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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 02:47

"Coup de fil.

11 h 28.

Raphaël Carnetti, mon agent.

Ces deux renseignements me sont fournis par le téléphone, outil permettant de savoir qui appelle, quand on appelle, et ensuite pourquoi on appelle.

- Tu es bien réveillé ?

- Je ne dors plus depuis 4 heures du matin.

- On a rendez-vous avec Gilbert Salinas.

- Formidable, dis-je, je suis fou de joie. Qui est Gilbert Salinas ?

- Un agent et il tient Spielberg par les couilles.

Tout Raphaël dans cette réplique. Un rêveur. Un rêveur qui filait du mauvais coton.

- Je pensais qu'un type comme Spielberg était parvenu assez haut pour que personne, même à l'aide d'une échelle, ne soit capable de lui attraper les couilles.

- Ne déconne pas, bonhomme, il est tombé sur ton blog et il est mordu. Il a déjà contacté Tom Cruise pour interpréter le rôle de Secoïa
Pour Tescano, il voit Nicholson gros commme une maison.  Le casting est bouclé. Renée Zellweger a déjà donné son accord pour interpréter Caroline Bertignac. Al Pacino vendrait père et mère pour jouer Ricardo Letellier. C'est dans la boîte petit."

Al Pacino.

L'heure n'était plus à la rigolade.

Il fallait vite faire sortir Tescano de ce pétrin...

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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 16:37

imagesCAB071IW"Elle avança en chaloupant.

Ses hanches décrivaient des houles et, lorsqu'elle lui tendit une longue main frémissante,  Minoudot vérifia sa braguette d'un geste instinctif.

Josiane Berthelot était connue à Mirandol-Bourgougnac. On racontait que, née en Amérique, dès le milieu des années 50, elle avait organisé là-bas des orgies qui avaient fait date pour tous ceux qui, de près ou de loin, s'intéressaient à l'érotisme.

Elle avait, après avoir été une des reine de l'amour à douze, à ving-quatre, à trente-huit, lancé dès 1987 une nouvelle mode qui avait fait fureur : l'amour à un.

Elle avait crée dans l'Aveyron une boîte : le "Masturb Club" qui avait eu un succès monstre. ("On va au M.C., darling ?" avait été la phrase la plus prononcée à Decazeville ces derniers mois. Le sperme recueilli dans des soucoupes était vendu à des laboratoires de recherche. Il y avait des jeux : la plus grande quantité émise, la plus rapide, d'une seule main, des deux, etc.

Vous l'avez bien compris : pas de tabous au Masturb Club.

Josiane organisait mais participait également. Superbe femme aux lèvres humides et aux yeux tendres elle ne pouvait pas sortir sans gorilles châtrés, car aucun homme ne pouvait résister à l'attirance animale qu'elle dégageait. Elle  était le fantasme personnifié de la gente masculine qui rêvait de la posséder.

Elle s'approcha dangereusement de Minoudot et lui caressa l'oreille droite, avant d'ajouter :

- J'ai ma chambre en haut murmura-t-elle ; viens, je ne peux plus attendre.

Il éclata de rire, faillit envoyer sa paume ouverte sur l'omoplate d'un de ses gorilles, mais il reteint son geste à la dernière seconde - il n'aurait su dire pourquoi.

- Cas typique de nymphomanie, dit-il ; ou d'érotomanie, j'hésite encore entre les deux, j'ai l'adresse d'un psychiatre, dites-lui que vous venez de ma part, il vous fera un prix.

Elle marqua le coup, mais ce n'était pas la nana à rester sur un échec ; elle avait toujours eu tous les hommes qu'elle avait voulus et celui-là céderait comme les autres.

- Je te veux, dit-elle, tu es le seul ce soir à être un homme.

Il alluma une Marlbiche et cracha dans la fumée.

- Tire-toi, dit-il, je baise qui me plaît.

Contrairement à ce qu'on eût pu croire, Josy ne se vexa pas : elle sembla même aimer ce tutoiement brutal. Elle savait déjà qu'avec Minoudot, elle avait tapé dans le mille et qu'elle ne lâcherait plus sa proie...

Tôt ou tard, Minoudot rejoindrait la longue liste de ses amants, un nom de plus en somme, et enfin, le conte de fée deviendrait un compte de faits...  

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 05:48

imagesCA8469M5"Gigi glissa le long havane blond dans le coin gauche de sa bouche et rejeta lentement la fumée vers le plafond. Ses yeux pâles n'étaient animés d'aucun mouvement mais, bien qu'ils parussent ne rien voir, ils ne quittaient pas les mains rapides de Tescano qui distribuail les cartes.

Pierrot ralentit le rythme et déposa le paquet de cartes restant au milieu du tapis.

Ferreira tira une bouffée paresseuse et, d'un pouce habitué, souleva les brèmes. Personne n'aurait pu lire la moindre indication sur son visage impassible quand il rangea sa donne ; il avait fallu certainement plus de quelques nuits de jeu pour atteindre une telle maîtrise de soi.

Les quatre hommes avaient à présent les cartes en main.

Le décapité de gauche eut un geste nerveux du poignet qui fit étinceler son bouton de manchette.

- C'est à toi Gigi.

Gilbert Lapentti ne sourcilla pas. il ouvrit d'un geste de marquise l'éventail de ses cinq cartes.

Les autres attendaient. Tescano eut une toux nerveuse qu'il étouffa très vite. Ferrreira lâcha une nouvelle bouffée et, brusquement ses yeux s'arrêtèrent sur son voisin de droite qui eut de la peine à maîtriser un haut-le-corps.

Comme si la table eût été en verre filé et susceptible de s'écrouler au moindre choc, Gigi s'inclina lentement, ses yeux pénétrants ne quittant pas ceux de son adversaire.

Il enleva le cigare de sa bouche et proféra enfin :

- Grand-père lapinou.

Tout se figea dans la pièce et, avec un hoquet brutal de soulagement, Ferreira parla très vite:

- Je ne l'ai pas. Pierrot, donne-moi la fille Coin-Coin.

Avec une mauvaise humeur évidente, Pierrot jeta la carte sur la table.

Gigi jubilait. Grand amateur de Poker, il adorait aussi jouer au jeu des sept familles. Tous les vendredis, c'était sacré, ils n'auraient pas manqué un jour pour tout l'or du monde.
 

La météo avait annoncé des orages pour le lendemain. 

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 14:45

photo[1]"Il y eut quatre blessés légers.



Padovano, chargé de l'enquête, était dans le cirage le plus total.

Il prit un air efficace et sortit son carnet. Il s'aperçut aussitôt que quelqu'un lui avait fauché son stylo et il remit le carnet dans sa poche.

- Nom adresse et profession, dit-il.

La jeune fille se renfrogna.

- Vous n'écrivez pas dit-elle, vous ne vous souviendrez jamais de tout cela.

Une autre caractéristique de Padovano était de ne pas savoir mentir.

- On a pris mon stylo, dit-il.

- Qui ça ?

- Je n'en ai aucune idée. Je l'avais dans ma poche intérieure.

- Quand l'avez-vous vu pour la dernière fois ?

Padovano réfléchit rapidement.

- C'était dans mon bureau
, oui, c'est ça, dans mon bureau.

- Qui se trouvait avec vous ?

- Pelletier et Lombard dit-il.

Elle fronça son nez comme un lévrier à poils longs.

- Le quel a le plus petit salaire ? demanda-t-elle.

Il frappa dans ses mains.

Lombard ! s'exclama-t-il, j'aurais dû m'en douter. Il n'y a que lui qui est payé en monnaie de singe

Il réfléchit longuement et eût l'impression qu'elle venait de lui poser des questions.

- Une seconde, dit-il, c'est moi qui dirige l'enquête : où étiez-vous quand l'explosion s'est produite ?

Au premier rang dit-elle ; j'ai senti le vent, mais j'en ai vu d'autres. 

Padovano essaya autre chose : il sourit et fit une mimique chère à Clark Gable.

Il savait que Wia Holmes finirait par lâcher le morceau.

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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 11:34

tn-1-.jpg"Un tombeur.

 

 Depuis l'âge de treize ans et demi, Jacques avait plu aux femmes.

 Il avait échappé à des entreprises de viol collectif par une armée de nymphomanes Tibétaines, avait dû battre en retraite précipitée à Monte-Carlo devant des Américaines croulantes de bijoux qui lui fourraient des plaques du casino dans toutes ses poches en le léchant sous toutes les coutures, et il avait connu par la suite les faveurs des plus belles créatures de l'univers.

 Trois mannequins s'étaient suicidés pour lui ainsi que quatorze femmes de lettres, quatre chefs d'entreprise, la présidente du M.L.F., la favorite d'un émir ; une cantatrice avait sauté pour lui de la tour de Pise, la directrice d'un kolkhose avait brûlé l'effigie de Karl Marx lorsque Jacky l'avait quittée et la femme à barbe du plus grand cirque de Berlin ouest s'était fait épiler pour lui poil à poil.

 Jacques avait donc, de la puberté jusqu'à la trentaine, vécu d'une intense vie sexuelle, changeant de partenaire deux à trois fois par semaine, passant d'une star hollywoodienne à une bonzesse cambodgienne, lorsque, un 4 septembre, à la gare Saint-Lazare, il avait rencontré Monique.

 Elle portait un short kaki, des chaussettes à pompons, des croquenots de montagne, un chapeau de pêcheur jusqu'aux oreilles et un sac à dos de trente kilos débordant de casseroles et de piquets de tente mal arrimés.

Il l'avait regardé dix secondes et s'était approché d'elle.

- Comment vous appelez-vous ?

Elle l'avait toisé, fait la grimace et lancé :

- D'accord, je viens de piquer tout ça chez Trigano, mais je peux vous assurer que vous n'avez pas l'air d'un flic.

- Je n'en suis pas un, avait retorqué Jacquou. D'ordinaire, les femmes sont folles de moi dès le premier coup d'oeil. Est-ce que c'est votre cas ?

Ils avaient échangé un regard et elle avait dit :

- Pas tout à fait, mais je sens que ça vient.

- On va fêter ça. Je vous offre un verre.

 Il l'avait emmené dans un café et ils ne s'étaient jamais quittés. Ils savaient l'un et l'autre qu'ils ne se quitteraient jamais. Letellier se souvient de cette-nuit comme si c'était hier. Couleur menthe à l'eau, le tube d'Eddy Mitchell, passait en boucle à la radio.

 Jacques la regarda dormir dans la pénombre de la chambre et, comme chaque fois, il sentit monter en lui une infinie tendresse. Avec Monique, le destin lui avait donné la meilleure carte qu'il ait tirée de toute sa vie de joueur de poker : la dame de coeur.

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5 décembre 2009 6 05 /12 /décembre /2009 13:15

securedownload-1--copie-12.jpg"Caro.

 

Elle se servit un coca light puis s'enfonça avec un plaisir évident dans le canapé de son salon.

 Depuis toute petite, chaque soir elle se regardait un épisode de La petite maison dans la prairie avec Charles Ingals. La super-star hollywoodiennes des années 70 en avait tourné 23 567, le tout sur 24 saisons.

 Le rituel avait persisté lorsqu'elle avait rencontré Jérôme. Elle espérait ainsi lui insuffler des valeurs familiales qui pourraient peut-être servir à l'avenir.

 Lorsqu'ils arrivaient au dernier épisode, on recommençait la série. Au grand désespoir de son chéri qui, il faut bien l'avouer, commençait à saturer un peu.

 Pourtant, Caroline avait dans l'ensemble horreur des séries, et des séries américaines en particulier : elle ne supportait pas les fermiers non plus, mais Charly Ingals, c'était autre chose.

 L'épisode de ce soir était le quatorzième de la douzième saison et un de ceux qu'elle préférait, car on y voyait le grand Charles se trimbaler en short sur le pont de Walnut Grove tandis qu'Harriet Olson mettait une branlée au pauvre Nels. Il y avait aussi le passage où ces salauds d'indien attaquaient la ville et où Charlot Ingals courait sous les bombes pour mettre à l'abri Alice Garvey qui errait en larmes dans les ruines de sa maison.

 Et chaque fois que Charles Ingals serrait contre sa poitrine poilue la fragile Alice, les yeux de Caro s'emplissaient d'une eau tiède.

"Si je pouvais devenir metteur en scène de ma vie", songea-t-elle.

C'est au moment où ce passage tant aimé allait se dérouler sur l'écran que le téléphone sonna. Elle décrocha par réflexe sans cesser de dévorer Charles des yeux.

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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 14:48

securedownload-1--copie-22.jpg"Ricardo, le roi du Ricard.

 

Il passa sa langue sur ses lèvres, recula de trois pas, visa avec soin et, avec un cri barbare, démarra comme à Vincennes.

Avec violence, le dessus de son pied droit s'écrasa contre la fesse ronde de Josiane, qui décolla de terre et alla s'écraser sur le sofa.

Ricardo soupira de satisfaction.

Il pensa qu'au fond cette particularité sexuelle qui était la sienne lui évitait bien des inconvénients et paraissait même innocente ; le coup de pied au cul était la seule façon qu'il connût de jouir avec un maximum d'intensité.

Rien à voir donc avec la traditionnelle fessée.

C'était une habitude fort ancienne qu'il avait contractée bien avant sa puberté. La galerie des femmes qu'il avait pu connaître avait une particularité : il en ignorait le visage mais la résistance au choc de leurs muscles fessiers n'avait pas de secret pour lui.

Son sexologue avait attribué cette perversion à une vocation de footballeur contrariée.

Malheureusement, les nanas qui acceptaient de se faire botter le train étaient plutôt rares. 

A part Françoise, bien sûr.

Avec elle, il avait timidement tiré quelques coups francs en retenant ses coups comme lorsqu'on joue au ballon avec un enfant, mais elle lui avait demandé de taper plus fort en tendant vers lui une croupe sphérique et rembourrée.

 Il s'était alors déchaîné, avait shooté comme un sourd, frappant sous tous les angles, regrettant de ne pas avoir de protège-tibias. Après lui avoir marqué environ trois cents buts, il s'était écroulé, hors d'haleine, les muscles cousus de crampes.

Et voici que l'occasion lui était donnée de retrouver la belle Françoise aux fesses indolores.

Il ne fallait pas la laisser échapper...

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 14:56

securedownload-1--copie-20.jpg"L'explosion.

 

 Il cracha de côté, ses yeux se reportèrent sur la maison et il ne la vit plus.


A l'endroit où elle s'élevait il n'y avait pas un dixième de seconde, il n'y avait plus rien.

Strictement rien.

David n'était pas un génie, il avait même failli être volontaire au Viet-Nam, mais devant l'ampleur du phénomène, il s'étonna.

Le fracas de l'explosion lui ébranla les tympans avec une telle violence qu'il en avala son chewing-gum. David tenta de s'extraire, n'y parvint pas et constata que le vestige du monde disparu avait disparu lui aussi. Il en éprouva une vague tristesse.

"Ce doit être le gaz", pensa-t-il.

En fait, c'était
Cyril la mitraille qui venait de faire sauter la voiture de Sophie à la dynamite. Il avait un peu forcé sur la dose...

Comme d'hab.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 14:19

securedownload-2-.jpg"La psy.

 

 Ce matin-là, elle enfila sa combinaison moutarde, ses bottes cuissarde et partit au boulot.

 Elle marchait d'un bon pas dans l'air frais, mastiquant sa pâte verte et mentholée, lorsqu'elle arriva à la bretelle de l'autoroute A9.

Au coin s'élevait la vieille masure, et comme chaque fois, Sophie la contempla avec une stupéfaction que l'habitude n'avait pas émoussée.

 Chaque matin, depuis trois ans, elle éprouvait la même sensation en la voyant et la même idée lui venait à l'esprit avec les mêmes mots : "Mais qu'est-ce que cette vieille ruine vient foutre là ?"

 Pourtant, une autre question lui brûla les lèvres à cet instant très précis : "Et puis, qu'est-ce que je fous dans cette rubrique à la con et dans ce blog de merde."

 Il semble important de préciser au lecteur que d'habitude Sophie est une femme mesurée dans ses propos.

Comme quoi...

Elle avait donc envers ce blog un sentiment mitigé, teinté d'admiration, nuancé d'énervement, un peu ce qu'elle éprouvait avec Tescano lorsqu'il la poursuivait avec une batte de baseball.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 14:07

securedownload-1--copie-21.jpg"Chienne de vie.

 Olive bâilla, se gratta de nouveau et ramassa un journal qui traînait par terre. D'un oeil morne et battu, il contempla la première page de la Dépêche du midi sur laquelle s'étalait la photo de sa fille inaugurant une usine de pneumatiques, la plus importante d'Europe, à l'angle du boulevard des Acacias et de la rue de la Capitale.

Le vieil homme usé scruta un instant le visage de la présidente, eut une sorte de hennissement et murmura :

- Petite conne.

Il devint songeur et se demanda s'il n'aurait pas dû lui filer plus de fessées lorsqu'elle était petite ; cela lui aurait peut-être permis de faire une politique plus intelligente.

Il relâcha le journal et se dirigea vers l'évier où, entre trois assiettes sales et deux bols cerclés de café, trônait une bouteille de prune à soixante-quatorze à moitié pleine.

La soif aidant, il l'a vida d'un trait.

Comme d'habitude...

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Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin