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30 novembre 2007 5 30 /11 /novembre /2007 19:01

"Recourez à la visualisation"


"La performance vient à 30% de la tête. Une épreuve se gagne en la visualisant avant de l'affronter." Luc Alphand
 

 

Outil indispensable pour libérer votre potentiel de créativité et générer la confiance en vous. Notre cerveau fonctionne à partir d’images que nous lui envoyons. Le problème est que nous lui envoyons souvent des images négatives. Or ce que vous vous accordez mentalement, le cerveau commence à les réaliser dans la mesure du possible.   


1° Prenez un bain de sensation, profitez d’une relaxation pour visualiser. Visualisez-vous gagnant, sûr de vous, ouvert et non pas rongé par le doute. Le principe est de vivre ce scénario, de vous immerger dans un bain de sensations. Plus votre visualisation est réaliste, plus votre cerveau va y croire. Voyez vous en train de négocier, imaginez votre interlocuteur en train de vous congratuler. Cette préparation mentale dope votre confiance en vous.   


2° Pratiquez l’ancrage, c’est un geste que vous faîtes qui fera instantanément remonter la confiance en vous à n’importe quel moment de la journée. Comment l’installer, l’ancrer en vous ? A l’occasion d’une séance de relaxation, visualisez une scène ou vous avez une grande confiance en vous. A ce moment, faîtes un geste de votre choix (joignez le pouce à l’index par exemple). A l’avenir vous associerait profondément ces deux éléments. 
 

Exemple 1 : Mats Wilander avait un signe particulier avec la main droite qui lui apportait force et confiance.

Exemple 2 : Un cadre n’avait qu’à poser la main gauche sur son bras droit pour sentir une bouffée de confiance en lui, il se visualisait instantanément en train de pratiquer son art martial préféré, le full contact.   

Soyez déclencheur d’envie : Tout comme dans cette chanson de Johnny : "Qu’on me donne l’envie, l’envie d’avoir envie, qu’on me donne la vie"   

Ayez le sens de l’action : Comme disait Pierre Desproges : "il vaut mieux un con qui avance que dix intellectuels qui réfléchissent"    

Je vous laisse méditer ceci : "le présent d’aujourd’hui n’est rien d’autre que le passé de demain !"   

Tout devient donc source de transformation en action, une opportunité de mouvement.   

Et comme le disait Alvin Toffller : "Le mouvement n’est pas essentiel à la vie, il est la vie !"
  

"Potentiel - Actions - Debrieffing - Résultats"   


Un coach est un importateur d’angoisse et  un exportateur d’énergie positive, donc d’action.
 
  

Ayez une focalisation maximale :  


Comme le disait David Douillet avant les JO de Sydney : "Je suis un missile centré sur son objectif !" 

Être focus, c’est porter son attention sur 20% des actions qui génèrent 80% des résultats. Trop souvent nous la portons sur les 80% qui restent.

Dans la vie, l’utile c’est de rester centré sur l’important. 
Questions clés : - « Dans votre activité, qu’est-ce qui est réellement important et, qui souvent, est mis de côté au profit de l’urgence ? Comment pourriez-vous organiser votre activité afin que 80% de votre temps d’activité soit centré sur l’important ? Qu’est-ce qui peut permettre à l’équipe de se centrer sur ces actions importantes ? 

 

Une fois cette liste réalisée, concentrez 80% de votre activité dans les tâches importantes et non urgentes et vous anticiperez ainsi 50% des problèmes de demain.   

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
19 février 2007 1 19 /02 /février /2007 01:29
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"Une étude publiée dans la revue scienceprouve qu'hommes et femmes prononcent chaque jour un nombre de mots équivalents : environ 16 000.

Ainsi, cette information capitale renvoie dos à dos les machos qui disent les femmes bavardes comme des pies, car ils le sont autant...

Leur management n'est donc pas plus prolixe, mais les mots employés et le ton semblerait différents. Pas de langue mieux pendue, mais peut être l'oreille plus fine... 

Eric Bonh, dirigeant d'Euro Consulting élève le débat : "Les femmes managent souvent en écoutant mieux et avec une meilleure psychologie."

Hervé Bommelaer n'est pas du tout de cet avis quand il tranche : "C'est d'abord la personnalité de chaque individu qui compte".

Alors, une question qui nous brûle les lèvres : Quels sont vos mots ? Sont-ils tristes ? Enthousiastes ? Gaies ? Magiques ? Interdits ? Grossiers ?Celui que vous trouvez le plus beau ? Et le pire ?
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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
14 février 2007 3 14 /02 /février /2007 02:29

"Le bushido, code d’honneur des Samouraïs, ou le Kaisen "principe d’amélioration permanente"  pourrait être son leitmotiv.

Attendre le meilleur et agir dans ce sens. Tous les grands hommes qui ont impacté ce monde par leurs exploits et leur créativité.
 

"Être coach, c’est d’avoir en soi un "habit de lumière" 

-
Capable d’inspirer autrui, lui octroyant sens et énergie 

- Utile en servant les autres de façon effective

- Passionné, sachant extérioriser le plaisir d’aider autrui

- Ayant un haut niveau d’exigence à partager

- Honnête et intègre, ayant conscience de l’imperfectibilité humaine

Centré sur l’important, l’essentiel

Pragmatique, qui a le sens de l’action pour valoriser le potentiel individuel   


Déroulement d’une séance type
 : Reprendre contact  

Nous allons demander au client comment s’est déroulée sa semaine et faire le point : échecs ? réussites ? Débriefing 

Nous allons débriefer les actions spécifiques qu’il devait mener, surtout les difficultés qu’il a rencontrées et quel apprentissage il en a tiré. La gestion des besoins : De quoi a-t-il besoin pour passer à un niveau supérieur ? Que doit-il apprendre ? Que doit-il travailler ? Quelles sont les actions majeures qu’il doit poser maintenant en termes de besoin ? Prise de conscience : De quoi as-tu besoin ? Que te manque-t il ? Le bouclage : Comment va-telle s’organiser par la suite et quelles sont les actions qu’elle va mettre en place ? 

 

Travail avec managers : Leur demander d’identifier les 5 points clés d’un management réussi et systématiquement, ils les donnent. Cela veut dire que souvent les personnes savent exactement ce qu’elles ont besoin de travailler. Mais le font-elles Comment peuvent-elles le faire ? Le lien entre savoir et faire est le même que celui qui existe entre dire et agir ; la plupart du temps, on sait ce qu’il faudrait faire mais on ignore comment s’y prendre.   

Le « savoir » et le « faire » sont intimement liés. Vous ne pouvez pas faire quelque chose que vous ne connaissiez pas ;


"Qu’avez vous besoin d’apprendre pour être certain de réussir ce que vous entreprenez ?"
  
 

Nous ne pouvons transmettre que ce que nous maîtrisons, et pour cela, il faut s’entraîner tous les jours. Imaginez un virtuose qui arrête ses gammes, ou un professionnel du tennis qui ne s’entraîne plus. Nos grands champions s’entraînent tous les jours, nous pas, c’est une erreur. Tout dépend maintenant de notre niveau d’exigence pour notre métier.  


Je peux vous garantir une chose : c’est qu’en termes de motivation, n’écoutez pas le visage. Pour savoir si une personne est motivée, un seul critère compte : les résultats croissants ou décroissants. Ce sont les résultats qui font ou défont une motivation. 
 

Certains disaient : « ils ne passeront pas ! » et ils sont passés. D’autres : « j’ai eu un très bon contact » et le contact n’a pas été transformé. Certains ont dit : « tous ensemble nous allons réussir ! » et ils ont échoué. Une fois j’ai travaillé avec un entraîneur sportif qui me démontrait avec force et conviction que son joueur ne dépasserait pas le 50 ème rang mondial ATP, ce qu’il réussit dés lors qu’il changea d’entraîneur…   


Imaginez : votre réveil sonne, vous avez passé une bonne nuit. Vous ouvrez les yeux et là vous vous posez la question : "Bon sang ! Quelles sont les difficultés que je vais encore devoir gérer aujourd’hui ?" Vous recevrez des réponses en adéquation avec la question que vous vous êtes posée. Ou alors, vous pouvez vous étirer, ouvrir les yeux et vous poser une autre question : « En quoi vais-je contribuer à ce monde ? Aujourd’hui que vais-je apprendre ? Et vous aurez également des réponses. Notre système est comme un ordinateur, il est dépourvu d’humour, vous lui donnez une instruction et il l’exécute. Assurez-vous de lui donner une instruction positive. Si vous lui posez la question : "Quelles sont les horreurs que je vais encore subir aujourd’hui ?" Il est équipé pour les trouver et les trouvera… ; de plus, il est performant
  


Anecdote : Un jour, le responsable d’une entreprise part en vente, je l’observe, il présente son dossier, le produit, il parle de l’aspect sécurité et technique et ouvre ensuite le dossier à la page de la signature en disant : "Et bien voilà !". Il s’en est suivi un silence de mort… Moi, jeune apprenti, je regardais cela avec de grands yeux, je ne pouvais pas parler, je ne pouvais simplement qu’observer cette atmosphère qui devenait de plus en plus tendue, et je voyais l’acheteur qui commençait à bouger sur sa chaise, à ouvrir ses stylos, à les refermer, à ouvrir ses tiroirs et à ranger des papiers… A un moment donné, il prend le dossier nerveusement et dit : « Bon je vous le signe votre truc ! » Et là, le responsable d’entreprise repart aussitôt sur : « Vous passez toujours vos vacances à Knokke-le-Zoute n’est-ce pas ? »  et il enchaînait comme cela… A la sortie de cet entretien, je lui dis : « Vous êtes le meilleur vendeur que j’ai jamais vu ». Et il me répondit : "je ne suis pas un bon vendeur, je sais simplement me taire."

A
insi lorsque tout est dit, il faut laisser à l’autre l’espace nécessaire afin qu’il puisse mettre en place ses représentations et effectuer son cheminement. Faîtes le poser une question. Ne les enchaînez pas toutes. Si vous voyez que l’autre est dans la difficulté, laissez le dans la difficulté. Si vous voyez qu’il éprouve des difficultés à répondre, ne jouez pas au sauveur, ne rentrez pas dans son jeu, laissez-le vivre le sien… et attendez. 

La projection  : C’est le fait de discerner préférentiellement chez autrui des traits positifs ou négatifs de son propre caractère. Pour permettre de l’éviter, restez très technique : je questionne, je reformule, je cadre. Moins vous sortez du cadre, mieux c’est en termes de projection.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
8 février 2007 4 08 /02 /février /2007 04:22

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"
Gauss était doté d'une intuition  et d'une créativité mathématique hors du commun.

A l'âge de 10 ans, il fut admis dans la classe de math. Le maître propose le problème suivant : quelle est la valeur de la somme 1 + 2 + 3 ...  + 100 de tous les entiers de 1 à 100 ? Gauss remarqua que la somme valait 50 fois 101 car 1 + 100 = 101, 2 +99 = 101, etc jusqu'à 50 + 51.

L'usage voulait que le premier garçon qui résolvait le problème déposât son ardoise sur le bureau du maître après y avoir écrit la réponse. le maître avait tout juste terminé d'exposer le problème que Gauss posait son ardoise avec "5 050" inscrit dessus.

Il passa l'heure suivante assis, les bras croisés, essuyant les regards sceptiques du maître tandis que ses camarades additionnaient à tour de bras. A la fin de l'heure, le maître examina les ardoises, seule celle de Gauss portait la réponse exacte.

Comme on dit chez Fleury Michon, " Moins de tests, plus de testicules". 

Problème :
Une balle de ping pong est introduite par mégarde dans un tube de même diamètre, scellé dans le sol. Impossible de l'atteindre en enfonçant les doigts. Comment la récupérer quand on n'a sur soi qu'un dé à coudre, un mouchoir et un tiquet de métro ?

Réponse : 
Urinez dans le tube, la balle remontera. Bon, la liste des trois objets est sans importance. Ce sont des données qui ne servent à rien pour arriver à la solution.

Dans son livre L'Age du capitaine, Stella Baruk raconte que l'on a posé à des élèves de primaire le problème suivant : "Sur un bateau il y a dix marins et 26 passagers, quel est l'âge du capitaine ?"

L'objectif en l'occurence était de tester les capacités de raisonnement des enfants. L'expérience montre que plus les enfants sont jeunes plus ils sont nombreux à répondre que le capitaine à 36 ans. Cette réponse met en oeuvre un certain raisonnement : si on nous pose ce problème, alors il doit y avoir une solution, donc je vais utiliser les données de façon à produire un résultat vraisemblable.
 
Le martien
Il ignore tout du fonctionnement des organisations humaines, ce n'est pas un homme de terrain puisque ce n'est pas un homme et qu'il n'a jamais foulé le moindre terrain. Mais il est capable de s'étonner. Le martien nousaide à bouger ce qui va de soi dans nos têtes mais pas dans la réalité.
Ex : prolonger la série suivante : 1, 2, 3
Vous avez probablement répondu "4".
Mais on peut concevoir des réponses comme :
- "5" car 1+2=3 et 2+3=5
- "0" car on peut prolonger la suite devant le 1
- "," car il y a une virgule après chaque chiffre.
- "4"
- " mousquetaire"
- " soleil"
Un martien qui ignore qu'on prolonge les suites toujours par la droite aurait peut être pensé à la prolonger vers la gauche.

L'avocat de l'ange
Il me donne courage face à l'obstacle et me montre qu'il existe de multiples façons de le surmonter.
Ex : "J'ai raté mon bac"
Avocat de l'ange :
- Je vais refaire le programme l'an prochain et parfaitement le comprendre car je l'aurai étudié deux fois
- Je serai un des meilleurs de la classe
- Tout le monde viendra me demander de l'aider,
- J'apprendrai plus vite donc j'aurai plus de temps pour faire du sport, sortir...
- Quand j'aurai 60 ans, quelle importance cela aura-t-il d'avoir eu son bac il y a 42 ou 41 ans ?
- Je serai humble
Je comprendrai mes enfants s'ils ont des problèmes scolaires plus tard;
- ...

Lors d'un séminaire dans une entreprise de BTP, après un échec lors d'un appel d'offre, nous fîmes l'exercice de l'avocat du diable : trouvons dix raisons de nous réjouir de cet échec ? Parmi les réponses possibles :
-  Les concurrents vont s'endormir sur leurs lauriers
- Nous préparerons mieux nos réponses aux prochains appels d'offres
- Chacun collaborera plus avec les autres pour que l'équipe gagne
- Nous prenons conscience que nous pouvons et nous devons faire mieux
- ...

La coopérativité lectorielle
Un journaliste eu l'idée de faire taper un roman (peu connu) de Marguerite Duras et de l'envoyer à différents éditeurs sans leur signaler, naturellement le nom du véritable auteur. Tous les éditeurs refusèrent de publier le manuscrit. Cette anecdote illustre un point connu des spécialistes de communication : le sens ne réside pas seulement dans le message, mais également dans la coopération qu'accepte de mettre un destinataire du message dans sa lecture. Si je sais qu'il s'agit d'un texte de Duras, je ne le lis plus de la même façon, je cherche où est le génie. Du coup, j'ai tendence à le trouver. 

Reformulation
Un fabricant de calissons se demandait comment vendre davantage de calissons. Pour résoudre ce problème, il convient de reformuler la question. Un martien venu interroger le fabricant lui a simplement demandé pourquoi des gens achetaient des calissons. A première vue, on achète des calissons pour les manger puisque les calissons se mangent. En réalité, plus de 90% des acheteurs de calissons les offrent. donc on n'achète pas les calissons pour les manger mais pour les offrir. Le calisson est donc en concurrence avec les fleurs, le parfum... Pour vendre davantage de calissons, il faut donc changer de réseau de distribution du calisson de façon qu'il soit vendu aux mêmes endroits que les fleurs et les parfums.
L'idée mise en oeuvre a effectivement dopé les ventes.
Pour trouver cette idée il a fallu reformuler la question. Il est essentiel de travailler sur une bonne question. 

La rétro prévision
"Ce téléphone a de trop nombreux points faibles pour être considéré sérieusement comme un moyen de communication. En soi, l'appareil n'a aucune valeur pour nous." Note interne Western Union, 1876
"Les engins volants plus lourds que l'air sont chose impossible." Lord Kelvin, president de Royal Society, 1895
"Qui diable veut entendre parler les acteurs ?" Harry Warner, Warner Bros, 1927
"J'estime que 5 ordinateurs suffiront à combler le marché mondial." Thomas Watson, president d'IBM, 1943
"Les groupes de guitaristes sont en voie de disparition." Decca Corporation, 1962
"Nous ne vendrons jamais de dessins animés sur vidéocassettes." Plan stratégique de Disney, 1975
"Il n'y a aucune raison pour qu'un particulier ait un ordinateur à la maison." Ken Olsen, president fondateur de Digital equipment Corp, 1981
"Les ordinateurs de 640 K suffiront pour tout le monde." Bill Gates, 1981
"Internet est une mode et n'aura pas d'impact significatif sur nos entreprises." Plusieurs dirigeants et managers, 1999

Comme le chantait Brassens, il y a des choses qui "ne se commandent pas"...

Le temps
Quand le monde va vite, il peut y avoir une urgence de la lenteur de même que quand le monde allait lentement existait une urgence de la vitesse. La seule lenteur qui vaille est celle qui fait grandir l'innovation. La lenteur de l'hésitation quand à elle est à proscrire. jeff Bezos, le créateur d'Amazon qui rejoint Bill Gates et Steve Jobs comme figure emblématique de la nouvelle économie a probablement maturé lentement son projet. Mais une fois cette maturation faite, il n'a pas du hésiter longtemps, sans quoi un autre lui aurait soufflé l'idée.
" Le tigre ne dit pas qu'il bondit, il bondit.", proverbe chinois.

Les tests
Les tests consommateurs ont la réputation d'être contraires à l'innovation. selon la formule classique de Roland Moreno, l'inventeur de la carte à puce, aucun consommateur ne demandait de carte à puce avant que cela n'existe. Le test renvoie au marché et le marché n'est pas innovant, il est conservateur par nature.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
6 février 2007 2 06 /02 /février /2007 03:53

"Exposés à une dose massive de compétences, le tyranodirector, le planificateur, l'engagé et le coopéraffectif, acquièrent des super-pouvoirs. Sous le nom des Quatre fantastiques, ils luttent contre les forces de la concurrence qui menacent leur société...

Bref résumé des épisodes précédents : Tout le monde s'étonne lorsqu'un manager, dont on disait qu'il ne réussirait jamais, change de job et arrive au sommet dans sa nouvelle entreprise... C'est qu'à chaque contexte, circonstance, genre d'équipe à encadrer, un type de manager correspond mieux qu'un autre. Et là, les experts sont formels, il y a quatre types !


"Le coopéraffectif, une équipe une famille" 

" Nous sommes un team et intimes..." Ce manager très participatif travaille "avec" son équipe, plutôt que pour quelque chose. A l'écoute, disponible, plus dans l'humain que dans la méthode, il fait circuler l'information et il est un diplomate transversal.

Clients, partenaires, consommateurs, autres services, etc... pourront être associés pour améliorer l'efficacité.

Performant dans les situations inédites et complexes, il fait émerger des solutions de la coopération. avec un côté "grand frère", il se préoccupe peu de la hiérarchie et parie sur la confiance réciproque. Il laissera ses collaborateurs décider à sa place si leurs orientations ne remettent pas en cause celles de l'entreprise. et saura fêter leur succès ou transformer les erreurs en occasion d'apprentissage.
Points faibles : copain avec ses collaborateurs, il risque de perdre en crédibilité et en autorité. Il va dans le sens de l'équipe, peine à décider, se laisse facilement convaincre pour ne pas froisser et pourra être inefficace.Un peu démagogue, il ne veut pas voir les rapports de pouvoir qu'induit la hiérarchie. Sa hantise: passer pour un tyran, gâcher l'ambiance...; il parle au conditionnel pour adoucir ses directives.
Collera avec une équipe de : collaborateurs autonomes et pourquoi pas dans une entreprise où il y a de gros soucis. Car il crée du liant. Il saura aller vers ceux par exemple qui ne s'expriment pas avant que les problèmes ne dégénèrent. A l'opposé, il s'entendra aussi avec des cadres de haut niveau : "Réunissez-vous et votre décision sera la mienne."

"Le planificateur ou débrouillez-vous"

Les directives claires ont été données méticuleusement et individuellement à chaque collaborateur, les différentes missions sont bien contractualisées, tous savenbt où ils vont à long terme... Il n'y a plus qu'à ! En attendant les réunions de mi-parcours fixées à des dates précises, d'éventuels recadrages cartésiens...
Assez froid, mais peu stressant, ce délégateur fait gérer pard 'autres les phases de stabilité et pendant ce temps, se consacre à des projets d'avenir par exemple. C'est plutôt un manager au sommet de la pyramide, qui s'appuie sur son directeur opérationnel et fera appliquer métronomiquement la srtratégie des actionnaires, la sienne ou celle d'un hiérarchique. Il est soit un stratége de haut niveau, soit un petit chef ennuyeux..."
Points faibles : assez bureaucrate, il se réfugie derrière les décisions prises. distant, peu communicant (ou par notes de services), il répond que "l'on verra plus tard" à un collaborateur qui lui apporte une idée... surtout pas de vague !
Et il ouvre son parapluie, constitué d'une foule de documents archivés, dés qu'un problème survient. Il n'assume guère son autorité et préfère l'indivualisme dans son bureau aux rapports humains. d'ou parfois des problèmes de motivation...
Collera avec une équipe de chercheurs travaillant seuls !

"L'engagé, il y croit"

Souvent jeune, il construit une équipe autour d'un relationnel fort et la convainc que ses méthodes sont les bonnes. Ce qui lui permet de réformer, tout en répondant aux objections et en suscitant les questions de ceux qui ne pigent pas le sens de ses actions.
Appliquant des méthodes de management avancé, il est très attentif aux nouveautés.
Efficace dans les situations de changement, il est dans une dynamique de progrès permanent, impliqué, motivé... Cette énergie le rend créatif. Mais "Il faut rendre à Cesar"... et ce manager a besoin d'être aimé. Ce qui lui permettra de monter au créneau avec son équipe stigmatisée !...
Points faibles : Il pourra dysfonctionner lorsqu'il n"a pas de colline à attaquer. Il croit aussi avoir trouvé le graal, ce qui est difficile à supporter pour des seniors. Son côté utopiste pourra donner aux collaborateurs le sentiment d'être livrés à eux-mêmes. Un peu baratineur, parfois impulsif, il fera beaucoup de bruits pour des résultats quelquefois insignifiants... Stressant !
Collera avec une équipe de commerciaux, de chefs de projets, de créatifs, etc, amenés à répondre à des appels d'offres, dans un contexte qui change tout le temps. Il aimera aussi les équipes transverses et sera à l'aise dans les métiers de parade.

"Le tyranodirector, c'est lui le chef"

Pas d'ambiguïté : c'est lui le chef ! La relation hiérarchique est claire, chaque collaborateur connaît ses prérogatives, ses objectifs, etc. Et des notes, des courriels rappellent tout cela ou informent des changements...
Mais l'autocrate sait aussi répondre aux questions personnellement, expliquer quand ça pêche. Et pour contenir son agacement de n'avoir point été compris du premier coup, mieux vaut un tête à tête au cours duquel il gardera la distance à laquelle il tient avec ses ouailles.
C'est aussi un "one minute man", rapide, plus soucieux des objectifs que des moyens. Il n'a pas peur de prendre des décisions, et ses critères sont factuels, précis, axés sur les résultats.
Points faibles : il manque de charisme, d'écoute et favorise le turn-over. mais veut apparaître fort, ce qui nuit à son intuition. "Il infantilisera des collaborateurs soumis". Les autres sont des contraintes à canaliser et il surveillera les pauses café...
Collera avec une équipe de collaborateurs peu autonomes qu'il sécurisera avec ses ordres. Il saura accomplir une mission du type, vous avez deux ans devant vous... et après on délocalise."

Avec quel type de manager voulez-vous travailler pour vous sentir bien ? Les études sont formelles : ils rêvent d'un chef à leur écoute, charismatique, sachant fixer des objectifs précis et donner les moyens de les atteindre, disponible quand c'est nécessaire, qui délègue, contrôle, entraîne et respecte es troupes, tranche, prend des décisions... Bref, des vertus qui correspondent plutôt à un autre genre de manager, engagé, ouvert aux nouvelles idées, aux changements, communicant, participatif,etc...

Même son de cloche du côté des entreprises,
"le style "engagé" est tout à fait adapté au monde de l'entreprise aujourd'hui".

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
6 février 2007 2 06 /02 /février /2007 02:31

"La vie étrange d'Ivan Osokin est l'un des contes les plus instructifs pour toutes celles et ceux qui croient aux scénarios de vie.

On propose à Ivan Osokin de revivre sa vie. La même. Les regrets et les remords en moins. Imaginez, vous vivez la même chose, les mêmes expériences, le courage en plus !


"La force du destin d'Ivan Osokin"

Parce que finalement, quand on y pense, à part les erreurs fatales, les conneries qui entraînent des conséquences graves, irrémédiables : accidents, décès, ruptures sentimentales ou familiales, il n'y a pas grand chose. A moins peut être les choix de vie, les "Et si...", "Et si j'avais saisi cette opportunité", " Et si je ne m'étais pas blessé au foot..." "Et si mes parents avaient..." " Et si ma femme..."

Parce que souvent finalement on rejette la faute sur les autres ou sur les aléas de la vie, jamais sur soi. Où rarement.


On revient sur Ivan : On lui propose de revivre sa vie, en lui prédisant qu'il va commettre à nouveau toutes les mêmes erreurs et refaire tout ce qu'il se reproche. Notre héros répond à cela que cela ne sera pas étonnant puisqu'on va lui enlever le souvenir de ce qu'il a vécu et qu'il n'aura donc pas le moyen de les éviter. Mais non, lui dit-on : contrairement à la politique habituellement suivi dans ces cas-là, il est autorisé à se souvenir de tout, et cela ne l'empêchera pas de commettre les mêmes erreurs. Il accepte ces conditions et, comme on pouvait s'y attendre, bien qu'il connaisse d'avance tous les malheurs qu'il provoque lui-même, il se conduit exactement comme dans sa première vie.


Ouspensky (l'auteur de ce conte) attribue cela à la force du destin...


Attention, il faut peser les mots : il n'est pas question de puissance cosmique ou métaphysique mais de la force d'un destin programmé depuis l'enfance par ses parents. Ainsi ( c'est la morale du conte) : tout être humain est contraint par son scénario de répéter encore et toujours les mêmes schémas de comportement, quelque regret qu'il ait des conséquences. On l'a refait : les schémas sont justement répétés dans l'intention de récolter des regrets !

Fascinant non ?


"Le cas étrange de M. Valdemar"

Mais c'est pas fini, un autre conte, le cas étrange de M.Valdemar, d'Edgar Allan Poe vient compléter cette image. M. Valdemar est hypnotisé juste au moment où il allait mourir. De ce fait, il survit un certain temps. Mais un beau jour, on le tire de son hypnose et, aussitôt, sous les regards horrifiés de son entourage, il se métamorphose en cadavre putréfié.

Autrement dit, il se "rattrape". En termes de scénario, cela aussi se produit tous les jours (les spécialistes sont formels). Les parents hypnotisent réellement leur enfant pour lui faire suivre un certain schéma de vie. Il montrera tous les signes de la vitalité tant qu'il lui sera possible d'aller de l'avant jusqu'à exécution complète de son destin scénatique avant de s'effondrer...

Tel est le sort de bien des personnes âgées ou "retirées" de par le monde.

Étonnant non ?

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

 Radio47"Un jour, un coach.

 

 C'est avec l'enthousiasme, l'énergie et le professionnalisme qui ont fait sa réputation en tant que formateur et conférencier que David Lefrançois vous livre la philosophie, les techniques et les stratégies de ce nouveau métier du développement personnel qu'est le "Life Coaching" dont voici quelques extraits.

 

Pour plus d'informations, vous n'avez qu'à vous rendre sur le site : http://www.neurosciences-institut.com


"Un bon coach importe de l’angoisse et exporte de l’énergie positive"

"Motiver une personne peut être un art et une technique. Un bon coach importe de l’angoisse et exporte de l’énergie positive.   Les 12 points : Validation de la personne, forte stimulation positive, objectif centré sur un idéal, haut niveau d'exigence, formulation des challenges, cadrage des limites, assistance technnique et affective, apprentissage constant, environnement positif, organisation de la motivation, écoute de l'opportunité.

  

Valider la personne : C’est l'accepter inconditionnellement, telle qu’elle est, avec ses qualités et ses défauts.  

 

"L’un des plus beaux cadeaux de ma vie me fut offert par le père d’un de mes meilleurs amis. Lors d’une conversation avec lui, alors que je rencontrais des difficultés, il me dit : "Tu t’y prends de la mauvaise façon avec les gens. En fait, tu n’as pas compris l’essentiel de la vie. Voilà, je te fais un cadeau : passe ta vie en considérant que tu es un apprenti et que toutes les personnes que tu rencontres sont des maîtres de sagesse et ont quelque chose à t’apprendre."

 

 Voilà ce que c’est valider la personne, portez sur elle un regard identique à celui que vous portez sur un enfant ou un bébé. Un bébé, vous le validez. On peut dire qu’il est beau ou pas beau mais on ne peut pas dire qu’un bébé est idiot ou qu’il est ceci cela. Un bébé on l’aime inconditionnellement pour ce qu’il est. Acceptez inconditionnellement votre client.


Responsabilisation
: Plus vous donnez de responsabilités à une personne, plus vous lui donnez du pouvoir personnel.

 
 Forte stimulation positive : 
Nous vivons dans un environnement dans lequel nous recevons 8 marques d’attention négatives pour deux positives. L’esprit critique a donc tendance à considérer le négatif avant le positif. Le but est d’inverser la tendance. Pointez 8 fois ce qui va et soulevez deux loups avec beaucoup de bienveillance.


 Haut niveau d’exigence :
Ne baissez pas la barre avec vos clients. Ayez un très haut niveau d’exigence vis à vis d’eux. L'objectif est de créer de la valeur ajoutée dans la vie de la personne. Si la personne n’a pas atteint son objectif, ne baissez pas la barre.

 Posez lui la question : "Comment une belle personne comme vous peut-elle ne pas atteindre ce résultat ? Qu’avez vous fait ou ne pas fait pour atteindre ce résultat ? Qu’avez-vous besoin d’apprendre ?"


 Extrait du discours d’un dirigeant :  "Je ne comprends pas comment des personnes aussi talentueuses ont pu obtenir ces résultats là, alors je ne vous licencierai pas. Alors que tout le personnel se préparai à l’épreuve d’un licenciement.

 Il ajouta : "En revanche, je souhaite qu’ensemble nous trouvions des raisons qui font que nous avons de tels résultats aujourd’hui, que nous définissions surtout les moyens pour atteindre des objectifs élevés et que nous fixions un challenge."

 Imparable !


"Avoir un impact sur le monde"

 Formulation de challenges : Est-ce qu’il est en challenge ? Est-ce qu’il poursuit quelque chose de grand pour lui ? Le but du jeu est que la personne est un impact sur le monde, qu’il pose une action même minime mais qui va le mettre en mouvement et systématiquement modifier son environnement. Un véritable processus de changement.

 Le principe de dynamisation. C’est une pensée devenue parole qui se transforme en action cohérente. Cela signifie amener l’autre à poser des questions qui ont du sens pou lui.

  

Exemple illustré par une expérience personnelle :

 "J’ai eu plusieurs compagnes merveilleuses mais toutes avaient ce point commun de demander de fermer la lunette et le couvercle des toilettes...

Si vous êtes un homme et que vous lisez ces pages, vous savez pertinemment de quoi je parle , et si vous êtes une femme et que vous lisez ces pages, vous savez très bien que ce que je dis est vrai.

 Je répondais "oui oui je vais le faire" mais en fait je ne le faisais jamais. Puis un jour, passionné de "feng Shui", j’ai suivi une conférence. A la fin la personne a dit : "Ah ! chose très importante… fermez la lunette des toilettes, à travers les toilettes, les mauvais esprits, les mauvais dragons arrivent dans la maison".

 N’ayant pas du tout envie que des dragons arrivent dans la maison, j’ai fermé la lunette des toilettes. Désormais ce geste avait du sens pour moi ; il était devenu sensé. Et depuis, - au grand désespoir de ma femme qui du coup n'a plus l'occasion de râler -, je ferme - à tous les coups - la lunette des toilettes.

 Et au diable les dragons !

 Rideau.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43

Almanach"La technique des "galoches magiques"


 

C'est est un outil très efficace pour se mettre à la place de l'autre. 

 A l'origine, un conte de H.C Andersen qui raconte qu’un vieux monsieur, un jour, se trompa de « galoches » en sortant d’un dîner en ville. Les galoches, une sorte de surchaussures en caoutchouc étaient celles d’une fée.

 Elles lui permirent d’entrer dans la tête des gens et d’y lire leurs pensées.


 Et comme il arrive dans les contes, elles lui causèrent toutes sorte d’aventures jusqu’à ce qu’ils les perdent dans un autre dîner. La métaphore « galoches magiques" fait souvent tilt dans l’esprit du coaché plutôt que "positions de perception" Les très bon négociateurs ont tous une stratégie particulière pour se faire une idée pertinente des tenants et aboutissants et prendre des décisions appropriées. Ils se représentent la situation de plusieurs points de vue. 


 La leur : position 1 (je suis associé à mes émotions)

Celui de leur interlocuteur : position 2 (je me mets "dans ses chaussures", je fais comme si j’étais lui, je regarde par ses yeux, j’entends par ses oreilles, je ressens ce qu’il ressent et je tire de tout cela les conclusions que je tirerais si j’étais lui. (je suis  toujours associé mais cette fois-ci aux émotions que l’autre est en train de vivre.

 

 Il faut s’imaginer être lui, imaginer son corps, sa stature, sa posture, son attitude. Il faut se voir soi-même comme étant en face de lui que je suis devenu et ressentir ses émotions. (vérifier que la personne parle d’elle en "il" "elle" et de son adversaire en "je, moi", qu’il ressent les émotions de l’autre.


 Celui d’un conseiller observateur, informé mais dépassionné et extérieur à la situation : position 3, je me place dans la peau d’un consultant externe non impliqué, neutre. Je ne donne e raison ou tord à personne.

 

 Je n’éprouve aucune émotion, ainsi je peux voir les aspects de l’interaction et les détails qui ont échappé au regard dans la position 1 et 2 trop teintées par l’émotion. Cela veut dire que je suis dissocié. Vérifier que la personne parle d’elle en "elle", "il", qu’il n’a pas d’émotions. 

Démarche : 


1 Le coaché raconte en position 1

2 Le coaché raconte en position 3 

3 Le coaché raconte en position 2 

4 Le coaché retourne en position 1 une dernière fois en l’enrichissant des éclairages que un et deux lui ont apportés. 

5 Le coach demande au coaché de préciser tout ce qui a changé entre le premier récit et cette 4ème version  et d’esquisser une stratégie appropriée.

 


 La technique des "galoches magiques" permet de multiplier les angles de vue et les vecteurs d’information utiles pour mieux négocier, avec plus de justesse, donc plus de succès.           

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:43
Marilyn"Ce carnet a fait couler beaucoup d'encre.
 
 Et nourrit bien des conversations, on lui a prêté des rôles variés parfois cocasses, comme s'il contenait des formules magiques, or il s'agissait d'un simple aide-mémoire. On écoute Aimé nous le présenter :

 "J'y consignais un certain nombre d'informations basiques auxquelles je pouvais me référer en quelques secondes lorsque survenait une situation imprévue, exigeant une prise de décision rapide.

 

 Je n'y avais pas recours systématiquement, car la solution pouvait s'imposer à moi avec évidence, mais c'était ma "roue de secours" en cas d'hésitation ou pour confirmation.  

 

 Il contenait tout ce qu'il fallait pour m'aider à rester "froid" dans les situations "chaudes" :


Côté droit, il y avait un bloc-notes avec les fiches techniques de tous les matchs de l'équipe de france : les compositions et les remplacements.

 Quelques matchs se trouvaient en exergue (les match-références), en m'y reportant je trouvais des repères comme Italie/ France et Roumanie/France.

 Suivait une mini-fiche sur chaque joueur, poste, rôle que nous lui avions confiés en sélection et les dispositions que nous pouvions prendre avec lui en fonction des évènements.

 A gauche, le plan de jeu des deux équipes, c'est à dire les 22 joueurs en présence, positionnés tactiquement sur le terrain.

 Sur une feuille j'avais noté en quelques phrases très courtes des réflexions ou des signeaux d'alerte : ballons perdus à 40 mètres de nos buts, domination stérile, jeu trop latéral, comment s'organiser si on est dominé dans le jeu aérien.

 Enfin en lettres capitales, j'avait inscrit ce mot d'ordre : NE PAS S'OCCUPER DE L'ADVERSAIRE."  

 

 "Qu'est devenu cet objet M. Jacquet ?  

 

 Ces fiches, je les ai presque toutes jetées juste après la finale, comme les notes de préparation pour mes causeries d'avant-match. J'ai toujours procédé ainsi : ne rien garder de ce qui a déjà servi, c'est la certitude de ne pas retomber dans le déjà-vu. C'est l'obligation de se renouveler, d'imaginer autre chose, autrement. 

On ne progresse qu'à ce prix. 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
1 février 2007 4 01 /02 /février /2007 00:06







"C'est Josiane Berthelot qui a lâché le
morceau : "Mon premier souvenir, c'était avec Jojo, quand ça sentait le sapin à la maison on passait sous la table pour aller à "Baillonoir", un monde  imaginaire, tapis rouge de Carmaux à Paris pour accéder à un monde magique. Un Disneyland avant l'heure en somme, son conte à elle...


Un conte est un outil puissant de développement personnel et de communication. Ce qui le caractérise, c'est le merveilleux, le miraculeux, c'est-à-dire l'accès soudain au changement, dans l'instant créatif, par la rencontre en direct avec les réponses cherchées.

Si nous savons les écouter avec le cœur, nous pouvons réveiller et développer notre créativité afin de rentrer
dans "l'infini des possibles"... 

"Les miracles sont toujours contés."

Quel a été votre conte ? Question éminemment cruciale parce que si on en croit le docteur Berne, les contes qui ont bercés nos rêves d'enfant conditionnent la suite. Ainsi, suivant les contes qui nous ont été contés, on pourrait expliquer nos scénarios de vie, le début et la fin...


Un exemple ?  Rudin a réalisé une étude sur 25 ans, les scénarios des batisseurs reposaient sur des histoires de réussite et ceux des gens qui visaient le pouvoir sur des histoires d'aventures. "Barbe bleue" pour  celles et ceux qui ont le goût du risque, la curiosité, "Cendrillon" pour celles et ceux qui croient en la beauté de leurs rêves, "Le petit Prince" pour... les autres ! 


Le débat devient passionnant quand Antonin Peragnoli  rebondit la dessus en faisant le lien entre "se mettre à son conte" et "se
mettre à son compte", on l"écoute : "Le créateur vit dans son rêve, et il ne faut ni le réveiller, ni le décourager. Il rêve d'innover, de fabriquer, de vendre, d'exporter, d'embaucher, d'animer des équipes motivées..."


Il en rajoute une couche en ouvrant une parenthèse : "Les qualités de réception sont au nombre de quatre : compréhension, analyse, synthèse et mémoire. Elles permettent d'obtenir les diplômes les plus prestigieux.
Les qualités d'émission sont toutes les autres, en particulier l'imagination créatrice qui est si rare puisque, d'après les américains, une personne sur quarante en serait dotée de façon congénitale. Elles comportent aussi la combativité, la pugnacité, la ténacité, le sens du commandement, le goût du risque, le sens de l'animation des hommes, le charisme, le dialogue et même le simple bon sens (le pinguis Minerva des agriculteurs romains) qui permet de prendre 80% des décisions quotidiennes jusqu'au plus haut  niveau."

Il ajoute : "D'après le professeur Lucien Israel, "la réception ressortirait au cerveau gauche de l'intellectualisme, et l'émission au cerveau droit des talents artistiques."
Pour Yvon Gattaz, ce critère émission-réception est décisif pour la création d'entreprises. Les seuls récepteurs même éminents échouent. Les émetteurs réussissent. Le risque n'est pas où on le croit le pire des risques est de n'en courir aucun. Fin de citation. Fin de la parenthèse.


On recadre : l
es contes merveilleux de notre enfance sont de véritables rébus à " décoder ". Leur langage est symbolique et leur sagesse cachée propose des solutions à toutes sortes de difficultés (la morale). Ils
nous rappellent à notre bon souvenir, ils nous ont influencés, guidés, orientés vers un idéal, le notre, et si on écoute notre voix intérieure, en le laissant résonner, on peut alors croire au miracle. Alain ne disait-il pas que "Les miracles sont toujours contés."...

Encore faut-il travailler la dessus, dans tous les contes, il y a un contexte, un roi, un héros, une fée, des méchants et une morale, v
ous pouvez utiliser la terminologie de l'analyse de scénario, les crapauds et grenouilles, princes et princesses, gagneurs et perdants, sorcières et ogres et racontez-nous votre vie comme un conte de fées...


Essayez, vous verrez… c'est magique !

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Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin