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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 01:31

journal"L'homme au canotier.

 

 Maurice Chevalier, séparé de la Miss, a taillé la route seul.

 A ses débuts, il chantait en échange d’un modeste café-crème. Avec ses allures de dandy fantaisiste et parigot, il fait tourner les têtes de ces dames.

 Le jeune premier ne quittera plus son canotier.

 "Vous avez su plaire aux femmes en ne déplaisant pas aux hommes. Je crois bien que c’est unique", lui adresse sacha Guitry.

 Il quitte la grande Fréhel, désormais inconsolable, pour aimer Mistinguett puis épouser une jeune actrice, Yvonne Vallée avec qui il chantera Dit’s moi M’sieur Chevalier. Porté en triomphe grâce à Dans la vie faut pas s’en faire ou Valentine, il se voit convoité par Hollywood.

 Ses rencontres et sa vie sentimentale défraient la chronique : il est l’ami de Duke Ellington qui lui offre de se produire à Broadway, il est aussi l’amant d’une créature époustouflante Marlène Dietrich, pour qui il divorce.

 Lorsqu’il sent qu’en Amérique son heure est passée, il reprend le chemin de la France qui, tout à la joie des retrouvailles, fait de ses ritournelles des triomphes : Prosper, Ma pomme, Y ‘a d’la joie né sous la plume d’un petit nouveau au talent prometteur, Charles Trenet. 

 Les années passent et l’inoxydable vedette donne toujours de la voix. Il se battra même comme un beau diable pour ne pas être enterré vivant.

 Un tantinet mégalomane, il publiera ses mémoires en quelques dix volumes.

 Il s’éteindra le 1er janvier 72, d’une crise cardiaque et l’âme bien désespérée, quelques mois après qu’il a survécu à une tentative de suicide.

 

 Rideau.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Des refrains et des Mamies
12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 04:16

Depeche"Les années 20,

 

 L'aéroport du Bourget devient un mythe après l'atterrissage de Lindbergh en 1927.

 L'Amérique est désormais a porté de main.

 Chaque orchestre de danse s'intitule froidement "jazz", même s'il ne dispense que des valses musettes ou des tangos. Les nouveautés sont d'abord jouées dans les bals musette et les dancings.

 La radio est balbutiante, le cinéma ne parle et ne chante pas encore.

 Véritable carrefour artistique, où les carrières déclinantes des gloires du café-concert (Mayol, Dranem, Dalbret, Bérard, Dona, Montel, Esther Lekain, Polaire, Eugenie Buffet, Yvette Guilbert pour ne citer qu'eux) côtoient l'ascension de vedettes apparues sur scène avant 1914 (Maurice Chevalier, Mistinguett, Damia, Fréhel, Nitta-Jo, André Turcy, Gaby Montbeuse, Ouvrard, Bach, Milton, Georgius, Boucot, Georgel, Vorelli, René de Buxeuil, Dréan...).

 Tandis qu'une nouvelle génération de chanteurs commence à trouver son public comme Lys Gauty, Lucienne Boyer, Marie Dubas, Parisys, Florelle, Germaine Lyx, Jane Aubert, Cora Madou, Berthe Sylva, Saint-Granier, Koval, Alibert, Perchicot...

 Des étoiles foudroyantes sont foudroyées en pleine gloire, victimes de la maladie ou d'excès de toutes sortes (Fortugé, Emma Liébel, Yvonne George, Claudine Boria, Jenny Golder, Régine Flory) laissant le souvenir de natures qui auraient pu marquer davantage l'histoire de la chanson.

 Le music-hall a grand spectacle vit son âge d'or.

 La formule de la revue, composée d'une succession contrastée de tableaux fastueux, est désormais bien rodée. On veut faire du "toujours plus beau, toujours plus nouveau !".

 Souveraine incontestée du genre, mais jalousée, Mistinguett règne sans partage sur la Place Blanche jusqu'en 1928. Maurice Chevalier tire aussi son épingle du jeu avec Harry Pilcer, Saint-Granier, Jane Marnac, , Jane Aubert, sans oublier Jenny Golder.

 Marie Dubas triomphe avec "Pedro", "Lise" et "Marguerite".

 Damia - la tragédienne de la chanson -, interprète quant à elle des oeuvres noires ("La suppliante", "Hantise", "J'ai l'cafard", "La rue de la joie") d'une voix rauque et brisée, avec les gestes et le port de tête d'une grande prêtresse).

 L'opérette revient à la mode. Elle va servir d'école à de futures vedettes du théâtre et de l'écran (Arletty, Gabin, Pauline Carton, Fernand Gravey...).

 De nombreux airs deviendront populaires au point d'entrer dans le répertoire des chansons de rues.

 Ainsi "Dans la vie faut pas s'en faire" créé par Chevalier dans l'opérette Dédé

 Le comique Milton s'illustre aussi dans l'opérette et entonne des couplets pas toujours très fins comme "Je t'emmène à la campagne", "La fille du bédoin", "On se fait pouèt pouèt" ou "Si j'étais chef de gare".

 Un public "à la page" comme on dit alors préfère le cabaret. Même s'il est de bon, de toute façon, dans les années 20, de jouer le grand écart.

 Après l'exposition des Arts décoratifs de 25, Paris est en proie à une folie de charleston. La chanson réaliste cartonne aussi avec Fréhel qui fête son grand retour.

 La chanson idiote n'est pas en reste avec Quand "Zezette zozotte", "Petit loulou de Poméranie") sans oublier le comique troupier "J'suis content, content" et l'exotisme de pacotille font toujours recette avec "Nuits de Chine", "Sur le Bosphore", "Miralda"...

 La chanson vécue, épigone de la chanson réaliste, vit ses dernières années avec "Viens Maman", "Les roses blanches"... L'apparition de parodies est souvent le signe d'un déclin : on peut ainsi entendre " Le fils père" de Geogius" ou "Pour acheter l'entrecôte" de Romain Goupil.

 La TSF commence à s'implanter dans les foyers. Le cinéma parlant déferle des Etats-Unis en 29 avec "Broadway melody" et les films d'Al Jolson.

 Happé par Hollywood la même année, Chevalier nous revient via le grand écran avec "La chanson de Paris" où il interprète "Ma Louise" et reprend Valentine, son grand succès de 25. L'Olympia et le Moulin-Rouge sont alors transformés  en cinémas mais d'autres salles de music-hall dédiées aux revues à grand spectacle comme les Folies-Bergère ou le Casino de Paris résisteront aux attraits du rêve sur pellicule pour continuer d'offrir au public des beautés en chair et en plumes.

 

 Rideau.

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 15:11

Fleur-de-Paris.jpg

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 11:48

adieu_venise_proven_ale.jpg

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 01:57

Lycee-Papillon.jpg

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 17:32

En-parlant-un-peu-de-Paris.jpg

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 00:07

journal"La bicyclette.

 

 Cette année 1946, un Marseillais, affublé d'une veste à carreaux, d'un accent trop ensoleillé et d'un improbable répertoire de chansons de cow-boys, monte à Paris.

 Il n'a pas le sou mais la beauté ténébreuse des hommes que Piaf agrippe volontiers.

 Et puis, il y a en lui tant de rêves, tant de combats...

 Il avait deux ans quand ses parents ont du fuir le fascisme d'Italie. A onze ans, il travaillait déjà dans une usine de biscuits avant de faire apprenti coiffeur.

 Chez Yvonne et Fernand, le salon où il travaille, le beau gosse flatte ces dames, distribue oeillades et sourires mais à l'art de la frisette et du coup de brosse, il préfère de loin le cinéma et les musiques d'Amérique, cette terre promise dont son père a toujours rêvé. La famille devait émigrer là-bas, mais les Livi n'ont jamais réussi à réunir l'argent des billets, ils ont vécu toute leur vie à Marseille, comme on patiente sur un quai...

 Ainsi Ivo, dans les salles obscures, découvre Hollywood, il s'imagine donner dans les claquettes tel Fred Astaire, séduire façon Gary Cooper.

 Une passion des cinémas qui lui vaut bientôt, dans la cité phocéenne, d'être à 18 ans l'une des attractions les plus courues, juste avant le film.

 Il chante ses idoles : Maurice Chevalier et Charles Trenet. Pour qu'il monte déjeuner, sa mère, italienne, hurlait de sa fenêtre : "Ivo, monta !" Qu'à cela ne tienne, on l'appellera Yves Montand.

 Pour faire l'artiste, il évite de peu le service du travail obligatoire et gagne Paris aux premiers jours de 1944. Ce sont les premières scènes, les Folies-Belleville, Bobino, l'ABC. A une époque où les artistes se présentent en complet et les cheveux bien mis, Montand impose contre l'avis général un pantalon et une chemise qu'il porte dépoitraillé, une chevelure en liberté.

 Mais comme dit ma Mamie, il est si beau...

 C'est cet énergumène-là que l'on promet à Edith Piaf en première partie de son prochain spectacle au Moulin-Rouge. Elle exige qu'il passe une audition devant elle. Elle met d'ailleurs bien des réserves à propose de ce fils du soleil qu'elle imagine tout juste bon à jouer les cow-boys sur des refrains de saloon.

 Le rital, toujours très sûr de ses charmes et talents, se voit déjà embauché. Piaf l'écoute. Son répertoire à la gomme, Je vends des hot-dogs à Madison et à Central Park ou Dans les plaines du Far-West, elle s'en balance. Elle n'a d'yeux que pour sa force, pour l'intensité de son regard, pour ses mains puissantes et sa denture aussi lumineuse qu'un rang de perles.

 Bref, elle est sous le charme !

 Edith, folle amoureuse, lui déniche un répertoire, corrige chacune de ses intonations, chacun de ses pas, nuance sa gestuelle... Bref, elle le forme !

"Avec la gueule que tu as, tu dois chanter des chansons d'amour, jouer de ta voix pour faire craquer les bonnes femmes, les persuader que tu les aimera toutes chacune leur tour."

 Il n'oubliera pas la leçon...

 "Je suis tombé amoureux sans m'en rendre compte, victime du charme, de l'admiration et de la solitude d'Edith. Elle n'avait rien de la femme cassée, rompue qu'on a connu plus tard. Elle était fraîche, coquette, marrante et cruelle, éperdue de passion pour son métier, ambitieuse, midinette, fidèle tant qu'elle était amoureuse, désirant croire à son histoire d'amour mais capable de rompre avec une force inouïe, chantant mieux lorsqu'elle trouvait l'amour et lorsqu'elle le perdait... C'était mon premier amour vrai. Edith était quelqu'un qui te faisait croire que tu étais Dieu...", écrira Montand.

 Quand le 9 février 1945, il se présente au public du théâtre de l'Etoile en première partie d'Edith, elle est en coulisse à éponger son front, à lui tendre un verre d'eau, à compter ses rappels, treize.

 Le succès est immense, elle est fière.

 Elle intercède encore auprès de Marcel Carné afin que Montand soit la vedette de son prochain film, Les portes de la nuit. A pas feutrés, elle se retire de cet amour... Il aura beau, sous ses fenêtres, à toute heure du jour et de la nuit, la supplier de l'aimer encore. Edith, imperturbable, fera silence.

 "Deux années pour reprendre son souffle et regagner l'envie de vivre", confessera-t-il.

 La suite ? Il sera acclamé dans le monde entier. Il exporte C'est si bon.

 Il triomphe aussi avec A Paris qu'il avait pourtant commencé par refuser à son auteur Francis Lemarque.

 Enfin, c'est en 1968 avec La bicyclette qu'il connaît l'un des succès les plus populaires de sa carrière.

 Ce que l'on considère aujourd'hui comme l'un des grands refrains de la chanson française n'aurait pourtant dû être que le jingle d'une publicité... Cette année 1964, Pierre Barouh qui vient de connaître avec Francis Lai l'immense succès des Chabadabada d'Un homme et d'une femme, se voit en effet proposer la composition d'un refrain facile vantant les mérites de la bicyclette.

 Le parolier s'excécute sans trop de conviction pour finalement laisser son oeuvre en plan. Ce n'est que deux ans plus tard qu'il évoque par hasard avec Montand alors qu'ils disputent chez lui une partie de poker. "Y avait Fernand, y avait Firmin, y avait Francis et Sébastien" est une accroche qui emballe le chanteur.

 Il l'enregistre dans la foulée et en avril 68, le titre commence à passer sur les ondes. Quelques semaines plus tard, quand la grève générale paralyse le pays et que l'essence se fait rare, ils sont nombreux les Français à remonter sur leur vélo. Chanter est une façon de se donner du courage : La bicyclette de Montand est sur toutes les lèvres !

 A partir de 1964, Montand se détourne du récital au profit du cinéma. Lorsqu'il meurt le 9 novembre 1991, trois semaines après avoir fêté ses 70 ans, il en était pourtant à songer à un retour sur scène du tout nouveau palais omnisports de Bercy.

 Rideau. 

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26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 01:56

journal"La reine du récital.

 

 En 1932, à Bruxelles, puis à Paris au Théâtre des Champs-Elisées, est inaugurée une nouvelle formule de spectacle telle qu'on la connaît encore aujourd'hui : le récital, avec 35 chansons pendant deux heures.

C'est à Maris Dubas qu'en revient le mérite. Et sans micro s'il vous plaît, insiste-t-elle.

Elle joue, chante, danse, déclame, amuse ou apitoie.

 Si l'on a retenu d'elle ses refrains réalistes, elle fut d'abord formée à l'art dramatique avant de se lancer dans la revue, aux côtés de Maurice Chevalier et de Mistinguett, et aussi dans l'opérette, le folklore, la chanson pour enfants et même la mélodie classique.

 Parmi ses succès, l'hilarant Pedro sur des claquements de castagnettes ou encore Le doux Caboulot, Le Tango Stupéfiant et Quand Charlotte prie Notre-Dame. Exilée dans la guerre en raison de ses origines juives, la Dubas fera son grand retour à Paris en 1945, avant de faire ses adieux à la scène en 58.

 Elle meurt en 1972 à l'âge de 78 ans.

 Mais sait-on seulement que c'est Marie Dubas qui créa, avant une certaine Edith Piaf, qu'on ne présente plus, Le Fanion de la Légion et le légendaire Mon légionnaire qui sentait bon le sable chaud.

 Ma Mamie l'ignorait.

 Pour la petite histoire, Raymond Asso, auteur de la célèbre chanson, est alors le secrétaire de Maris Dubas en même temps que l'amant et le pygmalion de la toute débutante Edith.

 Mais contrairement à la rumeur, Asso ne se sera pas inspiré du récit d'un ancien amour de Piaf mais plus sûrement de la liaison de Marie Dubas avec un lieutenant en poste au Maroc, qu'elle épousera d'ailleurs. Et avec Mon légionnaire en poche, c'est un drole d'oiseau, au sombre plumage, qui commence à voleter très haut dans le ciel de la chanson... Piaf.

 

Rideau.

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Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin