéler doués à l'avenir. test tout ce qu'il y a de plus standard – une mesure du quotient intellectuel – et qui n'est d'ailleurs qu'un prétexte.  

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

journal"1991.

 

 Finale de la coupe d'europe: OM / Etoile rouge de Belgrade,  Bref rappel des faits :

 "La foule habituelle nous a suivi jusqu'à Bari donc. Rocard dans les tribunes. Des ministres comme s'il en pleuvait. Le ministre des sports notamment. Frederique Bredin, fille d'un grand avocat, maire de Fécamp, socialiste bien sûr. Et femme donc. Elle 'avance pour nous serrer la main, à nous, les vaillants serviteurs de la gloire de la république... quand Abdi Pelé la voit, il sursaute ! Je ne l'ai jamis vu aussi paniqué, la discussion s'engage :

- Cette femme-là...

- Quoi, cette femme..

- Il ne faut pas lui serrer la main.

- Mais on doit lui serrer la main Abedi, c'est le ministre des sports.

- Si on lui serre la main, on va perdre.

- C'est le ministre Abedi !

- On va perdre !"

Abedi le superstitieux, Abedi l'Africain, Abedi les gris gris, vient de frapper un grand coup. Dans sa tradition, on ne touche pas à une femme, même du bout des doigts, le jour d'un grand évènement.

La suite ?

L'OM a perdu...

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

c5a5cea8"Vive l'amitié.

 

 Notre histoire commence dans un avion, en direction de Metz. Nous nous retrouvons côte à côte. Nous parlons musique. De retour à Marseille, nous ne rentrons pas chez nous, nous finissons la soirée à Marseille à boire de la bière et à parler musique, encore. Je découvre à quel point cette boisson blonde se marie avec la musique et le rire d'un ami.

 C'est presque un morceau d'Angleterre que Chris me fait partager ce soir-là...

 Et tous les autres soirs, bientôt : deux lycéens qui viennent de se trouver. Tout le monde a connu ça, au Lycée, les amitiés qui naissent sur un disque partagé, les discussions qui durent des heures sur tel ou tel groupe, sur l'histoire d'un chanteur et ses meilleurs accents, et les heures passées au café, à parler de rien, de tout, à rire, juste pour rester ensemble. Tout le monde sauf moi, sauf nous, les footballeurs.

 Un couple est fait d'habitudes, Chris et moi avons les nôtres. 

 Chaque entraînement, sitôt la douche expédiée, nous éclusions des demis au bar du maracana. Nous parlons. Nous rions. Nous avons du mal à rester sérieux, il m'appelle "Blaze" ou Bif foot" ou "Mister Black".

 Lui, c'est "Pudding", ou "Lait Gloria", parfois on se chamaille, les autres ne nous séparent même plus "Ils se retrouvent toujours ensemble de toute manière...

 Notre jeu est devenu rituel, notre amitié, un fait acquis. Au volant de la Range, nous nous dirigeons vers une station service, une petite épicerie arabe ouverte toute la nuit.

 Nous achetons des packs de bières, des grosses bières de 50 cl. Et nous roulons toute la nuit en nous arsouillant gentiment, la musique dans les oreilles, l'alcool blond dans l'estomac, et le bonheur de l'amitié...   

 L'apprentissage de deux personnes-l'amitié est comme l'amour... ça se dit pas tout de suite. Ca se cache derrière les rires et la dérision...

 Mais nous sentons bien qu'il se passe quelque chose d'autre, quelque chose de profond. On rit et en même temps, on a envie, chacun, d'offrir son passé à l'autre. Des phrases fortes : " Il faut que je t'emmène chez moi Basile, j'ai habité chez Papin quand je suis arrivé à Marseille, en attendant de trouver un logement. Si je te demande à toi de venir, pas lui, c'est important tu comprends..."

 Des scènes de jalousie aussi, c'est Joss Angloma qui me décrit Waddle sortant des vestiaires, me cherchant, râlant : "Mais ou est Basile, encore avec cet idiot d'Abedi à perdre son temps ?" 

 Basilou et Chris Waddle, une belle histoire...

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

bd16dfc2"Un jour...

 

 Un jour de la fête de la bière à Munich, André Agassi et Boris Becker ont copieusement picolé.

Et la, d'un coup d'un seul, André lui à alors confié pourquoi il avait si souvent été meilleur que Boris, extrait :

"C'est d'une banalité totale, et en même temps absolument incroyable. Un jour, à la fin des années 80, il avait remarqué que quand je servais, j'ouvrais la bouche et sortais la langue... dans la direction où j'allais servir.

 Par la suite, il lui a suffi de regarder ma bouche. et cela a duré quatre ou cinq ans !

 Il désamorçait ainsi mon arme de choc et lui, le retour est son meilleur coup.

  Les trois dernières années, il m'a suffi de garder la bouche fermée et André ne pouvait plus deviner où j'allais servir."

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7 juillet 2006 5 07 /07 /juillet /2006 16:56

Depeche"Frank Michael, de son vrai nom Franco Gabelli, est un chanteur belge d'origine italienne, né à Parme le 7 mai 1953.



À l'âge de trois ans, le jeune Franco quitte l'Italie avec sa famille pour grandir en Belgique à Seraing dans la province de Liège. Dès l'âge de seize ans, il s'essaie aux radio-crochets avec une certaine réussite mais s'engage dans la vie active comme technicien en électronique.

Il débute réellement sa carrière avec un premier 45 tours "Je ne peux vivre sans toi", sorti chez RCA en 1974. Son parcours de chanteur de charme s'engage sur la voie tracée par Mike Brant et Frédéric François.

Restant à l'écart des circuits traditionnels où les stars se bousculent, il conquiert son auditoire sur le terrain, multipliant les galas et misant sur le bouche à oreille. Il enregistre malgré tout plusieurs tubes bien vendus : "Dites-lui que je l'aime", "San Angelo", "Entends ma voix" ...

Paru début 1997, son album Toutes les femmes sont belles lui confère une immense popularité tant en France qu'en Belgique. Suivent encore "Il est toujours question d'amour", "Le petit café du grand amour" dont les titres révèlent la constance de ses paroliers, Michel Mallory en tête.

Boudé par les médias, il vend néanmoins de nombreux disques et remplit les salles de concert grâce à un public inconditionnel composé en majorité de "ménagères de plus de soixante ans".

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Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin