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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 17:49

securedownload-1--copie-19.jpg"Sang et or.

 

 Je peux vous dire que même les voisins de son palier ne s'y sont pas habitués.

 Il est pourtant locataire depuis bientôt dix ans dans l'immeuble de la rue St-Exupery ; eh bien, même après tout ce temps, il n'a jamais croisé grand monde dans l'escalier car les gens font attention maintenant : s'il est derrière, ils montent vite, s'il est devant, ils fourragent longuement dans la boîte aux lettres.

Quand ils le rencontrent, ils lui disent bonjour, on n'est pas des sauvages mais c'est rare de le voir en face. Et de l'entendre surtout.

Une chance.

De loin quelquefois, d'un trottoir à l'autre, ou alors le dimanche au marché de la place de très bonne heure.

Il n'était pas comme ça avant. Un garçon plutôt calme. Presque timide. Bien éduqué, en tout cas. Mais voilà, depuis que l'USAP est redevenu champion de France après plus de cinquante années de disette, il a pété un plomb.

Pas un jour sans chanter, à tue-tête, ce refrain qui maintenant terrorise le quartier : "L'USAP champion, Clermont c'est du bidon !" 

Dans un village comme j'en connais dans des coins perdu, on lui jetterait des pierres.

 A Carmaux, il finirait dans le ruisseau.

Ou Cyril la mitraille lui ferait la peau.

 Ce n'est pas tout, parce que chanter c'est une chose, mais comment expliquer le drapeau sang et or qu'il porte en permanence.

Et cette tenue rouge et jaune le dimanche ? C'était la mode il y a quelques années, mais tout de même, porter ça à Toulouse chez les rouges et noirs, c'est du foutage de gueule.

Gérard a perdu la boule, un point c'est tout. 

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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 15:46

securedownload-1--copie-17.jpg"Une folle !

 

 Lara a toujours prétendu que les choses comme les êtres ont un sexe et un nom propre.

Cela m'avait surpris lors de notre premier petit déjeuner chez elle, lorsqu'elle m'avait demandé de lui passer Armand.

 J'avais eu un effort à faire pour réaliser qu'il s'agissait de la cafetière. Comme je lui avais fait remarquer que "cafetière" est du genre féminin, elle m'avait toisé d'une façon assez dédaigneuse et avait simplement prononcé ces mots :

- C'est une erreur.

Elle avait ajouté :

- Il n'y a qu'à regarder pour s'en apercevoir.

 J'étais tombé d'accord avec elle sur ce point et avais eu l'impudence - je ne la connaissais pas encore bien - de l'interroger sur le prénom lui-même : pourquoi Armand ? Pourquoi pas Gaston ou Jean-François ?

Elle s'était lancé alors dans une explication aussi brève que péremptoire, affirmant que le nom des choses est inscrit en elles et qu'il faut vraiment être bouché pour ne pas l'y trouver. Je me souviens qu'elle avait ajouté une phrase qui m'avait laissé pantois :

- D'ailleurs Gaston, c'est la poêle à frire.

 Et bien, mine de rien, croyez-le ou pas,  cela confère entre l'usager et son ustensile une grande intimité qui n'est pas sans charme .

Il suffit de la voir repasser avec Jeannot pour s'en rendre compte...

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 14:05

securedownload-1--copie-14.jpg"Le fabuleux estin de Monique Durand.

 

Le 16 novembre 1951, une mouche bleue de la famille des muscadets, capable de faire 4000 battements d'ailes à la minute se posait avenue d'Albi à Carmaux.

A la même seconde, à la terrasse d'un restau à deux pas de la mairie, le vent s'engouffrait comme par magie sous une nappe faisant valser les verres sans que personne ne s'en aperçoive.

Au même instant, Eugène Colère de retour de l'enterrement de son meilleur ami en effaçait le nom de son carnet d'adresse.

Toujours à la même seconde, un spermatozoïde pourvu d'un chromosome XY appartenant à Mr Durand se détachait du peloton pour atteindre un ovule appartenant à Mme Durand, 9 mois plus tard naissait Monique Durand !

Monique aime :

 Acheter des légumes au marché Carmausin,
Encourager les joueurs de l'OM quand ils entrent sur le terrain,
La chanson L'envie d'aimer, même si elle lui file du chagrin,


 Sa famille parce que ce sont des gens bien,
Manger des huîtres du bassin méditerranéen, 
Le goûter avec ses soeurs pour se raconter les potins,


 Sa maman parce qu'elle le vaut bien, 
Servir les invités quand ils partagent un festin,
Ses enfants, parc que que ce sont les plus malins,
La petite Manon parce qu'elle trouve que c'est un joli bambin, 
Et son mari enfin. 

En revanche,  Monique n'aime pas :

 Qu'on lui serve des plats froid, parce qu’elle  trouve que c’est malsain.
Les campings parce qu’il y a que des crétins,
Ne pas se brosser les dents parce que c'est pas sain,
Les oignons parce que pour les calins, ça craint,
Et faire du ski alpin, enfin.

 Nous sommes le 18 avril 1975, le jour de la Saint-Parfait, il est exactement 00 H 21. A la gare de Toulouse, à deux pas de la maternité, la machine à malaxer de la guimauve malaxe de la guimauve.

Au même instant, Valery Giscard d'Estaing se rend compte qu'il a peut-être un ticket avec la princesse Diana.

Pendant ce temps, à la place du Capitole, la température est de 22°, le taux d'humidité de 70° et la pression atmosphérique de 990 hecto pascals, ça fait exactement deux minutes (montre en main) que le petit Régis a poussé son premier cri.

Après l'accouchement, Monique a soudain le sentiment étrange d'être en harmonie totale avec elle-même, tout est parfait en cet instant, la douceur de la lumière, un petit parfum dans l'air, la rumeur tranquille de la ville, elle inspire profondément et la vie lui paraît si simple, si limpide, qu'un élan d'amour la submerge tout à coup. 

Donner la vie, enfin...

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 14:34

securedownload-1--copie-15.jpg"Ce type est un martien.

 Il a fait de la recherche de la vérité son créneau, sa quête, son sacerdoce.

 En effet, pour lui, il y a deux sortes de gens sur la terre qui disent la vérité : les imbéciles et ceux qui ont un canon de revolver sur le crâne.

Ou dans la bouche.

 Et comme il n'aime pas beaucoup les imbéciles, chaque fois qu'il s'énerve, du coup il sort son flingue.

Qu'on se le dise, avec Cyril, les menteurs ne font pas long feu. Il paraît que la dernière fois où on l'a vu en ville, il avait une kalachnikov dans chaque main.

Je pense qu'il y a eu du grabuge.

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 14:27

securedownload-1--copie-13.jpg"Rico", "Oeil de Lynx", "Tonton", "Capot carreau"...

 

 Éric ne comptait plus les surnoms dont les garnements de la communale du lycée et les collègues de bureau l'avaient affublé ; mais il y avait eu plus grave : les femmes l'avaient fui.

Il avait eu pourtant son histoire d'amour, en terminale du lycée Jean-Jaurès, avec la douce Charlotte. Elle était fortement hypermétrope, les verres de ses lunettes étaient aussi concaves que ceux d'Éric étaient convexes.

 Ils ne pouvaient donc se voir qu'alternativement et avaient succombé aux difficultés que présenterait une vie commune qui n'eût pu être que tâtonnante.

Et puis, il avait sa scoliose.

Oh ! rien de grave, mais malgré des gymnastiques correctives, des massages et des exercices de natation, on ne pouvait pas dire qu'il fût bien droit.

Pas bossu, mais enfin pas bien droit.

Et puis, il y avait son pied. Une malformation plantaire assez faiblement marquée qui faisait dire cependant à son voisin Lomieu, homme cruel et sans esprit : "Il n'a que le pied de beau."

Et puis Éric est tombé sur Lara et il est devenu très beau d'un coup d'un seul.

 Envolé les mal de dos. Terminé la scoliose.

Au diable les varices.

 

Un autre homme en somme. La force de l'amour sans doute. Personne ne veut me croire quand je dis qu'une femme ça peut changer un homme en bien.

La preuve !

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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 14:30

senload[1]"Octobre 1996.

 Lorsque Françoise est arrivée à Marseille cette année-là, j'ai compris que je n'aurais pas trop à forcer pour fantasmer sur elle.

 Elle avait un truc particulier et qui doit être assez rare : elle était habillée exactement comme il fallait qu'elle le fût, étant donné ses activités, son statut et les conditions météo. Une perfection d'équilibre et une intelligence rare.

 Un peu fainéante quand même. Mais avec le recul, ma fascination vint de cet ajustement parfait avec le milieu ambiant.

 On s'était retrouvé à l'angle de la rue des Recolettes, à deux pas de la porte d'Aix. Elle m'avait bloqué la nuque contre le battant, fourré la totalité de sa langue dans la bouche et avait tenté de m'extirper le sexe malgré caleçon, pantalon, pull-over et manteau. 

 Nous étions au début de l'automne, les nuits étaient déjà fraîches et je me souviens avoir eu l'impression que son but avoué était de me l'arracher et de partir avec. Nous devions par la suite, nous entremêler avec enthousiasme, au dernier rang du cinoche du coin devant un navet de la pire espèce. 
Un navet.

 Elle me quitta le lendemain pour le fils du gardien du gymnase municipal, mais la rue Brossolette reste, pour moi, le lieu symbolique de la voracité féminine.

Si vous passez dans le coin, c'est facile à trouver, c'est juste à côté de la croix verte de la pharmacie.


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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 13:51

securedownload-1--copie-11.jpg"Une teigne.

 

 Quand il était petit, il était si méchant qu'il crachait dans les soupes. 

 Féroce et baveur, il gardait en fond de rétine des cristaux de rage et des paillettes de noirceur.


 On disait qu'il avait foutu sur la gueule de sa maîtresse, rien ne le prouve, mais en tout cas, il s'en foutait comme de sa dernière chemise.

 On raconte qu'au printemps, il crevait les marguerites et arrachait les coquelicots. Il préférait l'hiver en fait. La solitude ne l'affectait pas, il vivait seul, sans chien.

Pas d'amis.

 Quand les jeunes sortent le soir et que les filles chantent dans les bals, il fendait du bois pour faire du vacarme pendant des heures pour énerver les voisins.

 La mère Michelsen n'était pas tranquille ; c'était la petite vieille, avec ses biscuits, les bas gris et la digitaline. Elle l'évitait, mais, quand, pendant des semaines, il affûtait les faux en regardant ses deux chèvres, il y avait de quoi avoir des frissons.

 Du coup, elle fermait la porte de peur que Pierrot lui mélange ses gouttes.

Depuis, il s'est calmé.

Il est rentré dans le rang en somme.

Il a surtout bien vieilli. Pas comme Delon. Et maintenant, il ne ferait pas de mal à une mouche.

Comme quoi...

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 12:59

securedownload-1--copie-10.jpg"Les fiches de la police indiquent qu'il est né soit en 1976, soit en 1972, soit en novembre 1941.

 Si on en crit cetted ernière version. Primatice serait donc vraisemblablement Sagittaire.

 Son lieu de naissance serait Sarajevo, Odessa, Phantom City (Colorado) ou Mirandol-Bourgougnac (à un quart d'heure de Carmaux en roulant bien).



 Ceci étant écrit, il n'existe aucune photo du personnage. Interpol possède deux clichés où il figure ; sur le premier, il est dans un hôtel de luxe à la Paz (certains prétendent qu'en fait il s'agit du hall d'arrivée de l'aérodrome de Carcassonne).

Il lit un journal et on peut constater qu'il porte un costume gris clair et une chemise blanche.

 Sur le deuxième cliché, pris au téléobjectif, il contemple le Kilimandjaro, vêtu d'un imperméable kaki, muni de lunettes noires et d'un passe-montagne.

 L'épreuve est floue et la thèse du F.B.I. est qu'il s'agit en réalité de Marylin Monroe, mais rien ne permet de l'affirmer.

En un mot, on ne sait rien de lui. Ni ici, ni ailleurs d'ailleurs. Mais aux dernières nouvelles, Primaticio serait devenu acteur de sa vie.


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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 14:40

securedownload-1--copie-8.jpg"Liste des "je n'ai pas"

 

 Je n'ai pas vu Venise, ni Barcelone, ni Tanger ni Novgorod, ni Singapour, ni Djakarta. Je ne me suis pas battu dans les bars new-yorkais, ni dans Brooklyn, ni dans le Bronx.

 

Je n'ai pas pleuré lorsqu'une femme m'a quitté. Je n'ai pas joué du piano. Je n'ai pas eu de soeur. J'ai manqué toutes mes blanquettes de veau. 

 

Je relis cette première salve. Elle traduit évidemment mes envies, pourquoi plus Vovgorod que Montceau-les-Mines où je n'ai pas davantages mis les pieds ?

 

 Je n'ai jamais vu de baleines ni de fjords ni d'icebergs. Je n'ai pas escaladé le Kilimandjaro. Je n'ai pas porté de slip en soie. Je n'ai jamais réussi à finir un Mot croisé. Quant au Sudoku, c'est du chinois pour moi. 

  Je n'ai jamais copulé avec des femmes noires. Ni jaunes d'ailleurs. C'est l'un de mes grands regrets.

  Je n'ai pas aimé le jazz, ni le rock, ni Tino Rossi. Je n'ai jamais lu Chateaubriand, ni Proust, et pour Balzac juste Le Père Goriot, et encore par hasard.

 Je ne suis pas monté en montgolfière. Je n'ai pas retrouvé le goût d'une pastèque achetée par maman en octobre 1982 sur le marché de Carmaux. Je n'ai pas chassé le tigre au Rajasthan. Je n'ai pas trouvé transcendantes mes prouesses sexuelles.


 Je relis cette deuxième salve. Le mot "prouesses", écrit en plus au pluriel, me paraît un peu exagéré, voire même limite Olé Olé. Les faits sont quand même accablants.

 Je n'ai jamais appris à danser le tango ni le paso doble ni la mazurka piquée ni quoi que ce soit d'autre, d'ailleurs. A part, le slow.


Je n'ai pas connu Emilie Dugoin. Ni Sophie Goupieux. En revanche, j'ai connu Pascaline Moulinot mais Jérôme Moulinot l'avait vu le premier.

Le Djé était prem's ! 

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 16:29

securedownload-1--copie-7.jpg"Quand il était minot, Clément Letellier était un garçon cousu de femmes.

 

 Il devait son succès à une technique particulière qu'il dénommait lui-même "la cheminée intérieure". Elle consistait à avaler une cigarette allumée et à laisser sortir la fumée par les narines. Je n'ai jamais vu une seule femme résister à la démonstration.

Du grand art.

Même les nanas qui détestaient l'odeur ou le  goût du tabac tombaient dans le panneau. 

 Même la voisine qui avait pourtant juré qu'on ne la reprendrait plus était tombé comme une mouche. Pourtant sur le papier, c'était pas gagné au départ.

Ben quoi, on attrape pas les mouches avec du vinaigre ! 

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Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin