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3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 12:37








"Il était une fois un psychiatre (Hector) qui n'était pas trés content de lui : Il voyait bien qu'il n'arrivait pas à rendre les gens heureux. Il décida alors de partir sur le champ en voyage autour du monde pour comprendre ce qui fait vraiment le bonheur.

Entre voyage initiatique et conte pour grandes personnes, le regard tendre et amusé d'un psy sur nos doutes et notre soif du bonheur. Et les leçons qu'il en tire...

Leçon n°1 : Un bon moyen de gacher son bonheur, c'est de faire des comparaisons.

Leçon n°2 : Le bonheur arrive souvent par surprise.

Leçon n°3 : Beaucoup de gens voient leur bonheur seulement dans le futur.

Leçon n°4 : Beaucoup de gens pensent que le bonheur c'est d'être plus riche.

Leçon n°5 : Le bonheur parfois, c'est de ne pas comprendre.

Leçon n°6 : Le bonheur c'est une bonne marche au milieu des montagnes.

Leçon n°7 : L'erreur, c'est de croire que le bonheur est le but.

Leçon n°8 : Le bonheur c'est d'être avec des gens qu'on aime.

Leçon n°9 : Le bonheur, c'est que sa famille ne manque de rien.

Leçon n°10 : Le bonheur c'est d'avoir sa maison et un jardin. 

Leçon n°11 : Le bonheur, c'est de se sentir utile aux autres.

Leçon n°12 : Le bonheur c'est d'être aime pour ce que l'on est.

Leçon n°13 : Le bonheur c'est de se sentir completement vivant.

Leçon n°14 : Le bonheur c'est de faire la fête.

Leçon n°15 : Le bonheur c'est de ne pas attacher trop d'importance à l'opinion des autres.

Leçon n°16 : Le soleil et la mer, c'est le bonheur pour tout le monde.

Leçon n°17 : Le bonheur, c'est une manière de voir les choses.

Leçon n°18 : Un grand poison du bonheur, c'est la rivalité.

Leçon n°19 : Les femmes sont plus attentives que les hommes au bonheur des autres.

Leçon n°20 : Le bonheur, c'est de s'occuper du bonheur des autres.

Le bonheur, c'est de s'occuper du bonheur des autres...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
28 août 2008 4 28 /08 /août /2008 15:10





"S
chadenfreude
, constitué des mots allemands Schaden et Freude, condamnation et joie. Cela veut dire qu'on prend un malin plaisir, une malveillance dans le malheur des autres.

Nous avons tendance à mettre  ça sur le compte de la nature humaine. Sur le mauvais côté de la nature humaine. Mais c'est beaucoup, beaucoup plus que ça.

"Un phénomène médical physiologique"

Récemment, un professeur de Stanford a d'ailleurs capturé Schadenfreude dans le scanner d'un cerveau. C'est un phénomène médical physiologique.

Quand on voit les autres tomber de leur piedestral, cela provoque parfois des causes chimiques reliés a la partie droite du cerveau et cela apporte du plaisir.

Si vous regardez les nouvelles ou lisez les journaux, vous verez une joie indéniable des médias et du public. Parce qu'en plus Schadenfreude fait vendre.

La chute de Manaudou, l'échec de l'équipe de France, les bourdes de Ségo, les insultes de Sarko, le licenciement de PPDA, la tête de Zizou, la main de Titi, la dépression de Castaldi, la prison de Bernard Tapie, les dérapages de Samy Naceri, mais aussi nos ex, nos voisins, nos anciens amis et en général et en particulier toutes celles et ceux qui ont réussis.

Ne nous méprenons pas, la seule chose, le seul chemin ici pour une condamnation de tout un chacun est : Schadenfreude. 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 11:51





"U
n long dimanche de fiançailles
encore, Jean-Pierre Jeunet a la baguette, on l'écoute :

"On s'est rendu compte que les gens avaient du mal a identifier les personnages par leurs noms. Donc j'ai eu l'idée chaque fois qu'on parle d'eux de rajouter la fonction. "Bastoche le menuisier", "Benoit Notre Dame, le paysan de la Dordogne"... Cela a aidé énormément les spectateurs a savoir de qui on parlait."

"Une expérience Canadienne"

Cet exemple n'est pas sans rappeler une expérience Canadienne où uneéquipe de psychologues a montré a un groupe de volontaires des photos de personnes qui leur ont été présentées par leur nom. On leur demande de les mémoriser. Ils ont ensuite présenté a un autre groupe de personnes les mêmes photos mais en leur indiquant le métier qu'ils exerçaient. Quelque temps plus tard, on leur a remontré les photos et on leur a demandé de se souvenir de "qui était qui". Si les volontaires du premier groupe ont eu beaucoup de mal a se souvenir du nom des personnes, en revanche ceux du second se souvenaient nettement mieux du métierqu'ils exerçaient.

L'explication est simple, les noms propres ne signifient rien, ils caractérisent simplement la personne qui le porte tandis que le métier donne de nombreux détails sur ce qu'il fait, avec quoi il travaille, ce qu'il produit, avec quel type de gens il est en contact, etc etc... Ce qui facilite d'autant le travail de la remémorisation.

Décidément, aujourd'hui ce blog est en forme, il dépasse Descartes et son "Je pense donc je suis",il surclasse Jean-Jacques Goldman et sa chanson sur les choses avec le refrain "J'ai donc je suis" en annonçant haut et fort a qui veut l'entendre que maintenant il est temps de remettre les pendules à l'heure avec :
"J'ai un métier donc je suis."

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
29 avril 2008 2 29 /04 /avril /2008 19:35










"Le coaché vient avec son envie de changement mais aussi avec son flot de résistances. Nous sommes confrontés à un paradoxe : une partie d’elle-même désire changer, une autre souhaite résister et c’est humain !

Nous vivons tous dans cette ambivalence d’avoir envie de vivre la version la plus grandiose de qui nous sommes d’une part, et une pulsion de la voie du moindre effort d’autre part et c’est l’acceptation de cette ambivalence qui fait que les personnes sont tolérantes.


"Le cerveau ne percevant pas la négation, l'objectif doit être formulé positivement."

La technique du "In-SPIRE" renvoie naturellement à inspirer la personne. Vous avez tous été comme moi envoûtés par une belle musique, à faire des plans sur la comète ou à vous retrouver dans un endroit magique, inspirant, et de ce fait, à laisser votre esprit rêver à la réalisation de grands projets, état interne auquel vous étiez connectés vous permettant d’être créatifs et d’avoir une vision de vous-même mais en mieux.

Voilà la raison d’avoir appelé cette technique
"In- SPIRE"

Situation
Problème
Implication
Résultat Espéré

Un exemple à la clé :

- Que voulez-vous vraiment ?
- Perdre 10 kg

Le cerveau ne percevant pas la négation, elle doit reformuler un objectif positivement. Si je perds une chose, la première envie que j’ai, est de la retrouver. C’est peut-être une des raisons pour laquelle beaucoup de personnes font des régimes « yo-yo ».

Ainsi je pose la question :

- Qu’est-ce que vous voulez retrouver ?
- Mon poids de forme qui est de…
- C’est vraiment ce que vous voulez ?
- Oui.

Et le tour est joué.

Extrait de Guide pratique du Life coaching de David Lefrancois 
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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 00:19








"La scène se passe à l'hôtel Ibis d'Earl Curl.

400 personnes ont le couteau entre les dents, les animateurs n'y vont pas de main morte, musique, vidéo, tout y passe. Le thème ?
La gagne !
 
Ici, pas de place pour les perdants, si Poulidor a le malheur de jeter un oeil à l'intérieur, il va se faire refouler à coup de pieds au cul. Ouste, dehors, du balais. Pas de pitié pour les perdants !
 
Il semble dorénavant acquis qu'il faille gagner pour exister, c'est comme ca. D'ailleurs le dernier candidat en date refoulé de l'émission The Apprentice n'a pas maché ses mots quand il s'est fait virer, il a aussitôt déclarer, je cite : "Il y a deux sortes de personnes dans le monde : Les gagnants et les... j'ai oubliéle nom de l'autre catégorie." 
 
Mais une question que tous les lecteurs de ce blog se posent : A quoi reconnait-on un gagnant ? Est-ce que 9a se voit ? Est-ce écritsur le visage ? Une attitude ? Dans la gestuelle peut-être ?

Que neni! Il suffit de suivre la formation, extraits :
 
Mode d'emploi pour devenir un gagnant :

1) Répéter à haute et intelligible voix les phrases suivantes :  
 
Je suis un champion parce que...
... J'ai un grand désir de succèss
... Mes talents créent des opportunités infinis
... Je tombe 5 fois et je me relève 6
... J'apprends des leçons que je reçois
... J'ai faim de coaching
... Je suis focusé sur les objectifs
... Je corrige mes défauts qui deviennent mes plus grandes forces 
... Je suis courageux, discipliné et confiant 
... Je joue toujours pour gagner !!! !
 
Toutes les heures, rebelote, quand c'est fini, tout le monde se tape dans les mains en craint : "Tu es un champion". "Toi aussi tu es un champion", "On est des champions". Résultat des courses : Les gens se touchent, la dynamique se crée, le contact s'installe.

La machine à gagner est en route...
 
2) On monte sur l'estrade et on explique pourquoi on est un champion avec exemple à la clé. Les applaudissements fusent pour que tout le monde se retrouve dans une casquette mentale positive. Et attention aux mots interdits, tous les mots négatifs sont à banir, c'est dix pompes ! On ne lesine pas là-dessus. Tout le monde se prend au jeu, dans la salle, le vestiaire et même les toilettes, les gagnants font des pompes ! Il semble dorénavant acquis que le gagnant est sportif.
 
3) Il est temps de jouer parce qu'un gagnant aime jouer, on constitue alors des équipes de deux, et à tour de rôle chacun ou chacune doit raconter une histoire, son partenaire le coupe toutes les 10 secondes avec le mot magique "change", extrait pour visualiser :

"Cendrillon se dirige alors vers la salle de bain
" "change" "vers la cuisine pour préparer à son amoureux" "change" pour faire la vaisselle car hier soir son ami Bob a fait la feêe et" "Change" "
car la semaine dernière sa voyante lui a dit que les mauvais esprits passaient par l'évier..."
 
Le lecteur est en droit de se poser la question sur l'intérêt de ce jeu, c'est que, en fait, le gagnant doit être capable de s'adapter en permanence. C'est à ça qu'on le reconnaît.
 
Bon, je vous passe les détails sur toutes les techniques de marketing utilisées pour sortir le carnet de chèque parce que il ne faut quand mêe pas déconner, un gagnant met toujours la main à la pate.
 
Est ce que ça marche ? C'est étonnant, imparable, les sourires se décrispent, les mains s'ouvrent, les gens se prennent dans les bras, une femme prend le micro pour pousser la chantonnette à capella, 30 personnes se lèvent comme un seul homme sur les paroles de "I want to move it... move it", et les gens se font des amis... Le temps d'un week end. Et le temps d'encaisser le chèque... Mais ne vous y fiez pas, rappelez-vous ce que disait Antoine de St Exupery :
 
"Les hommes n'ont plus le temps de rien connaitre. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis..."
 
Désolé les gars, vous avez perdu...
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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 00:09
 
Contrairement aux idées reçues, l'on n'est pas un gagnant ou un perdant tout le temps : cette vision simplette et simpliste de l'être humain est très irréaliste. Le docteur Eric Berne, "père" de l'Analyse transactionnelle, disait que les gagnants sont ceux qui savent quoi faire quand ils perdent, tandis que les perdants sont ceux qui n'imaginent pas un instant qu'ils puissent perdre.
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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 16:56









"L'histoire qui suitest l'histoire de Francois Delivré, extrait :

"Je l'ai vécue en classe de première. J'étais bon élève en français et en histoire, et me situais en milieu de classe dans les disciplines scientifiques. J'avais beaucoup d'ambition pour la suite de mes études et un soir, je demandai un rendez vous au "père" Gervaise qui était a l'epoque le "prefet" de notre classe et en qui j'avais grande confiance. Il m'accueillit dans le petit bureau du 1er étage. Je m'ouvris a lui de mes soucis et lui demandai conseil. Il m'écouta puis me dit :

- Pourquoi ne ferais-tu pas Polytechnique ?
- Je le regardai, stupéfait. Des rêves de gosse jaillissaient : L'épée, le bicorne. Hélas, hélas ! château en espagne, car :

- Vous le savez bien : je ne suis pas bon en maths...
- Tu le deviendras.

C'est cela la puissance." 

"Sans maîtrise, la puissance n'est rien"

L'histoire que je vais vous raconter maintenant est l'histoire d'Antonin Peragnoli , morceaux choisis :

"J'étais en terminale, dernier de la classe avec Toursalino. Au niveau scolaire, on était pas des foudres de guerre. Mais il était bon en dessin et moi en sport. J'avais peu d'ambition pour la suite de mes études, jusqu'au jour de la remise des copies de l'interrogation sur les probabilités.

- Antonin, 8.5/20.

L'immense majorité des profs que j'ai connu aurait dit et écrit "Peux mieux faire Peragnoli."

Mais Mr Granier homme à qui on ne la fait pas, homme qui fait son métier avec passion et talenten prenant autant soin des cadors que des derniers de la classe a dit et écrit, je cite :

- "8.5 Antonin, en travaillant tu peux doubler ta note... "

Le soir même je me suis mis au travail, parce qu'il ne faut pas sortir de Sciences Po pour savoir que 8.5*2 ça fait 17, alors je n'ai pas fait polytechnique, mais j'ai eu mon bac ! Mr Granier m'avait débloqué en éveillant ma conscience." Fin de l'histoire.

La puissance personnelle d'un coach se situe au moment où son action bouscule dans le cadre de référence du client. Le coach n'intervient pas alors par plaisir sadique, mais parce que c'est la condition du changementvoulu par le client lui-même, Même si les conséquences concrètes de ce changement l'effraient.

Raymond Hostie parlait ainsi de la puissance : Comment situer la puissance ? Le langage de tous les jours nous livre une clé. Il parle de faire douce violence à quelqu'un quand on le pousse avec force à faire ce qu'il hésite a faire, n'ose pas faire ou s'interdit de faire alors qu'au fond il y aspire. Alors que la violence vise à annihiler la volonté propre, la puissance, cette douce violence, s'offre pour la lui restituer a un niveau fondamental.
Elle doit être ferme, voire inébranlable.

C'est Aimée Jacquet qui dit a Robert Pires : "Il te faut muscler ton jeu Robert sinon tu vas avoir des problèmes." C'est Yannick Noah qui glisse à Henri Leconte qu'il "a trois mois pour être prêt pour la finale, je compte sur toi tu vas faire gagner la coupe Davis à la France" alors que ce dernier n'a plus gagné un match depuis des lustres et qu'il a un dos en compote.

La puissance, c'est aussi Bernard Tapie qui annonce aux joueurs marseillais avant d'affronter le grand Milan que "J'ai la meilleure équipe du monde. En face, je ne voix que deux joueurs dont je voudrais chez moi Gullit et Maldini. Les autres je n'en aurais rien a foutre... En ce moment j'ai la plus grande équipe du monde."

Ou le père de Lee Iacocca qui quand son fils lui annonça triomphalement qu'il était 12ème sur 900 répliqua à son rejeton : "Pourquoi n'es-tu pas premier ?"

La puissance passe parfois par des phrases sans pitié.

On debrieffe : Du charisme, des convictions, du bon sens et de la maîtrise, parce que sans maîtrise, la puissance n'est rien...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:43

le-triangle-noir001.jpg"Le triangle de Karpman montre qu’il est souvent difficile de sortir des jeux psychologiques : sauveur, victime, persécuteur.

 En fait, on joue des rôles et 80% des coachés sont des victimes. C’est à dire que ce qui leur arrive n’est pas de leur faute. Difficile de leur en vouloir car notre société est bâti sur ce principe.

 Ce rôle est confortable et surtout il n’engendre aucune remise en question ou en cause. Puisque l’autre est le responsable, je préserve mon identité, excepté que je n’évolue pas d’un iota. 

 Autre rôle : celui du persécuteur. C’est celui qui sait, qui commande et qui va pointer du doigt ce que vous ne faites pas bien. En fait, il va avoir une action sur la victime. 

 Cela étant, la victime peut attirer les bonnes grâces d’une troisième personne : le sauveteur. C’est celui qui vous tend la main, qui vient vous aider, parfois même quand vous ne l’avez pas demandé.  

 Quand nous sommes dans ce triangle, tant que nous n’avons pas une vision claire afin de nous en sortir, nous y restons.


Pour la route, une petite histoire qui représente à merveille ce triangle :  
 

Au supermarché, afin d’être tranquille une épouse achète une BD à son fils mais naturellement, celui-ci insatisfait, en réclame une seconde… Et là, que se passe-t-il ? La maman mécontente refuse et le petit se met à pleurer et à hurler.  

Bref, il joue au persécuteur et sa maman endosse le rôle de victime. D’ailleurs, à un moment donné, sa maman fera appel à un sauveur en disant : "Tu va voir, quand nous serons à la maison, j’en parlerais à ton père."

 Et le pied est mis dans le triangle infernal.


 Effectivement, une fois à la maison, elle rapporte à Olivier : "Oh ton fils m’a joué une sérénade dans le magasin. Quelle honte ! Je ne savais plus ou me mettre."  

 

 Et là que décide le père ? Il pousse une soufflante à son fils. Il élève la voix tellement fort que le gamin fond en larmes. Maintenant le père joue le rôle de persécuteur, l’enfant de victime et la maman va prendre naturellement le rôle de sauveur en disant : "Mais chéri , qui t’a demandé de crier de cette façon ?"

 

 Que va-t-il se passer ? Olivier commence à se disputer avec sa femme, alors elle devient persécutrice : "Oui c’est toujours de cette façon là que cela se passe…"


Lui devient victime : "Ecoute, il faudrait savoir ce que tu veux, est-ce que c’est une éducation… ?"

 

 Alors l’enfant, à un moment donné, va se mettre à pleurer en disant : S’il vous plaît ne vous disputez-pas !  

Et là l’enfant tient le rôle de sauveur à son tour.


 Cela signifie que lorsqu’on se trouve dans le triangle, quand on a endossé l’un des rôles, alors souvent, il faut se préparer à vivre tous les rôles car c’est ainsi que cela marche !   

Si on vous dit "Vous savez ce n’est pas de ma faute, parce que …", on vous invite à rentrer dans le triangle afin que la personne joue le rôle de victime et vous de sauveur. Là, il est urgent de sortir de ce triangle afin de passer dans un autre dénommé "pouvoir, puissance, permission".  
 

Ce qui nous emmène tout droit au second triangle : pouvoir, puissance, permission.   

 La notion de pouvoir est simple. Elle est très bien illustrée dans le film Spider Man, lorsque l’oncle d’un jeune enfant lui dit : "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités". Vous inversez cette phrase et vous avez exactement la définition du pouvoir.  
 

 Le premier rôle du coach est de rendre l’autre responsable et lui rappeler une règle de jeu très claire : nous sommes les premiers responsables de ce qui nous arrive dans notre vie et nous ne devons accuser ni les autres ni le contexte.  
 

 La puissance, c’est jouer sur la notion de talent, c’est voir les talents de la personne et ceux qu’elle doit développer pour passer à un niveau supérieur. En clair, c’est aller chercher chez la personne ce qu’elle va pouvoir mettre en place pour se sortir de la situation. C’est puiser dans ses ressources.    

Autre point, si une personne ne progresse plus, stagne ou régresse, c’est qu’elle est bloquée sur sa qualité première. Elle use et abuse de ce qu’elle sait faire.

 

 Un exemple : si je coache un manager autoritaire (être autoritaire est une qualité, excepté quand je ne sais plus faire que cela et qu’alors cela commence à me desservir), il va falloir que j’aille chercher la qualité inverse c’est à dire le pardon.


 Et quand mon manager sera aussi talentueux dans l’art de pardonner qu’il est dans celui d’être autoritaire, j’aurai une personne puissante. Cela renvoie à la notion de charisme qui est la capacité de pouvoir adopter un comportement à ses différents extrêmes. Plus j’ai une palette large et plus je prends de la puissance.   

Enfin, en ce qui concerne la notion de permission, beaucoup de personnes ne s’autorisent pas à être différentes, à changer de pensées ou de comportements et alors là, le rôle du coach est de leur octroyer des permissions. 

Le reste n'est que litterature... 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 18:21

journal"Connaitre les cycles d'évolution, de l'analyse à l'action est indispensable pour toutes les Mamies qui se respectent.



 On parle souvent du changement et cela fait peur car, derrière le changement, un impératif fait jour : je dois être quelqu'un d'autre, or je n'ai pas envie d'être quelqu'un d'autre. La notion d'évolution est mieux ressentie parce qu'elle semble moins brutale. Lorsqu'une personne évolue elle traverse différents cycles.

Le lancement...


 Période ou on est exclusivement centré vers l'extérieur. Phase dans laquelle je me trouve lorsque je démarre un travail ou une relation affective en laquelle je crois. J'ai envie d'apprendre, de progresser. Je suis dans l'enthousiasme, dans l'énergie et je suis très motivé.

Dans ma vie privé : Je tombe amoureux. Je suis centré sur les bienfaits, les qualités et les compétences de cette personne. Je vois uniquement le beau chez elle. Je suis complètement passionné par la relation et malgré un emploi du temps chargé je me libère pour la rencontrer et l'écouter. Une capacité d'écoute incroyable mais qui disparaît parfois rapidement. Je désire construire ma vie avec elle.

Puis arrive la phase "plateau", je désire bénéficier de la réussite de ce que j'ai accompli. En clair, j'aime la personne, je suis conscient de ses qualités et de ses défauts et tout va bien.

Au niveau pro, en phase plateau, on se pose la question "que dois-je faire pour l'alimenter ?" Qu'aies-je besoin d'apprendre, de développer pour continuellement aimer mon travail et être passionné par celui-ci ? De quoi ais-je besoin ?

Pour le couple : "de quoi ais-je besoin pour améliorer ma relation de couple ? Pour pimenter ma relation ? de quoi ce couple a-t-il besoin ? De quoi ma compagne a-t-elle besoin ? De quoi ais-je besoin ?"

Si je me pose en permanence ces questions, je peux maintenir une phase plateau pendant des années. En revanche, si vous n'alimentez pas cette phase, vous passez en phase 2...



"On n'apprend rien des expériences délicieuses."

 

... Le déclin


 Phase dans laquelle j'aime toujours ce que je fais mais certaines choses ne me conviennent plus et me pompe de l'énergie. J'aime la personne avec qui je vis à part que certains de ses comportements me dérangent comme la jalousie par exemple.
Voilà ce qu'on appelle le déclin : je suis toujours tourné vers l'extérieur, je bâtis mon chapitre puisqu'en phase 1 et 2 on est toujours dans la construction d'un nouveau chapitre de vie mais je vais avoir des choix à faire : phase de résolution des problèmes : identifier ce qui me convient et ce qui ne me convient pas.


Deux possibilités : soit je pose une action me permettant de régler le problème rapidement et je reviens en première phase (mini-transition) : meilleure gestion administrative... je me motive à nouveau, j'avance, j'apprends.

Avec ma compagne, j'engage une vraie discussion afin de lui expliquer que ses comportements sont inadéquats. Également je réfléchis sur mes propres comportements qui ont pu générer ce problème. Chacun fait des efforts, elle s'engage à ne plus rentrer dans des scènes de jalousie et moi à surveiller mes comportements. Suffisant pour revenir en première phase.

Problème quand mini-transition est devenue impossible, on est alors obligé de mettre en place une suite de mini transitions qui coûte beaucoup d'énergie.

Ex : Travail = difficultés récurrentes qui provoque un manque de passion et qui fait qu'on est plus centré sur la problématique que sur la créativité, je me lasse à un moment donné.
Couple = malgré diverses conversations, elle multiplie et de manière convulsive les crises de jalousie. Cela devient de plus en plus pénible et de moins en moins gérable à tel point qu'on ne croit plus aux mini-transitions. Vous rentrez en phase trois.


... Le marasme ou cocooning


 C'est un moment ou je peux changer de profession ou de fonction ;
Moment ou on se dit "je ne veux plus ça"
Période de remise en question de ce qu'elles étaient et de ce qu'elles faisaient pour accéder à autre chose.

Couple : Je peux me demander "qu'est-ce qui m'a fait rencontrer cette personne" je peux me rendre compte que j'étais conscient de la problématique de cette personne mais que j'étais en mode sauveur et que je pensais pouvoir régler le problème : la toute puissance. Là, je me pose les vraies questions sur moi-même, qu'est-ce que je veux vraiment ? qu'est-ce qui a fait que j'en suis arrivé là,

Culturellement en Europe, on a peur d'entrer dans cette phase, la seule dans laquelle il paraît malsain de se retrouver.
Après avoir divorcé, j'étais invité par des amis ou il y avait des jolies célibataires mais je n'avais pas envie de cela, j'étais dans une période ou j'avais besoin de me poser, d'être centré sur moi, d'être caché sous la couette à regarder des films débiles et à manger des cacahouètes en buvant du Coca-cola. Phase de marasme appelée cocooning. Phase d'intériorisation, souvent apparentée au blues, à la déprime et culturellement parlant c'est incorrect d'avoir une déprime. Beaucoup de personnes prennent des médicaments. Cela génère souvent des zombis.
Or, ces périodes de trouble sont nécessaires et c'est d'ailleurs au cours de ces moments là que ce construit le plus l'identité.

Antony Di Melo a dit : "On n'apprend rien des expériences délicieuses."


Pendant cette phase vous allez reconstruire votre identité.

On est les champions du monde de la consommation d'antidépresseurs et de neuroleptiques et également en terme de taux de suicide. En termes de dépressions notre pays se trouve dans le top 5 mondial. La peur de la zone 3. or on doit y aller et plus on retarde l'échéance, plus le choc sera violent.

Le problème de la phase 3 n'est pas d'y être mais d'y séjourner. Si vous vous posez les bonnes questions, vous vous en sortirez. Et si les gens en ont peur, c'est parce qu'ils redoutent leurs émotions.

Phase 3, question à se poser : Qui suis-je ? Qu'est-ce que je veux pour moi ?

Petite histoire : "Un jour, un messager arrive à la cour du roi et il annonce que la fille du roi a épousé, en secret, le fils du pire ennemi du roi. Le roi entre dans une colère épouvantable et tue le messager sur le champ. Avant d'enterrer ce dernier, on lui retire ses vêtements et on s'aperçoit que le messager est en fait la fille du roi qui avait utilisé ce subterfuge par peur d'annoncer elle-même la nouvelle à son père".

Moralité de l'histoire : Ne tuez jamais le messager, ne tuez jamais les émotions. Chaque émotion a un sens et une raison d'être, elle est porteuse d'un message si on l'écoute, on devient émotionnellement intelligent.

"Quelles sont les émotions que vous vivez est-ce de la frustration, de la colère, de l'apathie, de la tristesse ? Chaque émotion est porteur d ‘un message, quel est-il ? Et si en retour vous deviez poser une question, quelle serait-elle ? Si vous vous posez les bonnes questions, vous entrerez en phase 4... 


... Le renouveau ou l'expérimentation

Après le deuil, on quitte une relation... Je sais ce que je veux, je sais ce que je ne veux plus. Je vais poser des actions nouvelles.


On debrieffe : Phase 1 et 2 : construction, phase 3 et 4 : transition.



Le reste n'est que littérature...

 

Lien : le blog de Renaud Cherel

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
23 mars 2008 7 23 /03 /mars /2008 15:29







"La personnalité vient du latin persona qui désignait le masque utilisé par les artistes pour devenir prévisible pour le public, car ils portaient chacun l'expression d'un caractère différent.

Carlo Moiso complète l'approche des personnalités, extraits :

D'abord le prince, ou la princesse, c'est notre être de desir, la source des talents potentiels, l'être d'apprentissage. Notre prince a de multiples besoins matériels, psychologiques, spirituels... Il est notre cadeau de la vie àa la naissance, parfois très maigre et parfois très riche. Il comporte les caractéristiques génétiques et physiques de base, mais aussi les potentialités liées à l'environnement familial et social. Notre prince change tout au long de la vie.

"Le crapaud est le système de croyances archaïques négatives sur soi, les autres et le monde."

Vient ensuite le prince blessé qui est notre partie vulnérable : Il souffre et se pose alors des questions vieilles comme le monde "Pourquoi ?"
"Pourquoi cela m'arrive-t-il à moi ?"
"Pourquoi le monde ne m'apporte-t-il pas ce que j'attends?"
Il faut donner du sens à la blessure. La question du sens est la plus vitale de toutes les interrogations de l'existence humaine et les réponses diffèrent selon l'age et la maturité. Mais c'est ainsi qu'il se construit son crapaud.

Le crapaud est le système de croyances archaïques négatives sur soi, les autres et le monde : Sur soi d'abord "je suis fou, lâche, susceptible, maladroit, calculateur, malade", sur les autres ensuite "les gens sont égoïstes, bêtes, mesquins, ils profitent de ma crédulité, personne ne m'aime, personne ne pense a moi..." et enfin sur le monde "le monde est une jungle, tout ça finira mal, "c'est la vie" "on ne peut changer le monde, etc..." Vos amis connaissent quelques aspects de votre crapaud parce qu'un ami "c'est quelqu'un qui vous connaît bien et vous aime quand même".

"Mon crapaud est laid, mieux vaut ne pas le montrer, s'est dit le petit enfant. Je vais adopter pour le cacher dans la vie sociale un masque qui me permettra de faire bonne figure et d'être toléré par mon entourage"

Le masque est ce que nous voyons des personnes, leur attitude sociale habituelle, ce que nous nommons en disant de quelqu'un "il joue un rôle". Je sais ainsi que le côté charmeur d'Antoine Lombard  (masque) cache une peur panique d'être ignoré ou méprisé (crapaud).

Dans la vie courante c'est le masque qui nous donne toute contenance sociale. Avec lui, nous faisons bonne figure. Mais nous savons en notre for intérieur que le masque n'est pas vraiment nous-même et nous rêvons de redevenir prince ou princesse. Le masque n'est qu'un lot de consolation, même s'il donne de nombreuses gratifications sociales.

C'est ensuite qu'arrive le héros.

Tournant le dos à l'utopique espoir de guérir ses vieilles blessures, l'être humain accompli a mis son crapaud en cage. Il entend son coassement, mais cela ne l'empêche plus de dormir. Il sait mettre son masque lorsque c'est nécessaire, mais sait aussi l'ôter.

Il adopte des attitudes autonomes qui permettent à son prince de réaliser ce qu'il a envie de réaliser et d'être qui il est, en tenant compte du monde environnant. Nous pouvons ainsi rêver aux grandes figures qui ont marqué positivement l'humanité (Nelson Mandela, L'abbé Pierre, Pasteur, Renoir), mais mieux vaut chercher et observer autour de nous quelques êtres humains accomplis.

Dans notre famille, nos cercles de connaissances ou parmi nos amis, regardons ceux qui ont trouvé leur voie d'excellence et s'en trouvent profondément heureux.

Ces personnes sont devenus les héros de leur propre vie...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin