"LE SOUVENIR EST UN POETE, N'EN FAITES PAS UN HISTORIEN."
- Recommandation de Mamie -
#palavas #souvenir #memoire #ciel #soleil #mer #vacances
"Moi, Régis Iglesias, actuellement à Palavas-les-Flots, j'invite ma famille, mes amis et tous les Papis et Mamies qui se trouvent en maison de retraite ou qui viendraient à s'y trouver, à se réunir à moi.
Quoi qu'il arrive, la Flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à Radio-Cognac pour vous demander de déposer dans l’urne un bulletin "Macron", "Le Pen", "Blanc" ou "Nul si découvert" mais que l’important c’est de voter. Pour tout donner.
L’important c’est d’y croire.
Sans s’en apercevoir.
"L'oeil de Robert Doisneau.
La photographie « Le baiser de l’hôtel de ville » a été réalisée pour le magazine Life qui l'a publiée le 12 juin 1950 au sein d'une série de photographies sur le thème de l'amour à Paris au printemps.
La scène est jouée par deux étudiants en théâtre, Françoise Delbart (née Bornet) et son petit ami Jacques Carteaud, alors élèves au Cours Simon.
Le photographe les avait repérés dans un café parisien et, les ayant vus s'embrasser, leur avait proposé une séance de prise de vue en pleine rue, moyennant une rétribution de 500 francs.
Cette photographie, tombée dans l'oubli pendant près de trente ans, est devenue célèbre avec la commercialisation, en 1986, de 410 000 exemplaires d'un tirage en format affiche, un record mondial.
Doisneau expliquera ce succès en affirmant « C'est le symbole d'un moment heureux ».
En 1992, le couple Lavergne revendique être les amants de l’hôtel de ville, et réclament 500 000 francs au photographe pour violation de sa vie privée.
Ce procès fait ressurgir Françoise Bornet qui se fait connaître de Robert Doisneau et fournit, pour prouver qu'elle est bien l'un des protagonistes, un cliché original, numéroté et estampillé que le photographe avait donné aux amants après la séance photo.
Françoise Bornet fait, elle aussi, un procès et réclame 100 000 francs de rémunération complémentaire, ainsi qu'un pourcentage sur les bénéfices commerciaux.
Depuis la prise du cliché, les amants se sont séparés. Jacques Carteaud refuse quant à lui de se joindre à la démarche, refusant de « transformer cette histoire photographique en histoire de fric ».
Françoise Bornet a mis en vente son cliché original, le 25 avril 2005. Mis à prix à 10 000 € lors de la vente aux enchères d'Artcurial à l'hôtel Dassault à Paris, il sera adjugé 155 000 € en présence de sa propriétaire, record qui n'est pas seulement dû à la célébrité de l'image mais qui s'explique également par la qualité du tirage, contemporain de la prise de vue.
Un mot de Mamie :"On est toujours plus vieux que sur la photo ...
La suite n'est que littérature.
"Un mot de Marlene Dietrich : « Mes jambes ne sont pas si belles que ça, je sais juste quoi en faire.
#Almanach#phrasedujour#souvenir#fallinginloveagain
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