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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 11:32

Am Hafen von RingkobingAvertissement : Cet article fait parti de la collection C'est quand le bonheur ?, il s'adresse à toutes les personnes qui pensent que finalement, l'un dans l'autre, un peu de bonheur ça ne peut pas faire de mal.

A Ringkobing, la vie est paisible, on préfère visiblement l'harmonie à la jouissance, la quiétude à l'excitation. Pourtant il y a tout ce qu'il faut : la sécurité, le plein emploi, les services sociaux, la gentillesse. Quant à la météo pluvieuse, les habitants du coin ont l'habitude de dire qu"il n'y a pas de mauvais temps, seulement des mauvais vêtements".

C'est là, à cet endroit très précis que Daniel Kahneman a réussi a mettre en équation tous les paramètres du bien-être : âge, sexe, formation, métier, revenus, santé, situation de famille, engagement politique... il en a tiré des conséquences saisissantes :

L'une des composantes du bonheur ou du bien-être est l'humeur, laquelle change d'un jour sur l'autre. Vous pouvez être de bonne ou de mauvaise humeur, énergique ou léthargique. C'est ce que Daniel appelle : le "bonheur du quotidien".

L'autre aspect relève du jugement que l'on porte sur sa propre vie : est-elle satisfaisante ou pas ?

Il convient donc de distinguer d'un côté le sentiment, l'expérience vécue, et de l'autre le jugement, la réflexion. Un même individu peut se sentir heureux de vivre, mais être insatisfait quand il pense à la vie qu'il a menée jusque-là. C'est souvent le cas, par exemple, des femmes divorcées. Dans le quotidien, elles n'ont plu de mari qui leur tape sur les nerfs. Elles sont peut-être plutôt de bonne humeur. Mais quand vous leur demandez si elles sont satisfaites de de leur vie, elles répondront "non" car elles pensent que c'est une mauvaise chose d'être divorcée.

Les enfants ? Tout le monde croit que les enfants rendent heureux. En réalité, ça dépend de leur âge. Pendant la petite enfance, certains moments sont extraordinaires, mais dans l'ensemble le quotidien devient difficile à cause du manque de sommeil. Les parents préféreraient faire des choses plus agréables. Puis, avec le temps, seuls les moments heureux restent en mémoire.

La vie professionnelle ? Peu d'info là-dessus mais nous savons que les chômeurs sont vraiment malheureux, surtout pendant les jours de semaine. Le week end, ce sont des gens comme les autres puisque personne ne travaille.

Mais revenons à la question qui vous brûle les lèvres : Qu'est-ce que Daniel Kahneman a-t-il pu bien foutre à Ringkobing pour faire des recherches sur le bonheur ?

Et bien figurez-vous que Ringkobing, petite bourgade du Jutland, sur la côte ouest du Danemark est, d'après Ruut Veenhoven, fondateur du Journal of Happiness Studies et grâce à son énorme base de données, la ville la plus heureuse du monde dans le pays le plus heureux du monde.

Ni plus, ni moins. 

C'est donc  à Ringkobing que Ruut Veenhoven a identifier les déterminants du bonheur collectif et du bonheur individuel.

Sur le plan collectif, il y en a quatre : un régime démocratique, une confiance mutuelle des citoyens, un haut niveau de richesse et de liberté.

Nous sommes plus heureux dans les sociétés qui offrent à chacun une multitude de choix. Sur le plan individuel, les personnes en bonne santé et ayant un tempérament plutôt extraverti et indépendant sont souvent plus heureuses. Tout comme celles qui vivent en couple et développent des amitiés épanouies. 

Est-ce que les enfants rendent malheureux leurs parents ? Ce n'est pas lié aux enfants, mais au fait que les choix se réduisent durant cette période de la vie. Quand on a une hypothèque sur la maison, ça devient plus difficile de changer d'emploi, même si on le déteste. Et encore plus compliqué de changer de femme. Beaucoup de gens se retrouvent dans cette situation et doivent, du coup, faire avec.

De ce fait, ils se sentent moins heureux.

En cas d'évènement exceptionnel comme gagner au loto, ou un héritage, on s'aperçoit qu'ils sont plus heureux pendant un an, mais que l'effet bénéfique a presque totalement disparu l'année d'après.

Le bonheur est le même pour tout le monde : il consiste à apprécier la vie que l'on mène. Les conditions du bonheur sont étonnamment identiques entre les cultures. En revanche, d'importantes différences subsistent entre cultures concernant les croyances sur les conditions d'accès au bonheur. Penser à ce qui nous rendrait heureux est différent du fait d'être heureux. De nombreux philosophes ont dénoncé les effets négatifs du bonheur : l'absence de créativité, la perte du sens critique... Bref, la paresse. Pour moi, ce raisonnement est faux. La souffrance n'entraîne pas un progrès social mais un repli sur soi, par peur du danger.

En étant heureux, les gens sont plus actifs et plus ouverts à leur entourage. Ils deviennent de meilleurs citoyens, ils lisent les journaux, etc... De même, on sait que le bonheur a des conséquences favorables sur la santé. Il prolonge l'espérance de vie, tout simplement parce que les gens heureux ont moins de chances que les autres de tomber malade.

On va donc dans le bon sens. Nous sommes de plus en plus riches, mais surtout de plus en plus libres. Quand la société reconnaît à chacun le droit de choisir son métier au lieu de reprendre celui de son père, de choisir son conjoint plutôt que d'épouser quelqu'un que nos parents nous imposent, alors on a plus de chance de vivre la vie qui nous convient.

Celle qui nous rend vraiment heureux.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
5 décembre 2009 6 05 /12 /décembre /2009 15:23

images[1]"Burt Swersey commença son premier cours en parlant à ses étudiants de ce qu'il appelle les cinq secrets du succès : le rapport, l'empathie, la persuasion, la coopération et la construction du consensus. Et, annonce-t-il, au lieu de passer la première journé de cours à revoir les bases de leurs connaissance scientifiques, cette séance va prendre la forme d'un laboratoire d'apprentissage sur les cinq secrets.

"Le rapport, l'empathie, la persuasion, la coopération et la construction du consensus"

"Comment vous y prenez-vous pour établir un rapport avec quelqu'un que vous ne connaissez pas ?" leur a demandé Swersey.

Comme la classe, déoncertée et hésitante, finit par émettre quelques suggestions, Swersey les nota sur le tableau noir : "Vous vous présentez, vous regardez la personne en parlant, vous lui posez une question sur elle-même, lui serrez la main, lui parlez de vous, écoutez attentivement...

"Ces réponses m'ont l'air tout à fait justes, leur répond Swersey. Maintenant, choisissez un de vos camarades et prenez trois minutes pour établir un rapport avec lui."

Les étudiants s'attellent aussitôt à la tâche avec enthousiasme. La pièce se remplit de bourdonnement à tel point que Swersey a quelques peines à les faire cesser pour en venir au "secret" suivant, l'art de l'empathie.

Leur demandant ce qu'était l'empathie, il écrit leurs réponses au tableau :

"Etre attentif, écouter, soutenir..." Un jeune homme coiffé d'une casquette de base-ball, visière sur la nuque, les pieds sur son bureau, marmonne : "Montrer qu'on ne s'en fout pas."

 

"cette définition me paraît assez bien cerner l'essentiel, répond Swersey. maintenant, représentez-vous quelque chose qui a de négatif pour votre interlocuteur. si vous êtes celui qui écoute, peu importe à quel point c'estdifficile à entendre, résistez à la tentation de pulvériser votre camarade - contentez-vous d'être empathique." C'est ainsi qu'à commencé le jeu de rôles où les étudiants ont improviser des histoires contrariantes : "j'ai embouti ta voiture", "J'ai tué ton poisson rouge", "J'ai sauté ta femme".

 

Swersey a insisté pour que ceux qui devaient faire preuve d'empathie ne se contentent pas d'un stoïque "d'accord", mais se mettent vraiment à la place de leurs interlocuteurs et leurs tiennent des propos compatissants. Après quoi la classe s'est mise à discuter en partant d'une situation plus vraisemblable ou les étudiants ont parlé de la nécessité d'adopter le point de vue de l'autre, et ont commenbcé à comprendre l'importance de se montrer serein et détendu.

Ils ont continué à s'excercer à la persuasion et à la construction du consensus pour décider collectivement quel état le meilleur arôme de crème glacée au monde et pourquoi.

Le résultat de cette petite expérimentation collective ?

" Ces sections se sont avérées mes meilleures équipes depuis que j'enseigne l'introduction au dessin industriel, explique swersey. Non seulement, ils ont mieux travaillé ensemble, mais ils ont créé des dispositifs ambitieux et novateurs. Grâce aux cinq succès...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 17:05






"Une erreur de jugement.

La rédaction de ce blog a tout misé sur le malheur, partant du principe que plus le malheur est grand et plus il est grand de vivre.

"La vie est trop courte pour ne la consacrer qu'au bonheur."

Pour s'en convaincre, il suffit de lire les articles A la recherche du malheur qui ne laissent pas de place au doute.

Il faut bien l'avouer, on y va pas de main morte et on assume quitte à bousculer la hiérarchie établie : le malheur est le chemin obligé pour faire preuve de courage, de détermination et d'envie.

Et puis de toute façon, la vie est trop courte pour ne la consacrer qu'au bonheur.

C'est vrai quoi à la fin, il faut tout essayer dans la vie.

Pourtant, il semble dorénavant établi qu'un peu de bonheur de temps en temps, ça ne peut pas faire de mal et ce serait même idéal pour se reposer un peu, pour se laisser aller en somme. Pour profiter tout simplement.

On va donc travailler la-dessus : Comment construire son bonheur afin de trouver les clés d'accès, les codes.

Chacun tend à élucider les causes de l'angoisse, du sentiment d'échec et à effectuer un travail concret et progressif qui aboutit à la construction d'une existence heureuse et libérée.

Pourquoi pas nous ?

Nous allons nous y atteler.

A paraître prochainement sur cet écran :

- Plus loin que le bonheur
- Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
- Ringkobing
- L'éducation des émotions
- Les gènes de l'euphorie

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
18 septembre 2009 5 18 /09 /septembre /2009 13:54

"Le millionnaire est une fable des temps modernes. Et une démonstration d’humanisme.

 

Il était une fois un jeune homme qui voulait devenir riche. Il décida d’aller voir un vieil oncle très riche qu’il ne voyait qu’une fois par an, à Noël. Ou à Pâques parfois. Le vieil oncle ne lui donna pas d’argent. Il lui donna l’adresse d’un de ses amis : Le millionnaire. Un être extravagant, un poète, un rêveur lucide qui détenait les clés de la fortune… Extrait :

 

"Montre-moi cent personnes et je t’en désignerai 99 qui n’ont jamais consacré une heure de leur vie à se demander comment faire fortune. Au lieu de réfléchir, ils se plaignent, ils accusent le hasard, les autres, leur patron, leurs collègues, leurs parents, leur conjoint. Alors que chacun peut façonner son propre destin, s’il le veut vraiment."

 

"Pense à ce sentiment horrible qui t’habitera au moment de la mort lorsque, faisant le bilan de ta vie, tu seras obligé de t’avouer : "Je me suis fait avoir par la société. Mes peurs ont eu raison de mes rêves." 
 

"Il ne faut pas prendre la vie trop au sérieux, mais il ne faut pas penser non plus que nous disposons d’un temps infini pour faire ce que nous voulons faire. La vie, comme la santé, est le don le plus précieux et le plus mésestimé. On ne se rend compte de sa valeur qu’au moment de la perdre. Vis chaque jour de ta vie comme s’il était le dernier. Mais en même temps, persévère comme si tu étais éternel. Demande-toi honnêtement : "Si je devais mourir demain, serais-je content de ma vie, du bilan de mes réalisations ? Si je devais mourir demain, pourrais-je dire sans mentir que j’ai fait aujourd’hui tout ce que j’ai pu pour être heureux ? Si je savais que je mourrais dans un an, accepterais-je de continuer à faire un travail qui m’ennuie ? Accepterais-je de n’être que l’ombre de moi-même, de laisser mes rêves moisir dans l’antichambre de ma lâcheté ?"

 

"A la naissance, chaque homme porte en lui un tableau vierge. Tout ce qu’il vit, tout ce que ses parents, ses professeurs et ses amis lui enseignent, toutes ses expériences, forment petit à petit un portrait secret. Ils lui répètent, comme des tueurs à gage de l’âme : "Tu n’iras pas loin dans la vie parce que tu ne sais pas ajouter 2 et 2 ! », ou  encore : "Tu n’es qu’un idiot !", mieux encore : "Tu es laid, nous ne t’aimons pas, nous préférons ton frère !", l’enfant se compose alors un terrible portrait qu’il portera parfois toute sa vie. Ce portrait marque son front comme un stigmate invisible qui pourtant influence tous ceux qu’il rencontre, tous les évènements de sa vie."

 

 "Ta pensée est  un pinceau"

"Ce portrait secret que tu portes en toi, tu peux dés aujourd’hui en faire ce que tu veux. Imagine-toi que ta pensée est  un pinceau. Chaque pensée que tu as, chaque désir ajoute une touche à ton portrait. Si tu penses tous les jours : "Je deviendrais grand, je réaliserai tous mes rêves, j’aurai une vie merveilleuse", tu peins un tableau magnifique. Et la vie s’y pliera docilement, et tu auras cette existence merveilleuse. Par contre, si, avec le pinceau de ta pensée, tu te dis : "Je ne vaux rien, je ne réussirai pas…", si tu laisses les autres te décourager, si tu les laisses ajouter leur petite touche destructrice au portrait secret de ton âme, tu auras une existence lamentable, tu ne connaîtras jamais la vie exaltante qui est là devant toi et qui n’attends que tes ordres pour être vécue. Rien n’y personne ne t’arrêtera, si ce n’est toi.

Car chaque homme peut être son meilleur ami et chaque homme peut être son pire ennemi. Tes désirs, tes rêves, tes pensées façonnent ton existence. Car ce qu’un homme pense tous les jours, il le devient inévitablement. Si tu veux connaître le sort que l’avenir te réserve, tu n’as qu’à te pencher sur tes pensées de ce jour : elles sont la promesse de demain. Ne scrute pas inutilement le ciel, ne cherche pas partout des signes, sonde plutôt ta foi : elle te révélera la récolte qui t’attend le long du chemin."

 

"Plonge, la lumière est au bout de la nuit ; si tu ne plonges pas jamais tu ne la verras. Nu devant ce miroir, demande-toi :

"Est-ce que je crois en moi ?"

"Est-ce que je crois vraiment en moi ?"

"En mon succès ?"

"En ma chance ?"

"Est-ce que je crois pouvoir accomplir de grandes choses ?"

"Est-ce que j’ai un rêve ? Est-il suffisamment clair pour que je puisse le formuler noir sur blanc sur une seule feuille de papier ?

"Ou ne suis-je pas déjà un de ces somnambules, un de ces morts vivants qui ont renoncé à leur rêve et attendent comme des brebis soumises le jour lointain de leur retraite où ils pourront, la canne au poing, enfin commencer à vivre ?"

 

"Repousser une difficulté, fuir devant un obstacle est une erreur : chaque difficulté permet à l’homme de développer un aspect de sa personnalité, de corriger un défaut, en un mot de forger un caractère.

Plus ton caractère s’affermit, plus tes pensées gagnent en puissance. Devenant brillantes, ambitieuses et belles, elles émanent de tout ton être, elles irradient dans toutes les directions comme les rayons d’un soleil magnifique et vont par le monde comme des messagers intrépides qui t’aident à accomplir tes projets, malgré des circonstances contraires. Si tu en doutes, pense à la belle formule d’Héraclite : "Caractère égale destinée."


Et permet d’atteindre  comme les maîtres anciens la véritable solidarité. "Sur son lit de mort, dit le millionnaire, le chef des Scythes appela auprès de lui ses fils. Il leur présenta un faisceau de flèches et les défia de le briser. Malgré leur jeune âge et leur force, aucun n’y parvint. Il défit alors le faisceau et leur montra à quel point il était aisé de briser les flèches une à une. Il venait de leur démontrer qu’unis, ils étaient invincibles : tel est le secret de la solidarité. Il en est de même pour toi. Tant que ta pensée et ton action seront unies, tu réussiras : tu prospéreras. Mais dés que ta pensée et tes gestes seront en opposition, tes actions se briseront comme la flèche solitaire du chef des Scythes.


"Certains veulent faire fortune par simple soif de pouvoir : ils m’inspirent la pitié. Ils sont plus pauvres que les plus pauvres des hommes. Au lieu de partager leurs richesses, ils tentent d’en accumuler toujours plus pour combler leur vide intérieur. Il faut être vigilant. Bon serviteur, l’argent est un tyran déplorable. John Rockefeller qui, de son vivant, fut l’homme le plus riche du monde, était accablé de tant de soucis qu’à l’âge de 50 ans, il était déjà devenu un vieillard. L’estomac mal en point, il ne pouvait plus se nourrir que de pain et de lait ! Que sert à l’homme de gagner l’univers s’il vient à perdre son âme ?"


"On n’apprend bien que ce qu’on comprend vraiment. Et on ne comprend vraiment que ce qu’on découvre ou redécouvre par soi-même ; et la meilleure manière d’y arriver consiste en une sorte de maïeutique, une série de questions qui conduisent à la vérité. Voici donc la première question : Combien aimerais-tu gagner cette année ? Inscris le montant."

"Euh… je ne sais pas, un million ?

"Maintenant, dit le millionnaire, la deuxième question : combien penses-tu pouvoir gagner cette année ?

"Je vous l’ai dit un million.

"Non pas combien tu voudrais gagner, combien tu crois pouvoir gagner ?

"Peut-être disons : quarante mille.

"Quarante mille ! s’exclama le millionnaire, nous avons du pain sur la planche. Il va falloir travailler davantage. Mais rassure-toi. Ce ne sera pas un travail fatigant. Pourtant, ce sera peut être le travail le plus important que tu accompliras jamais : le travail sur toi. En inscrivant "40 000", c’est une radioscopie de ton portrait intérieur que tu as faite. Tu as révélé l’image que tu as de toi, du moins en ce qui concerne le travail. A tes yeux, sur le marché du travail, tu vaux 40 000 dollars par an. Pas un sou de plus. C’est pour ainsi dire ta limite mentale. Je te ferai d’ailleurs imposé que c’est toi qui te l’es imposée.

"Mais je n’ai pas de diplôme.

Le millionnaire mit du temps à apaiser le rire homérique qui le secoua. "Welcome to the club" Quand tu as un diplôme, tu peux être tenté de te reposé sur tes lauriers. Quand tu n’en as pas, tu sais que tu devras tout à ton initiative et à ton talent. 

 

Il est capital que tu élargisses ta limite mentale. Parce que si tu te vois comme quelqu’un qui ne gagne que 40 000 dollars par an, tu attireras probablement des circonstances qui se plieront à cette croyance et tu ne deviendras jamais millionnaire. Allez fixe-toi un montant plus ambitieux maintenant parce que ce montant va devenir ton objectif. Et pour qu’on objectif soit utile, il faut qu’il soit précis, qu’il suppose un montant et un délai pour l’atteindre."

 

Le millionnaire et la puissance des mots…

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 14:27

imagesCA2I9D4I"Il faut rêver grand pour réaliser de grandes choses."

Tony Parker

"Je viens vous voir parce que je souffre de mégalomanie." - "Vous tombez bien, je suis le meilleur psychiatre du monde."

Les indications principales du coaching :

- Fixer et mieux gérerses objectifs
- Travailler sur la confiance, l'estime, l'affirmation de soi
- Augmenter sa créativité
- Améliorer sa communication et son relationnel
- Augmenter l'attention, la concentration, la motivation
- Apprendre à mieux gérer son stress
- Clarifier une situation ou un problème
- Aider à résoudre ses conflits intérieurs
- Se débarrasser d'un comportement limitant
- Canaliser ses pensées négatives

A chaque fois que sa femme parle, il s'endort ; elle lui en fait finalement le reproche : "Crois-tu que je m'endormirais comme ça si je ne faisais pas complètement confiance ?"

"Il ne s'est pas écoulé une journée depuis sept ans que je travaille avec lui, que mon coach ne me dise combien il croyait en moi."

Lorsque vous voulez convaincre quelqu'un, ce que vous dîtes (le fond) intervient pour 7%, la façon dont vous le dites (la forme) pour 38% et votre accompagnement gestuel pour 55%. Il s'agit là d'un constat qui incite tout pédagogue à l'humilité, il ne faut pas croire en l'omnipotence des mots.

"Quand votre vie n'est pas en place, vous ne devez pas vous étonner que votre jeu ne le soit pas non plus sur le terrain." Jennifer Capriati

"Si l'on n'écoute las, on ne peut pas répondre, on peut juste polémiquer."

Mobiliser la confiance présente en vous
Chaque acte que vous effectuez avec aisance et confort est une expérience dont vous pouvez approvisionnez votre "compte-confiance". En revanche, chaque fois que vous vous dévalorisez, vous tirez un chèque sur votre compte, comme si vous deviez payer un attribut à votre conscience interne. Tant que le solde est positif, les choses ne sont pas trop graves. Mais qu'il vienne à trop diminuer, et votre potentiel de confiance devient de plus en plus fragile... Bref, vous devez vous constituer un "capital-confiance" constamment réactualisé, conforté, entretenu.

"Je suis un vainqueur donc je gagne" Hicham El Guerrouj

"Dans Identification d'une femme, le film d'Antonioni, le héros invité à une soirée par son amie s'adresse à elle, admiratif : "C'est extraordinaire comme tu es à l'aise avec les gens !""C'est parce qu'ils sont à l'aise avec moi" répond-elle.

La force de l'imaginaire
Par mégarde, un employé s'est trouvé enfermé dans un entrepôt frigorifique vide, toute une nuit, sans moyen de manifester sa détresse. Le lendemain matin, lorsque le propriétaire des lieux est venu ouvrir les locaux, il a trouvé son collaborateur mort... de froid. En réalité, le compresseur frigorifique n'était pas branché. Mais notre homme ne le savait pas, son imagination a fait le reste !

"Je vous souhaite d'avoir des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns." Dédicace de Jacques Brel à Francis Perrin)

"C'est une illusion de croire qu'un entraîneur motive son équipe. Tout simplement, chaque joueur a ses raisons à lui de vous entendre, de vous suivre, de vous croire... Si je touche ces raisons, ça marche... Si je suis à côté de la plaque, une heure d'engueulades ou de promesses ne sert à rien. Voilà ! ça rend très humble." Pierre Berbizier, ancien entraîneur de l'équipe de France de rugby.

Deux façons de se tromper d'objectif
Patrick Vieira déclare après le naufrage en Corée : "Nous nous sommes trompés d'objectif... Nous allions là-bas pour gagner la coupe du monde, nous aurions dû nous préparer d'abord pour passer le premier tour."
Lionel Jospin avec son staff au moment de la campagne présidentielle de 2002 : "Il faut que les français n'aient pas envie de réélire Chirac." Claude Allègre, ancien ministre, lui répond : "Non, Lionel, il faut qu'ils aient envie de t'élire toi."

"C'est bien d'être ambitieux, mais il faut se fixer des étapes. Si on veut les sauter, on n'y arrive pas forcément. Et après, on doute." Sébastien Grosjean

Choisir ses images mentales à la demande
Lorsque vous vous rappelez un souvenir, c'est comme si vous le reviviez. Vous voyez des images, vous entendez des sons, vous expérimentez des sensations et des émotions. Pour certaines situations, les images sont en couleur, pour d'autres, elles sont en noir et blanc ; les sons sont forts... ou atténués ; les ressentis sont localisés à tel ou tel endroit du corps... C'est comme si le cerveau, au moment de l'enregistrement de la première expérience, avait joué au metteur en scène en décidant de l'angle de prise de vue, du son, la qualité de l'image, la vitesse des mouvements... Ce qu'on appelle les "modalités" du souvenir.

Passer d'une émotion à une autre : changer le "code barre"
De la combinaison de ces modalités, décidée par votre cerveau, dépend la sensation associée au souvenir. Par exemple, un enregistrement en noir et blanc, sans son, avec une image floue, encadrée... peut correspondre à un ressenti de tristesse, localisé au niveau de la gorge et de la glotte. Une autre association de modalités différentes peut, elle déterminer un ressenti de joie situé au niveau du ventre. Ces combinaisons chaque fois uniques et propres à chaque évènement et à chaque personne correspondent à un code-barre lu par le cerveau, qui restitue ensuite toute l'émotion associée.

Des difficultés de changer
Une enquête menée en 2001 en Europe francophone, sur 250 volontaires confrontés à la nécessité de changer et se plaignant de ne pas y arriver, a révélé que les croyances les plus communément partagées dans le groupe étaient les suivantes :


- On doit avoir du talent pour être capable de réussir quelque chose d'important.
- Il faut tout savoir et tout savoir faire pour pouvoir se lancer dans un nouveau projet.
- La vie fait toujours en sorte que les choses n'aillent pas comme on le veut.
- Il vaut mieux éviter d'affronter les difficultés de l'existence que d'entreprendre de les corriger.
- Le passé est tellement lourd qu'on ne peut pas s'en débarrasser.
- On peut atteindre le bonheur en restant relativement inerte et en profitant simplement de ce qui existe, sans s'engager plus.

La même enquête a également étudié 250 autres volontaires, ayant en commun de s'engager naturellement dans des projets et de les mener à terme. Pour ce groupe-là, les croyances étaient les suivantes :


- Toute difficulté est une occasion d'apprendre quelque chose sur soi_même et une opportunité pour progresser.
- Réussir vient d'un engagement de tous les instants.
- Il faut se garder suffisamment de flexibilité pour s'adapter en toutes circonstances.
- Il vaut toujours mieux disposer de plusieurs choix possibles.
- La vie est un jeu.
- On peut s'inspirer et imiter les comportements de ceux qui réussissent.
- L'apprentissage des choses et de la vie ne s'arrête jamais.

"Plus tard n'existe pas car il sera alors trop tard." Marguerite Duras

Bien choisir
Une femme était en échec avec ses amours successives. Elle choisissait des partenaires autoritaires qui la sécurisaient un temps car il prenaient toutes les décisions ; mais très rapidement, elle était angoissée et mal à l'aise car elle ne se sentait plus reconnue et perdait ainsi son identité.

"Il remettait toujours tout au lendemain parce qu'il était sûr du lendemain, il ne faut jamais être sûr du lendemain, c'est mauvais..."
Sacha Guitry

"Toute ma jeunesse, on me disait : "Vous verrez, quand vous aurez cinquante ans !" j'ai cinquante ans et je n'ai rien vu." Erik Satie

Le trio majeur de vos ressources de changement : Estime - Affirmation - Confiance

"Je suis arrivé à Sydney avec un désir immense de goûter chaque instant de tout mon être. Je voulais que ces six derniers jours de ma carrière sportive soient du bonheur pur. Dans ma tête, je ne pensais au résultat, non, je voulais toucher, sentir, profiter, m'imprégner..." David Douillet

"Quand je me regarde je me méprise, quand je me compare je m'admire." de Talleyrand

Cerner avec exactitude le problème à résoudre
Les croyances et les valeurs pilotent nos stratégies mentales et nos capacités et, par voie de conséquence, lz compréhension et l'interprétation d'une situation donnée. On peut même affirmer que les croyances donnent l'autorisation ou l'interdiction aux capacités de s'exprimer. Une fois le problème positionné, cadré et clarifié, il devient "le problème à résoudre".

"Personne ne sait qui il est vraiment avant d'avoir été mis à l'épreuve." Spielberg

"Ne pas être belle fut pour moi une bénédiction. Cela m'a obligée à développer d'autres ressources intérieures. Une jolie fille a un handicap." Golda Meir, femme politique israélienne

"L'on n'estime guère dans les autres que les qualités que l'on croit posséder soi-même." Félicité Robert de Lamennais 


"La forme la plus déplaisante de la peur se traduit par l'agressivité." Ferdinand Bac

"Ce qui m'intéresse avec avec les coups de pied au cul, ce n'est pas de savoir qui me les donne mais où ils m'emmènent." Extrait d'interview de Patrice Ledoux, producteur de la Gaumont

 

Rideau.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 15:06
"Si je veux réussir
A accompagner un être vers un but précis,
Je dois le chercher là ou il est
Et commencer là, justement là.
Celui qui ne sait pas faire cela, se trompe lui-même
Quand il pense pouvoir aider les autres.

Pour aider un être,
je dois sans doute comprendre plus que lui,
Mais je dois d'abord comprendre ce qu'il comprend.

Si je désire avant tout montrer ce que je sais,
C'est parce que je suis orgueilleux
Et cherche plus a être admiré de l'autre qu'à l'aider.

Tout soutien commence avec humilité
Devant celui que je veux accompagner.
C'est pourquoi je dois comprendre qu'aider
N'est pas vouloir maîtriser
Mais vouloir servir.

Si je n'y arrive pas, je ne puis aider l'autre."
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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 21:01

café"Internet nous fait-il perdre la mémoire ?

 

Mamie est formelle : le numérique rend dingue. Les chiffres sont accablants, extrait :

- Six salariés sur dix passent deux heures par jour sur leur boîte mail.

- Quatre sur dix écrivent plus de 100 mails par jour.

- Il faut 64 secondes pour reprendre le fil de sa pensée après interruption par un message.

 

 64 secondes. Un trou noir de plus d'une minute à chaque alerte Facebook. "44 amis ont publié des statuts, liens et photos..." Faîtes le compte. La mémoire devient jetable.

 Mamie en rajoute une couche : "La lecture fragmentée sur le web aboutirait à l'impossibilité de lire des textes longs. On surfe, en somme.

 Comme ces étudiants américains qui ouvrent en permanence huit fenêtres sur leur écran et passent de l'une à l'autre toutes les vingt secondes, à la recherche d'une "récompense", d'un "cadeau de vie".

 

 Un chiffre encore : 73 % des internautes ne travaillent leur mémoire que sur le numérique. Comme dit Mamie : "Si vous musclez uniquement votre jambe droite, n'espérez pas obtenir tous les bienfaits du sport."

 Elle a raison, il n'y a pas une mais des mémoires. Pour les entretenir, il faut travailler toutes les gammes : lire, apprendre par coeur, regarder la télévision, faire des mots croisés, avoir une vie sociale et pratiquer la méditation.

 

Le reste n'est que littérature...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 12:55





"Q
ui a piqué mon fromage ?
L'histoire édifiante de deux tout petits hommes, les "minigus" Polochon et Baluchon, et de deux souris, Flair et Flèche, qui évoluent dans un labyrinthe.

Les quatre compères se retrouvent tous les jours à un endroit précis du dédale ou ils trouvent du gruyère en quantité industrielle. Mais un beau matin, leur gruyère vient à disparaître. Cette épreuve prendra les uns au dépourvu... et sera surmontée avec brio par les autres.

"Changer"

La vie est un labyrinthe. Et ce serait tellement plus simple si nous en avions la carte, s'il suffisait de suivre le train-train quotidien... Mais non ! Tout bouge, tout évolue, en amour, en famille, au travail, en société. Alors, adaptons-nous !

Une parabole décapante pour découvrir que tout vient à point à qui sait... changer.

Voici le résumé de ce livre d'après l'envers de la couverture : Ce sont des symboles vous l'aurez compris. Les quatre petits personnages incarnent un part de nous-même, le fromage ce que nous attendons de la vie et le labyrinthe, le chemin à parcourir pour l'obtenir. La peur du changement est très présente en chacun de nous. Nous aimons bien nos bonnes vieilles habitudes et nous espérons que tout restera en place éternellement. Ce livre est fait pour ceux qui appréhendent les transformations inévitables de la vie.

 

Qui a piqué mon fromage ? est un véritable guide frappé au coin du bon sens (et de l’humour!), destiné à secouer nos léthargies, nos routines, notre peur de tout ce qui "n’est plus comme avant".

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 12:24







"Au départ
, le titre de cet article devait être: "La stratégie du dauphin, du requin, de la carpe et du squid." Mais il n'y avait pas de place pour le requin, la carpe et le squid, ils sont donc passés à la casserole... (c'est une image)

On recadre : La stratégie du Dauphin est un ouvrage révolutionnaire écrit par Dudley Lynch et Paul Kortis qui marque le début d'une nouvelle ère dans l'art et la science de réaliser des gains. Les grandes lignes :

Trois mythes désuets ont encore cours dans le monde des affaires aujourd'hui, ceux du requin, de la carpe et de la carpe pseudo-éclairée, selon lesquels, dans les affaires: il faut gagner à tout prix (requin), il faut éviter de perdre (carpe), ou il faut faire rapidement des compromis pour en arriver a une situation ou tout le monde est censé gagner, mais ou personne ne voit ses besoins satisfaits (carpe pseudo éclairée).

"Des résultats extraordinaires"

Or pour être gagnant, il faut apprendre à maitriser une technique tout à fait différente : La stratégie du dauphin. Les experts sont formels, avec cette technique on peut obtenir des résultats extraordinaires.

Difficile de tracer les grandes lignes, mais grosso modo,  cela permet de choisir judicieusement entre les stratégies de la Mainmise, du Renoncement, du Désengagement, du Compromis et de la Percée. 

Vous n'êtes pas sans savoir que le comportement des dauphins mis en présence d'un requin est légendaire. Leur intelligence et leurs ruses peuvent se révéler fatales au requin. Les dauphins le mordent-ils à mort ? Que neni! Ils tournent autour de lui et le heurtent à plusieurs reprises. Se servant de leur gros nez comme d'un bélier, ils écrasent méthodiquement la "cage thoracique" du requin, jusqu'à ce que la meurtrière créature, impuissante, coule à pic. 

Il est important de signaler que la stratégie du Requin a pour but d'entrainer une victoire personnelle, à n'importe quel prix. Si vous devez nager a proximité de requins, les règles sont claires:

- Découvrez à quoi ressemblent les requins et qui ils sont.
- Ne vous agitez pas et ne faites pas de tapage.
- Si l'on vous mord, ne saignez pas.
- Ne vous fatiguez pas à nager à contre courant.
- Trouver d'autres dauphins avec qui nager.

Les carpes résident en permanence dans le coin des victimes du Triangle Dramatique, toujours bondé de perdants et ou règne la souffrance de ceux qui donnent sans jamais recevoir. Il leur est facile de croire qu'elles sont "nées pour sauver les autres". Elles font du bien autour d'elles. Temporairement, parce qu'elles finissent par constater que, malgré leurs bonnes oeuvres et leurs bonnes intentions, elles semblent atteintes de la maladie carentielle du célèbre comédien américain Rodney Dangerfield qui trouve qu'on ne le respecte pas. Ses caractéristiques :

- Ne participe pas au jeu.
- Empêche les autres de gagner.
- N'achève jamais rien.
- Sabote le jeu.
- Joue le role du "bon gars".
- Devient un problème.

En ce qui concerne le Squid, c'est encore une autre paire de manches. Il faut quand même préciser que cela ne fait pas parti de l'ouvrage en question, mais que c'est une extrapolation de l'auteur de ce blog. Cela n'engage donc que lui. Le Squid donc est un animal qui fait son apparition dans la vieille mythologie. Ils disent, à l'epoque, que le Squid est le seul animal qui peut tuer un requin. La seule évidence de son existence  est les traces qu'il laisse sur ses victimes...
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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 12:39

"Le rugby est un jeu d'équipe.

Il recquiert que les joueurs et l'encadrement travaillent ensemble pour atteindre des buts communs. Les individus, quel que soit leur talent, qui n'acceptent pas que le concept d'équipe l'emporte, qui ne sont pas prêts à se fondre dans les systèmes établis et dans la discipline, deviennent des ennemis internes, sabotant sournoisement l'effort collectif." John Hart

"Notre confiance est inébranlable. Nous ne jouons pas différemment cette année, et pourtant nous avons plus de succès. Pour moi, c'est donc avant tout psychologique." Andrew Mehrtens

La rudesse mentale améliore :

- Conquête et possession du ballon (il faut de l'engagement et de la concentration pour prendre les bonnes décisions afin de gagner et de conserver le ballon, afin de bien l'utiliser)
- Poste (il appartient à chaque joueur de décider intelligemmet les bonnes options tactiques.
- Vitesse de jeu (prise de décision plus rapide)
- Forme physique (comment se préparer physiquement sans  motivation ?)

Accession à un niveau de compétence dans chacune des habilités mentales :

- Engagement
- Confiance
- Résistance à la pression
- Concentration
- Prise de décision
- Cohésion de l'équipe
- Vigilance
- Capitanat et communication

Pour réussir, l'athlète doit tester plusieurs méthodes qui peuvent être de l'ordre de la respiration, du décompte mental, de l'imagerie, etc... pour se construire l'outil qui lui convient.

Petite histoire : Un bûcheron est embauché sur un chantier où il est payé à la tâche. Le premier jour il abat 20 arbres, remportant l'admiration de tous. Le deuxième jour, il en abat 19, sous les applaudissements. Le troisième jour, malgré ses efforts, il n'en coupe que 16. Le quatrième, épuisé, après avoir coupé 12 arbres, il confie au contremaître qu'il ne comprend pas. Malgré ses efforts, ses performances diminuent. Le contremaître lui dit alors "Depuis combien de temps n'as-tu pas affuté ta hache ?"

"Les joueurs doivent essayer de nouvelles méthodes et utiliser celles qui leur conviennent sans nécessairement s'occuper de ce que font les autres. Il existe plusieurs recettes pour le même gâteau, à vous de trouver celle qui est à votre goût." Zinzan Brooke

Une conduite rationnelle et personnalisée en matière de préparation mentale.

- Avancer ("Si tu n'es pas prêt à croire en toi et à aller de l'avant, range tes affaires et rentre chez toi."

"Il commençait par visualiser un grand match et se voyait réaliser les buts qu'il espérait atteindre, et cela dans les 3 ou 4 jours qui précédaient la rencontre. Cela le mettait en quelque sorte en terrain familier quand le jour du match arrivait et décuplait sa confiance. Le compte à rebours, de son réveil jusqu'au coup d'envoi, suivait une routine qui ressemblait étrangement à un rituel".
Description de la préparation mentale de Ian Jones, 2ème ligne All-Black. In "Thinking Rugby'

Seul le travail paie et c'est une entreprise de longue haleine, traversée de doutes et d'espoir, de joies et de souffrance, de solitude et de partage, de réussites et d'échecs, et que cette somme de paradoxes forge le succès, à l'image de cette phrase de Jordan "J'ai raté plus de 9000 tirs dans ma carrière. J'ai perdu presque 300 matchs. 26 fois on m'a fait confiance pour tenter le dernier tir au panier, celui de "la gagne", et je l'ai manqué. J'ai échoué maintes fois dns ma vie, et bien plus encore... et c'est pour ça que je réussis !".

Le temps nécessaire à chacun varie selon les aptitudes initiales et le hasard du parcours et des rencontres.

Le programme d'entraînement aux habilités mentales doit être conçu et adapté à chaque individu en fonction de ses caractéristiques qui seront le bilan des forces et des faiblesses mentales déterminées à travers :

- un profil de Pic de performance établi par le joueur et le coach ("La fiche profil" : une auto-évaluation où l'on va déterminer ses besoins dans tous les secteurs de la performance : technique perceptif et décisionnel, physique, affectif et relationnel))
- une discussion avec le coach
- une observation vidéo de ses propres match avec le coach

"Au plus haut niveau, tous les joueurs sont polyvalents. Dans ces conditions, le fossé entre les équipes se réduit. C'est là qu'intervient la rudesse mentale : les vraiments grands gardent toujours la tête froide quand les autres perdent la leur." Andrew Mehrtens

Les athlètes non confiants ont peur de faire des fautes, ne prennent aucun risque et attendent que les choses se passent plutôt que d'essayer de les contrôler. Ces élèments sont bien sûr à prendre en compte dans le choix des joueurs au moment de la composition des équipes et dans les décisions par rapport au "coaching".

Prévoir à l'entraînement des moments qui ressemblent trait pour trait à de la compétition, sur le mode du "Et qu'est-ce qu'on fait si ...?"

Utilisation de repères d'attention :

- auditifs : assimilables à des codes ersonnels ou collectifs, et même le coup de sifflet de l'arbitre est un déclencheur d'attention ou de rupture d'attention.
- visuels : <rappelez-vous le geste de Tim Horan, comme un salut avec les doigts tournés vers le front et qui en avouait la signification "Je viens de marquer un essai, j'y ai consacré de l'énergie et, pourtant, le match n'est pas terminé, je dois repartir au combat. Ce geste, c'est la recherche en énergie, une façon aussi de me dire : "tu feras ton tour d'honneur plus tard, ce n'est pas le moment de te disperser."
- physiques : les routines, que l'on se fabrique non pas sur le mode rituel, mais pour se forger autant de déclencheurs chronologiques d'une action reproductible (lancer, tir au but, ...).

La cohésion d'équipe se forge à coup sûr à travers un dur labeur partagé, beaucoup de sueur, un peu de sang et quelques larmes, des coups de gueule et des rires, et le respect du choix des titulaires, parce que c'est une des règles de vie essentielles.

Dans "Samoa, après Dieu, le rugby", on voit le sélectionneur samoan annoncer les titulaires et les remplaçants, et les 11 joueurs qui donc ne débuteront pas le match, dont 4 ne se changeront même pas, applaudissent l'annonce et congratulent les 15 au creux de leur enceinte.

Capitanat et communication
"La première chose dont vous devez vous souvenir en tant que capitaine est que, bien que le rugby soit un sport d'équipe, vous allez devoir composer avec des individus, qui ont tous leur propre comportement, leur caractère et leur expérience. Vous devez en outre connaître les forces et faiblesses de chacun... et déterminer qui fonctionnera avec la carotte et qui avec le bâton." Andy Dalton

La relaxation
S'adresser à des spécialistes pour trouver la panacée qui fonctionne pour le timide et l'extraverti, le guerrier et le stratège, le courageux et le timoré, le pillier et l'arrière, le soigneur et le chauffeur de car.

"Je pense que la capacité à se relaxer et à vgarder son équilibre mental peut être le facteur clé qui vous rend meilleur que l'adversaire." Zinzan Brooke

Pour plus d'information, contacté la direction de ce blog à l'adresse inscrite en bas à gauche. Merci d'avance.

PROGRAMME 1

Objectif : À l’issue de la formation les participants sauront :

Renforcer leur efficacité dans leurs relations avec l’équipe
Elaborer des stratégies mobilisatrices et faire adhérer l’équipe
·

 

La communication au service du leader et de son équipe

Mieux se connaître pour mieux comprendre le fonctionnement de chacun des joueurs

Accroître ses aptitudes à la communication

Prendre en compte les freins, le stress, les tensions

Comment s’appuyer sur les éléments moteurs de l’équipe


Renforcer son pouvoir personnel d’influence
    

 

Elaborer des projets et les transformer en objectifs opérationnels sur le terrain

Maîtriser les techniques qui favorisent l’engagement et la mobilisation

Construire une vision claire et mobilisatrice

Développer sa capacité à motiver

Bâtir la confiance en soi

 

Faire face aux situations difficiles

Réagir aux symptômes de démotivation

Gérer une situation à fort impact émotionnel

Traiter les objections et les résistances avec diplomatie

Réagir face à des résultats insuffisants

 

PROGRAMME 2
Objectif : À l’issue de la formation les participants sauront : 

 

La psychologie positive

Savoir préparer mentalement son équipe

Préparer les réussites : Travailler les techniques de la visualisation

Fixer des objectifs (goal settings)

Accompagner l’équipe dans l’atteinte des objectifs

 

Les méthodes de relaxation

Pratiquer des techniques simples et efficaces de relaxation

Apprendre à mobiliser ses ressources

 

La gestion du stress

Stress négatif et stress positif

Transformer son stress en moteur

Que faire face efficacement au stress ?

PROGRAMME 3

Objectif : À l’issue de la formation les participants sauront :·

Reconnaître les potentiels de chaque joueur ·

Construire un parcours d’entraînement spécifique pour l’équipe
 

Stimuler l’ambition et l’énergie de l’équipe

Se positionner par rapport à l’équipe

Mettre les joueurs sous tension positive

Détecter les talents individuels de chaque joueur pour les rendre plus performants

Adapter son discours en fonction des différentes personnalités

Renforcer la cohésion d’équipe : les lois de la dynamique de groupe

 

Motiver au quotidien

Savoir féliciter sans “en faire trop“

Faire accepter les objectifs ambitieux

Faire face au joueur qui ne progresse pas : les erreurs à éviter

Redynamiser une équipe qui “baisse les bras“

ENTRAINEMENT INTENSIF

Une grande partie de la session est consacrée à des exercices de mise en situation, spécifiques aux

situations vécues sur le terrain.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin