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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 17:16

journal"Sacha, Henri, Boby et les autres...


 Rien ne prédisposait le jeune Sacha à devenir chanteur. Dès l'après-guerre, grâce à son oncle Ray Ventura, il tombe amoureux du jazz, apprend la guitare avec un certain Henri Salvador et devient un excellent instrumentiste, au point d'être sacré meilleur guitariste de jazz français au milieu des années 50.


 En 57, il enregistre un premier album, Sacha Distel Chante, sans succès, avant de voir l'année suivante sa carrière totalement chamboulée par son Scoubidou. Il enchaîne alors les tubes, dont le superbe La belle vie, repris par la terre entière, de Frank Sinatra à Sarah Vaughan. Il devient dans la foulée le french lover par excellence, son aventure avec Brigitte Bardot n'y étant pas pour rien. A partir de 63, il anime des émissions de variété très populaires en France et en Angleterre, dans lesquelles il ressort parfois sa guitare...

  Sacha appartient à cette race de chanteurs sympathiques et comiques qui plaisait beaucoup à ma Mamie.


Henri Salvador est de la même veine. Un musicien et chanteur immensément doué qui a passé une grande partie de sa vie à faire le guignol, parce que c'est ainsi que le grand public l'aimait. C'est au début des années 60 qu'il écrit son chef d'oeuvre Syracuse. Il interprètera ensuite des tubes fantaisistes : Zorro est arrivé, Faut rigoler, Juanita Banana, Le travail c'est la santé, C'est pas la joie, etc. Il va alors se retirer pour se consacrer à la pétanque avant de connaître un succès unanime en 2000 avec le très bel album nostalgique Chambre avec vue.

 

 Et que dire des Frères Jacques... Une gestuelles proche du mime et un look immédiatement identifiable, à la fois désuet et intemporel : collants, justaucorps, gants, chapeaux et moustaches... Ils obtiennent le Grand Prix du disque en 1950 avec L'inventaire, puis un immense succès l'année suivante avec La Marie-Joseph. Leur répertoire, tour à tour humoristique, poétique, paillard ou satirique, leur permettra de traverser les époques, jusqu'à leurs adieux en 1979.

 

Dans un style plus populaire et bon enfant, nous avons aussi Les Compagnons de la chanson. Tout au long des années 50, ils seront dans tous les coups : Les trois cloches, Le galérien, Gondolier et Le marchand de bonheur. Avec à la clé d'incessantes tournées.

 

Bourvil n'est pas en reste avec un personnage d'idiot du village qui lui collera longtemps aux basques. Ses premiers succès discographiques sont d'ailleurs dans cette veine avec notamment Les crayons et La tactique du gendarme. A la fin des années 50, après sa fameuse Salade de fruits, il va se tourner à la surprise générale vers un répertoire tendre et nostalgique avec des petites perles comme La ballade irlandaise ou La tendresse.

 

 Il y a aussi le chouchou de Mamie, le génial Boby Lapointe qui sera malheureusement pas reconnu à sa juste valeur de son vivant. Il monte à Paris au début des années 50 mais son premier recueil de textes fera un bide. Tout comme sa tentative de les faire interprêter par les Frères Jacques qui trouvent que c'est "trop difficile à chanter". C'est finalement Bourvil qui s'y colle en chantant Aragon et Castille dans le film Poisson d'avril.

  Il va poursuivre durant toute la décennie une carrière totalement libre, n'en faisant qu'à sa tête, ce qui lui ferme la porte d'un succès plus large et entièrement mérité même s'il est reconnu et admiré par Aznavour, Brassens, Pierre Perret, Joe Dassin et par Mamie. Il va mourir trop jeune d'un cancer, dans sa ville natale, Pézenas, où il bénéficie aujourd'hui d'une véritable stature de héros. Comme à Carmaux d'ailleurs. Il nous laissera quelques titres ahurissants comme Marcelle, Le poisson fa ou Ta Katie t'a quitté...

 

Rideau.

 

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 13:50

Depeche"La belle époque.


 Tino Rossi d'abord. Il commence par le music hall avec de nombreux succès dont "Vieni vieni" (classé en tête des hit-parades américains pendant 28 semaines, rien que ça), "Marinella" et "Tchi-Tchi", il se tourne assez vite vers le cinéma où son physique de "Rudolph Valentino corse" et sa voix d'or l'aident à devenir une très grande vedette.


 Alors que l'industrie du disque est encore à ses balbutiements, il bat tous les records de vente. Vincent Scotto qui lui a écrit de nombreuses chansons, déclarera à ce sujet : "Ses disques ont été achetés dans le monde entier. On vendait généralement quatre-vingt milles disques par mois de Tino."

 Ainsi, "Adieu Hawaii" s'écoule à près d'un demi-million d'exemplaires, chiffre inouï pour l'époque.

 Mais ce n'est rien comparé au raz-de-marée "Petit Papa Noël", succès planétaire qui semble ne jamais vouloir s'arrêter : à la mort de Tino en 1983, il s'en vend encore 300 000 par an, pour un total cumulé de plus de 30 millions depuis sa sortie... Ce titre lui vaudra le premier disque d'or décerné à un chanteur français. Dans les années 50, Tino Rossi se tourne vers l'opérette malgré la sévère concurrence d'artistes plus jeunes comme Luis Mariano ou Georges Guétary. Ce sera encore un succès avec notamment Méditerranée en 55.

 

 Tino Rossi est typiquement un chanteur "à l'ancienne", qui porte sa voix dans une tradition proche de l'opéra : difficile de l'écouter aujourd'hui sans sourire pour tous ceux qui n'ont pas connu cette époque. Et comme dit ma Mamie, ils sont de plus en plus nombreux...

 

 L'un de ses contemporains va aussi devenir une grande vedette internationale avec notamment une grande révolution dans le domaine du chant, il s'appelle Jean Sablon. Il sera la premier chanteur à se produire sur scène avec un micro, dès 1934. Après avoir commencé classiquement par la revue et l'opérette aux côtés de Mistinguett, il s'associe avec Mireille pour un fameux duo, "Puisque vous partez en voyage", puis s'imprègne de jazz et de swing pour interpréter une de ses plus belles réussites, "Vous qui passez sans me voir", que lui a offert un petit nouveau, Charles Trenet, et qui remporte le Grand-Prix du Disque 1937.

 

 Il peaufine alors son style de chant doux et murmurant, qui fait de lui le premier crooner français. Il est énormément critiqué et moqué pour sa prétendue absence de voix : les chansonniers l'appellent "le petit qu'à le son court"... Vexé, il traverse l'Atlantique où il devient une véritable star, l'égal d'un Bing Crosby, le french troubadour par excellence, travaillant avec les plus grands tels Cole Porter et Georges Gershwin...

 

 Dans le même registre, le "Prince de la chanson de charme", André Claveau, devient l'idole des femmes des années quarante, atteignant le sommet de sa gloire en 1950 avec "Domino" et "Cerisier rose et pommier blanc". Avec "Les yeux d'Elsa" en 1956 - un poème d'Aragon mis en musique par le jeune Jean Ferrat - et "Dors mon amour" qui remporte le Grand Prix de l'Eurovision 1958, il donne sa chance à une nouvelle génération qui explosera au cours des années 60 et contribuera à le ringardiser...

 

 Mais si un chanteur a véritablement révolutionné la chanson française et ouvert la porte à une pléiade d'artistes majeurs, comme Brel, Brassens, Higelin, Charlebois et tant d'autres, il s'agit bien de Charles Trenet. Au-delà de son énergie et de sa bonne humeur (cachant souvent une certaine mélancolie), le "fou-chantant" a tout à la fois introduit les rythmes nouveaux venus d'Amérique et le goût de la littérature et de la poésie.

  Il a un pied dans la tradition et un autre dans la modernité. Ainsi à ses débuts, il écrit pour Frehel et Maurice Chevalier interprète un de ses premiers titres "Y'a d'la joie", en 1937. Pourtant, dès cette époque, l'avènement de son style novateur entraînera le début du déclin de la chanson réaliste chère à Damia et Fréhel, ainsi que de la tradition masculine du comique troupier, dont est issue Chevalier. Il enchaîne avec "Boum !" qui remporte le Grand Prix du Disque en 1939 puis, sous l'occupation - pendant laquelle on lui reprochera, comme à tant d'autres, d'avoir continué à chanter - compose "Que reste-t-il de nos amours ?", "La mer" et autres "Douce France".

  Ensuite, il triomphera avec "L'âme des poètes", "Nationale 7", "A la porte du garage" et "Moi, j'aime le music-hall". Il fête alors déjà ses vingts ans de carrière et dix millions de disques vendus... Avant de traverser le désert dans les années 60 et la folie des yéyés. On reparlera de lui en 63 à l'occasion d'un sordide procès pour une histoire de moeurs : également novateur dans ce domaine, il sera l'un des tout premiers chanteurs à rendre publique son homosexualité, à une époque où il fallait une sacré dose de courage pour affronter une opinion publique très peu progressiste...

 

 Mais la plus grande chanteuse de l'époque, et probablement de tout le XXème siècle, est sans conteste Edith Piaf. Mais ça, ma Mamie vous le racontera une autre fois...

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 00:24

Scan 2"Clo-clo.

 

 Claude François est un forçat de travail issu de la vague yéyé. Après des débuts difficiles, cet ex-batteur de jazz va enchaîner les tubes au début des années 1960, de Belles, belles, belles à Si j'avais un marteau, adaptation d'une chanson folk américaine qui se vend à deux millions d'exemplaires et impose son personnage énergique, sautillant et gentillet que toute la France surnomme dorénavant Clo-clo...

 

 Dès lors, il est LE chanteur de variété française, incarnant presque à lui tout seul ce genre tant décrié par les rockers : paroles souvent niaises, musique enrobées d'arrangements sirupeux ou ronflants (violons, trompettes, tout y passe), chorégraphies aguicheuses et ringardes (avec l'apparition des Clodettes dès 1966), look minet...

 

 Véritable bourreau de travail, redoutable businessman menant ses équipes à la baguette mais possédant surtout un grand flair musical ("J'attendrai", "C'est la même chanson") ou se les fait confectionner sur mesure comme l'immense Comme d'habitude, qui deviendra sous le titre My Way, la chanson la plus reprise dans le monde.

 

 Le début des années 70 sera placé sous le règne absolu de Claude François. Un tube chasse l'autre : Il fait beau, il fait bon, Y a le printemps qui chante, Le lundi au soleil (écrite par Patrick Juvet, sorte de fils spirituel), Chanson populaire, Le téléphone pleure, Le mal aimé, etc. 

 

 Les disques Flèche, la maison de production qu'il a fondé, tournent à plein régime : à chaque single à succès correspond un album de 33 tours de douze titres dont onze ne laissent aucun souvenir à personne (qui a dit "remplissage" ?).

 Une véritable entreprise industrielle qui s'est en plus dotée d'un moyen de promotion imparable : en 72, Claude François lance le magazine Podium, dédié à la variété française !concurrent de Salut les Copains et Hit Parade qui monopolisent alors le secteur) mais surtout, à la gloire de son propriétaire. Chaque numéro s'orne de nombreuses photos de chanteurs populaires parmi lesquels on retrouve chaque mois un certain Claude François !

 

 S'il a pu craindre une légère baisse de régime en 1975, le patron est rassuré par son grand coup en 77 : la découverte du disco et son adaptation à sa sauce. Avec Magnolias For Ever et Alexandrie Alexandra, Clo-clo prend le bon tournant (c'était ça ou le punk...) et habille sa musique de paillettes et de batteries puissantes. Malheureusement, le chanteur businessman survolté ne profitera pas longtemps de ce nouveau succès.

 

Ma Mamie m'a dit qu'elle a appris sa mort chez son oncle et qu'elle avait été ravagée par la nouvelle. 

 Complètement ravagée.

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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 22:46

Depeche"Le Brassens en jupons.


Au cabaret parisien La Colombe, une longue fille brune, une frange au ras des yeux verts, monte pour la première fois sur scène. Anne Sylvestre chante en s'accompagnant à la guitare des chansons qu'elle a écrites et composées. Tendresse ("On s'est connus"), nostalgie douce-amère ("Histoire ancienne") mais aussi gouaille ("Maryvonne").

  Elle persévéra avec "Philomène", "Porteuse d'eau", "La quarantaine", "Les punaises", "Eleonore", "Mon mari est parti" (liste non exhaustive).

 De chanson en chanson, de cabaret en cabaret, son talent s'affirmera et elle deviendra "le Brassens en jupons".

 Mieux que personne, elle chantera les femmes.

 Cette drôle de petite Josette "qui n'en fait qu'à sa tête" pour la plus grande joie des enfants qu'enchantent aussi ses malicieuses fabulettes ("Hérisson", "Muse-Musareigne", "Veux-tu monter dans mon bateau"). 

 C'était en 1957.

 Ma Mamie, qui soit dit au passage était une fan de la première heure d'Anne Sylvestre, m'a dit que cette année-là, elle avait mangé une délicieuse blanquette de veau et qu'elle s'en léchait encore les babines. 

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 11:11

Jean-Lumiere.jpg

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 22:46

Catherine-Sauvage.jpg

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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 19:24

etoile-des-neiges-1.jpg

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 15:09

Le-petit-vin-blanc.jpg

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7 novembre 2008 5 07 /11 /novembre /2008 19:31

Le-Grand-rouquin-.jpg

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7 novembre 2007 3 07 /11 /novembre /2007 18:40

Ulmer-c-est-loin-tout-ca.jpg

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Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin