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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 14:06

Algerie.jpg"Une photo, là, sous vos yeux.

 

 La guerre d'Algérie dure depuis bientôt deux ans. Le 1er novembre 1954, jour de la Toussaint, quand l'insurrection a éclaté, on a cru d'abord à une flambée sans lendemain, comme on en avait déjà connu depuis la conquête de 1830. L'insurrection est devenue une guerre.

  Certes, un tel mouvement s'inscrit au sein de l'élan d'indépendance qui disloque tous les empires coloniaux du monde. Pourtant, le cas de l'Algérie semblait différent.

 Au milieu de 9 millions de musulmans, près de 1 million de Français de souche, souvent présents depuis plusieurs générations, vivent en Algérie. Les cimetières sont peuplés de leurs ancêtres. Ils se sentent tout autant Algériens que Français et n'imaginent pas de vivre ailleurs.

  Dans les villages, les enfants chrétiens et musulmans jouent ensemble. A Marnia, le village où a grandi Ahmed Ben Bella, il n'a guère senti la différence entre Français et Algériens.

 "Juifs, Français et Algériens ne formaient qu'une seule équipe de football. Et le coude à coude à l'intérieur d'une même équipe favorisait notre amitié."

 A l'école de Marmia, dira encore Ben Bella, "il n'y avait aucune discrimination."

 

 Aucune discrimination ? Pas à Tlemcen en tout cas où pour la première fois "je sentis que j'appartenais à une communauté tenue pour être inférieure. Pour la première fois, je compris que j'étais un étranger dans mon propre pays."

  Presque toujours, les vocations à l'indépendance sont nées d'amours-propres blessés, d'humiliations devenues peu à peu insupportables. Le fait est que depuis 1830, les Algériens musulmans ne sont que des sujets.

 Pas de reconnaissance.

C'est en tant que Français qu'ils se sont battus au cours de deux guerres. On leur reconnaissait le droit de verser leur sang, pas celui de déposer dans l'urne un bulletin de vote.

 

A l'école de Tlemcen, Ahmed Ben Bella découvre le nationalisme. Le jeune Ahmed y adhère. Il se battra ensuite pour la France et sera même décoré par de Gaulle.

 Mais re-belote à son retour, il se sent bridé, contre-carré.

Ben Bella s'en persuade alors : seule l'action paiera. Il sera l'un des neufs "chefs historiques de la révolution" : ainsi les Algériens désignent-ils ceux qui ont préparé l'insurrection du 1er novembre 1954.

 Ferhat Abbas a énuméré ces Neuf en rappelant ce qu'ils sont devenus.

Un palmarès qui fait froid dans le dos.

"Il y avait Didouche Mourad tombé au champ d'honneur ; Ben M'hidi Larbi tombé au champ d'honneur ; Benboulaïd Mustapha tombé au champ d'honneur ; Khider Mohammed lâchement assassiné ; Boudiaf Mohammed, Aït Ahmed, tous deux vivent aujourd'hui en exil ; Ben Bella Ahmed, chef d'Etat, arrêté et emprisonné par son ministre de la Défense nationale, et Rabah Bitat."

 Elle dure cette guerre. La France s'y enlise. Dès le 31 mars 1955, on a proclamé "l'état d'urgence". On tente d'accélérer une politique d'intégration. En vain. Les insurgés n'en veulent plus. Toute l'année 1955 est marquée par un durcissement de la rébellion, des combats sans pitié, des attentats féroces suscitants une répression de plus en plus cruelle.

 

 400 000 soldats métropolitains stationnent désormais en Algérie. L'opinion française comprend mal. Si tant est qu'elle l'ait jamais été, la guerre d'Algérie se révèle de moins en moins populaire.

 Quand Mitterrand alors garde des sceaux s'est écrié : "l'Algérie c'est la France" ; quand Pierre Mendès-France a confirmé "les départements d'Algérie font parti de la République, ils sont français depuis longtemps, les Français ont admiré, certes, mais sont restés sceptiques.

 Depuis que l'indépendance a été accordée au Maroc et à la Tunisie, le sens du combat en Algérie commence à leur échapper.

 

Ce que ne comprend pas davantage la population métropolitaine, ce sont les positions des Français d'Algérie. Littéralement cramponnés à leurs droits, ceux-ci n'admettent aucune évolution, aucun changement qui permettrait de rapprocher les deux communautés.

Quand Guy Mollet décide d'affronter Alger, une volée de vociférations jaillit de toutes parts, vite muée en leitmotiv :

- AL-GE-RIE FRAN-CAI-SE, AL-GE-RIE FRAN-CAI-SE !

Cela se mêle avec :

- L'armée avec nous !

- Chevallier au poteau !

Et surtout :

- Catroux à la mer !

En même temps, jaillissent vers le cortège officiel des tomates, des pommes, des mottes de terre arrachées aux plates-bandes voisines, voire des pots de fleur et même des drapeaux !

 Mais ma Mamie m'a dit qu'il y avait surtout des tomates...

 Les hurleurs tentent de rompre les barrages. Mollet - que les tomates épargnent mais de peu - dépose sa gerbe. Le service d'ordre l'entraîne au moment où une tomate s'écrase sur le manteau gris de Max Lejeune.

 Les voitures officielles s'arrachent à cette foule enragée et foncent vers le palais d'Eté où Guy Mollet et sa suite se claquemurent. Autour du mouvement au mort, un nouveau cri s'est élevé - et c'est un ordre :

- Au palais d'Eté !

Parvenue au but, la foule se met en devoir de prendre d'assaut le palais. Les CRS, les spahis en armes résistent efficacement. L'image restera toujours dans les mémoires de ces Algérois en furie face aux mousquetons braqués. Partout on s'en prend aux CRS. On chante La Marseillaise. Bagarres. Horions. partout le même cri :

- Catroux dehors !


 Du Palais d'Eté, c'est un Mollet totalement désemparé qui appelle le président de la République. Justement ce Catroux honni se trouve à l'Elysée auprès de René Cotty. Le général offre sa démission. Aussitôt on diffuse dans Alger un communiqué signé Mollet : "Soucieux de ne pas ajouter au drame qui divise déjà l'Algérie, j'ai accepté cette démission..." La nouvelle court la ville. La joie succède à la colère : l'Algérie française a gagné !

 

Amer, Guy Mollet constate le résultat et répète : "Je n'aurais pas dû céder." Qui va remplacer Catroux au ministère de l'Algérie ? Cette question obsède Mollet. Tout se passe par téléphone. Il s'adresse à Gaston Defferre - qui refuse. Puis à Robert Lacoste - qui accepte malgré les conseils unanimes de ses amis - "Tu vas tomber dans un de ces merdiers !". 

 Député de la Dordogne, plutôt petit, le ventre rond, équilibré et bon vivant, fort amateur de la cuisine du Sud-Ouest, Lacoste voit la République en danger.

 Il rejoint au Palais d'Eté un Guy Mollet qui lui cède aussitôt la place. Il trouvera alors sur son bureau des rapports plus que préoccupants. Le préfet de Bône signale "l'intensité croissante de l'action des rebelles dans le département", précisant que ceux-ci "sont pratiquement aux portes de la ville".

 Aux yeux du préfet de Constantine, "la situation continue à se dégrader... et risque de devenir rapidement périlleuse". Quant au préfet d'Alger, il fait savoir que "la situation actuelle est mauvaise et tend à se dégrader chaque jour davantage."

 

 Voilà pour l'administration. Qu'en est-il de l'armée ?

Le général Lorillot estime que "la situation générale en Algérie est très médiocre. La situation militaire y est préoccupante. Le général Parlange insiste "sur la détérioration extrêmement rapide de la situation" et considère que "la cote d'alerte est actuellement atteinte". Il faut lire son rapport comme "un véritable cri d'alarme".

 C'est donc que les insurgés triomphent ? Nullement. Le ravitaillement, tant en vivres qu'en armes est devenu extrêmement difficile". Qui plus est, "le terrorisme urbain est devenu lui aussi extrêmement difficile. Chaque attentat provoque, de la part des Européens, une réaction telle que les populations musulmanes, absolument terrorisées, arrivent à souhaiter presque ouvertement la fin de ces actions."

 Quand deux adversaires doutent en même temps, et chacun pour sa part, d'une possibilité de succès, ils sont prêts à négocier.

 C'est à Tripoli qu'Hamed Ben Bella reçoit communication de la décision qui écarte ses amis et lui-même de la direction véritable de la révolution algérienne. Il s'indigne : on veut donc liquider les chefs historiques . En 1956, Ben Bella a quarante ans. Il se sent dans la plénitude de ses moyens. Et il n'accepte pas du tout cette situation. On ira donc négocier à Rabat.

 Ce n'est un secret pour personne, que Ben Balla ambitionne d'exercer le premier rôle dans la révolution algérienne, mais devant une ambition qu'il n'a pas su dissimuler, ses propres compagnons ont manifesté une réticence grandissante. 

 Ben Balla se retrouve alors avec les "cinq" pour s'envoler vers Tunis à la table des négociations.

Il ne sent pas le coup. Quand sur son siège du DC3, Ben Balla boucle sa ceinture, il ressent une crainte qu'il ne peut se defendre de confier à Khider.

L'instinct ?

 

 Khider, lui n'est pas inquiet. Il se met à rire. Il lance :

- Oh toi tu te méfies toujours !

 Les militaires, avec le seul accord de Max Lejeune vont alors donner l'ordre d'arraisonner l'avion.

 

- Le commandant Grellier et son équipage vous souhaitent la bienvenue à bord. l'avion à bord duquel vous vous trouvez est un DC3 de la compagnie Air Atlas. Nous volerons à 2500 mètres. Nous atteindrons Tunis vers 21 heures.

 La voix stéréotypée de toutes les hôtesses de l'air du monde. Celle-ci est française, mince et blonde. Elle se nomme Michelle Lambert.

Bien sur le commandant Grelier est français, comme le mécanicien Benauges et le radio Dubos. Un équipage qui va transporter des passagers d'exception.

Avant le décollage, Mohammed Douiri, ministre marocain des Travaux Publics, s'est adressé aux "cinq" :

- L'avion évite les eaux territoriales françaises.

Rassurant. Pourquoi le malaise de Ben Bella ne se dissipe-t-il pas ?

 Il sursaute quand il voit l'hôtesse placer la main sur le siège qui se trouve devant le sien. Là, ou il a placé son revolver. Il faut dire aussi qu'en général Ben Balla aime voyager en avion. Là seulement il se sent en sécurité. Il ne peut oublier que l'on a voulu à deux reprises au moins, attenter à sa vie.

 Au Caire, un chauffeur de taxi lui a apporté un paquet. Méfiant, il l'a refusé. Quelques centaines de mètres plus loin, le taxi et le chauffeur se sont volatilisés.

 A Tripoli, un certain Jean David, colon tunisien, a voulu lui écraser le crâne d'un coup de matraque.

Un mouvement de côté l'a sauvé. La matraque n'a fait que glisser le long de se tête.

 Logiquement, dans ce DC3 il ne risque rien.

Logiquement.

 

16 heures : l'équipage du DC3 s'apprête à se mettre en rapport avec la tour de contrôle de Séville. Tout à coup, dans les écouteurs, la voix d'un tiers. Une voix française :

- Prétextez une panne. Venez vous poser à Oran.

Réaction stupéfaite de l'équipage :

- Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

- Vous avez cinq salopards à bord. Il nous les faut.

- Qui transmet l'ordre ?

- Le ministère de la défense nationale.

 

 Finalement, ce sera cap sur Alger où depuis 18 h 30 des forces imposantes quadrillent l'aérodrome de Maison-Blanche. "Plusieurs escadrons de gendarmes et CRS me furent envoyés, dit Roger Détrie, beaucoup plus qu'il n'en fallait."

Des hommes armés jusqu'aux yeux.

Cinq généraux, dont le général Lorillot.

la voix de l'hôtesse se veut toujours rassurante :

- Vous êtes priés de ne pas quitter vos sièges avant l'arrêt complet de l'appareil.

En tout cas, en ce qui la concerne, elle a disparu dans le poste de pilotage. L'équipage a bloqué la porte de communication.

Du commandant à l'hôtesse, tous sautent par l'ouverture de secours. La pauvre Mlle Lambert se foule une cheville.

 

 Dans l'appareil, voici que les lumières s'éteignent, d'un seul coup. Dehors, s'allument des projecteurs aveuglants. On aperçoit des soldats casqués qui foncent sur le DC3.

 Déjà le colonel Andrès surgit dans la carlingue, mitraillette au poing, avec ses hommes : "Haut les mains !" Ben Balla plonge la main dans la poche du siège où il a placé son revolver. Ses camarades lui crient de laisser son arme où elle est, de ne pas leur donner ce beau prétexte.

- Je ne croyais pas les Français capables de cela, dira plus tard Ben Bella.


 Les membres de l'équipage vont être conduits à la villa Les Oliviers. Le lendemain, ils y verront arriver leurs femmes et leurs enfants, littéralement enlevé de chez eux au Maroc et mis à l'abri.

 La préoccupation qu'avait exprimé l'équipage quant à leurs familles était légitime. A la nouvelle de la capture de "Ben Bella et consorts", une effroyable émeute va se déchaîner dans la ville marocaine de Meknès et ses environs.

 En représailles, d'affreux massacres dans la colonie française de la ville.

Une centaine de morts dont certains dans des conditions effroyables. Des agents de police français eurent la tête tranchée et les arabes promenèrent leurs têtes au bout d'un bâton...

En ville "nouvelle", il écrasèrent des têtes à coups de pavé, violèrent puis tuèrent. Le retentissement dans tout le Maroc de ces massacres a été considérable et a entraîné l'exode massif et brutal de la quasi-totalité des Français.

 A Tunis, Mohammed V est à la fois furieux et désespéré, il appelle René Coty.

Sa voix tremble de colère :

- Les Algériens étaient placés sous ma protection... Mon hospitalité a été violée... Vous connaissez l'âme musulmane... C'est une question d'honneur... Je suis prêt à donner mes fils en otages...

Guy Mollet et Max Lejeune file à l'Elysée. Ils trouvent René Cotty en robe de chambre... et d'une humeur massacrante. A l'adresse de Max Lejeune, une phrase glaciale :

- Bonsoir, monsieur le secrétaire d'Etat !

Accablé, le président ajoute :

- Nous sommes déshonorés !

 Le gouvernement ne peut plus revenir en arrière. Il va donc entériner le fait accompli. L'opération, sur le plan de la guerre, s'est révélée totalement négative. Loin de se laisser émouvoir, la résistance intérieure va raidir son action. Un peu plus tard éclatera la bataille d'Alger.

 Il n'est plus question de négocier. Marocains et Tunisiens se déchaînent contre la France. En revanche, la presse française de l'époque exprime, quant à cette opération, un consensus quasi général.

On approuve, on exulte.

Seul François Mauriac annonce les conséquences à venir de l'évènement.

L'avenir vérifiera ses alarmes.

Donc, la guerre continuera. De part et d'autres, les hommes tomberont. En 1956, il était encore temps pour les deux communautés de vivre sous le même ciel : réconciliées.

 En 1963, l'heure aura passé.

 Ma Mamie se pose encore et toujours la même question : Vraiment, fallait-il détourner l'avion de Ben Bella ?

 

 

Collection "Mamie explore le temps"

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Published by Régis IGLESIAS - dans Mamie explore le temps

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin