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17 janvier 2007 3 17 /01 /janvier /2007 23:14

"Souvenirs souvenirs...

 

Bons ou mauvais, nos souvenirs sont liés de façon indéniable à notre personne la plus profonde. Ils sont les gardiens de notre temple intérieur, comme nos rêves, disait Freud, sont les gardiens de notre sommeil.

Nos souvenirs nous parlent, mais de quoi nous parlent-ils ?

De ce que nous avons été, de
ce que nous avons vécu. Mais aussi et peut être surtout de la façon dont nous l’avons vécu.

Gabriel Garcia Marquez ne disait-il pas : 
"La vie, ce n’est pas ce que l’on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s’en souvient."

Les souvenirs d'enfance, lorsqu'ils ne sont pas la trace d'évènements terribles, sont des niches affectives extraordinaires de drôlerie, d'intelligence, de tendresse, de malice. La vie se dit ici en toute simplicité. Dans toute sa multiplicité aussi.


"Nos  souvenirs sont les gardiens de notre temple intérieur"

 

C'est bien naturel. Combien de vies dans une ?


Trois, cinq, dix, davantage. Si on regarde la vie de
Solange Benitez, elle en dénombre déjà douze. La maison de sa naissance, son premier déménagement à l'avenue Jean-Jaures, l'école primaire Jean Moulin, sa vie de femme mariée, sa grande histoire d'amour...

Chacune de ces vies a contribuer à transformer chaque fois un peu plus l'enfant, la jeune femme, puis la dame qu'elle a été et qu'elle est.  Combien de tranches de vies lui reste-t-elle encore à vivre ? Combien de souvenirs restent-ils à se construire ? Comment les interpréter ?


Les souvenirs sont la marque indélébile de notre individualité, notre signature personnelle, la preuve que ce que nous avons vécu nous a appartenu en propre et n'appartiendra jamais à personne d'autre
 

Toute notre vie est enveloppée de souvenirs. Ils sont notre peau intérieure. Ce n'est que dans certaines circonstances que nous laissons place à nos souvenirs et souvent même à notre insu, une odeur de café, un parfum, une image, un son.

Nos souvenirs réunissent tout ce qu'on a ressenti en bien et en mal. On peut dépouiller les gens, violer leur intimité, les priver de ce qu'ils ont de plus cher, les laisser démunis, sans ressource ; on ne peut dérober leurs souvenirs.


Mais on se souvient de quoi ?

Laissez moi vous relater une expérience : une équipe de psychologues a montré à un groupe de volontaires des photos de personnes qui leur ont été présentées par leur nom, en leur demande de les mémoriser. Ils ont présenté à un autre groupe de personnes les mêmes photos mais en leur indiquant le métier qu'ils excerçaient. Quelque temps plus tard, on leur a remontré les photos et on leur a demandé d'essayer de se souvenir de "qui était qui". Si les volontaires du premier groupe ont eu beaucoup de mal à se souvenir du nom des personnes, en revanche, ceux du second se souvenaient nettement mieux du métier qu'ils exerçaient. 

L'explication est simple, les noms propres ne signifient rien, ils caractérisent simplement la personne qui le porte tandis que le métier donne de nombreux détails sur ce qu'il fait, avec quoi il travaille, ce qu'il produit, avec quelles sortes de gens il est en contact, ce qui facilite d'autant le travail de remémorisation.

Ce qui explique aussi pourquoi beaucoup de personnes lors d'un premier contact commencent par : "Qu'est-ce que vous faites dans la vie ?", ça dévoile le présent mais aussi souvent le passé.

Montre-moi tes souvenirs je te dirais qui tu es ! Les souvenirs avec les animaux fournissent généralement nombre de détails sur la vie affective de la personne et aussi, sur son degré de sociabilité. Les lieux aussi, si en racontant votre souvenir vous commencez par "chez moi", "à la maison", " chez ma grand mère", ça dénote une dimension sécuritaire via l'habitat. Si au contraire vous commencez par "à l'école", "à l'église"... on fait plutôt référence à la communauté. Tandis que si on attaque par "en afrique", " en guadeloupe", "en amérique", il sera aisé de voir un passé révolu mais tinté de nostalgie.


Racontez
 vos premiers souvenirs, les scoop de votre vie, faites parler votre coeur d'enfant... 

Des  "Moi, quand j'étais gamin..." ou des " Vous n'allez pas en revenir mais..." ou des "Moi, mon premier souvenir, ça remonte à ...", suivi d'une histoire personnelle.

Car les souvenirs sont toujours des histoires de soi, des histoires en soi, drôles, tristes, fantastiques, incroyables, phénoménales, ou ordinaires, qu'importe, ce sont des histoires de vie dont nous sommes le personnage principal, l'acteur de nos souvenirs mais aussi le metteur en scène
 ...   
 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 17:05

"D'abord les dialogues : Pas besoin de beaucoup de texte pour les voleurs "Où est le fric ?", idem pour les violeurs "ferme-là !". De même chez les alcooliques : "tu bois un coup ?" et les drogués : "Tu me passes une dose?", pour les autres c'est plus compliqué. "Etre utile", " Choisir sa vie", "croire en la beauté de ses rêves", "prendre sa vie en main", "augmenter son capital bonheur", " se faire un film", "arrêter son cinéma", "faire une comédie",

"Silence, moteur, on tourne..."


La musique ensuite, indispensable pour dicter le rythme et l'humeur, Salvador ne disait-il pas : "on est la chanson que l'on chante" ? Alors à vous de choisir votre partition, écoutez Brel, Obispo et Cabrel si vous voulez une vie nostalgique, Bob Marley si vous souhaitez faire entrer le soleil. La musique est la langue des émotions...


Le décor indispensable, on ne met pas un chien dans un jeu de quille, le décor n'est-il pas le complément indispensable de l'oeuvre ?

Il est important aussi de mettre un coup de projecteur sur la lumière pour une mise au point, elle fait partie intégrante du spectacle, contrairement aux idées reçues, Souriez donc, un sourire coûte moins cher que l'électricité mais donne autant de lumière !


Le choix des acteurs, essentiel, évitez les acteurs qui vous brûlent votre énergie, qui vous énervent.
Certaines relations nous font grandir ; en revanche d’autres nous tirent vers le bas. Il est primordial de savoir avec qui je passe mon temps. "Est-ce que je passe mon temps avec des personnes qui vont m’élever, qui vont me passionner ou au contraire avec des personnes qui vont me pomper mon énergie."  

Pour réussir sa vie, il faut un niveau d’énergie qui se situe entre 80 et 85 %.
Imaginez que vous avez un capital de 100 et que vous avez besoin au minimum de 85 % d’énergie pour réaliser vos projets et avoir le dynamisme qui va vous faire réussir. Vous avez intérêt à identifier ou se trouvent les trous dans la coque. Enfin, Il vaut mieux faire l'information que la recevoir, il vaut mieux être acteur que critique.


On ne lésine pas non plus sur les costumes, l'habit ne fait pas le moine mais quand même. L'habit flatte toujours, si ce n'est pas vous qui êtes élégant c'est votre costume !

 

On passe au scénario, c'est un plan de vie reposant sur une décision faite dans l'enfance, renforcé par les parents, justifié par les évènements ultérieurs, et culminant dans une alternative choisie. Ainsi on rencontrerait toujours les mêmes personnes, on répéterait les mêmes erreurs.  Mais on peut enlever du scénario les scènes de jalousie sur les réussites et le bonheur des autres, éviter les clichés trop pâles d'une love story, oublier les rancoeurs, les doutes et les peurs, ajouter des flash backs pour revoir les plus belles images de sa vie : nos belles rencontres, nos vacances au soleil, nos lits improvisés, nos moments de bonheur... et se repasser le films ur un air de romance en tournant une belle suite en technicolor.


"Quelle suite pour votre histoire sans fin ?"


Le petit chaperon rose ou l'enfant perdu
, un scénario perdant ou Rose perd tout ce qu'elle obtient avec comme slogan "tu n'y arriveras pas, à moins que tu rencontre un prince". Scénario qui repose sur un projet de "jamais". Ce scénario entraîne une réaction dépressive chronique.

Le mythe de
Sisyphe ou chaque fois c'est pareil, chaque fois qu'il arrive tout près du sommet, il redévale toute la pente. Le scénario de l'ancien combattant ou Personne n'a besoin de moi. Son passe temps, les souvenirs de guerre, un scénario de non gagnant car les anciens combattants se font un point d'honneur de ne pas réussir "tu ne peux réussir que si l'on a encore besoin de toi." Celui de Sigmund ou Si tu n'y arrives pas essaie d'une autre façon.  Un scénario de gagneur, il repose sur un sujet de "toujours" : "essaie toujours, essaie encore".

Le synopsis de 
Florence ou tiens jusqu'au bout : Sa mère la veut ambitieuse d'un point de vue social, mais une voix intérieure dit à Florence qu'elle est appelée à une plus haute destinée s'oppose vigoureusement à sa mère pour faire prévaloir sa propre sa propre décision. D'autres gens sèment son chemin d'obstacles, mais au lieu de perdre son temps à jouer des jeux avec eux, elle les évite, recherche de vrais défis et devient une héroïne.

Un scénario de gagneur  où il faut être sur le coup ! Ou peut-être votre propre scénario ? Celui avec vos propres séquences, y aura-t-il des gros plans ? des images floues ? des plans serrés ? quelle musique d'ambiance ? Zoom sur qui ? Qui sera sous les projecteurs ? Qui aura le premier rôle dans votre histoire ? Les seconds ? Y aura-t-il des rebondissements ? 

Générique de fin.
 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
6 décembre 2006 3 06 /12 /décembre /2006 21:29

"Nous sommes tous des spectateurs."

C’est écrit dans les livres, c’est la cause de tous nos malheurs parce que maintenant, il semblerait dorénavant acquis que pour réussir sa vie, il faut être acteur ! 


Les programmes de coaching ne mentionnent pas le rôle (premier rôle, second, figurant), qu’importe, il faut jouer c’est tout. C’est là que Guitry élève le débat : "Un acteur est un menteur autorisé, mais c’est un menteur". Pour Sacha, la messe est dite, pour réussir sa vie il faut mentir ! Mais il en remet une couche en disant, je cite : "Tous les hommes sont des comédiens sauf certains acteurs." C’est donc à la portée de tous !  Il faut donc porter un masque pour prendre les traits de quelqu’un d’autre (un dirigeant autoritaire, un rebelle, un gendarme…) avec à la clé une attitude, un style vestimentaire… puisqu’il n’est plus question de "deviens qui tu es"» mais "deviens l’acteur que tu veux être". Pour la petite histoire, personnalité vient du latin persona qui désignait le masque utilisé par les artistes composant le coeur dans les représentations théâtrales de l'antiquité...


Mais si on se réfère aux programmes de coaching, le conte de fée devient un compte de faits : pour être acteur de sa vie, il faut se fixer des objectifs, se donner les moyens de les atteindre, suivre des principes, atteindre des résultats, avoir une vision…

"Quand on aime un film, c'est parce que l'on rencontre une oeuvre qui vous explique votre vie."

Mais est-ce que c’est l’acteur qui choisit le film ou le film qui choisit l’acteur ? Je reformule : Est-ce que c’est l’acteur qui est à l’origine du film ou l’inverse ? John Malkovitch ne disait-il pas : "Je prends ce qui vient dans l’année. Je ne suis pas du genre à attendre un rôle bien précis, mais j’aurais aimé jouer Howard Hugues, l’homme d’affaire américain à la fois milliardaire, inventeur, et, quelque part, dérangé." Tout est là, John vient tout simplement d’élever le débat.


Il dépasse Lelouch quand ce dernier disait, je cite : "Quand un film vous touche, vous émeut, que vous êtes en larmes, c'est comme si votre propre souffrance venait s'y superposer. Quand on aime un film, c'est souvent parce que l'on rencontre une oeuvre qui vous explique votre vie. Certains films renferment une part cachée de moi : je l'ai ressenti plus que je ne l'ai analysé." 

Ainsi, si on écoute John, on a un rôle mais de temps en temps le cinéma nous dévoile une facette de notre personnalité qu'on aimerait incarner, être, devenir.

Quels sont les films qui vous ont bouleversé ? Est-ce qu’ils vous ont montré la voie ? Est-ce qu’ils vous ont expliqué votre vie ? Quels rôles auriez-vous aimé avoir ?

A vous de jouer...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching
26 septembre 2006 2 26 /09 /septembre /2006 22:00

"Nous sommes le 15 mai 2005, une opération coup de poing, 150 vendeurs à driver, il faut aller vite.

Je décroche le téléphone, appelle un confrère qui répond à la troisième tonalité, extrait : "T'as un truc pour déceler rapidement des personnalités ?"

La réponse fuse : "L'Enneagramme ! une méthode millénaire de connaissance de soi et des autres. Elle définit comment chacun de nous développe en particulier les neuf forces qui caractérisent l'être humain : La perfection, l'amour, la capacité de réussite, la créativité, la connaissance, la loyauté, l'optimisme, le courage et l'acceptation."

L'Enneagramme venait de rentrer dans ma vie, pour ne plus en sortir...


Sa valeur ajoutée est énorme : Neuf bases différentes, neuf types de management différents. On adapte notre approche, notre discours, nos leviers de motivation des personnes à leur type de personnalité. 

"Pourquoi je ne supporte pas la critique ?" "Pourquoi j'ai toujours besoin d'aider les autres ?" "Pourquoi est-ce que je recherche toujours une satisfaction immédiate ?" "Pourquoi suis-je toujours tourné vers le passé ?" L'enneagramme dit tout !

"Un outil bavard, pertinent et malin"

Mais il n'est pas seulement bavard, il est aussi pertinent et son aide dans la constitution des équipes est d'une richesse inouïe. Vous avez du entendre, ça et là, l'expression "qui se ressemble s'assemble", pas dans la vente ! Vous mettez 10 épicuriens ensembles et vous aurez l'île des plaisirs, tous à la machine à café ! 8 altruistes côtes à côtes, vous allez les transformer en Mère Thérésa. 8 romantiques et je vous garantie une dépression générale.

En multipliant les séances de teambuilding, vous pouvez avec cette méthode éviter les conflits, améliorer les relations et de travailler de façon plus harmonieuse en gérant plus efficacement les situations de stress.   

L'enneagramme est aussi malin, parce que c'est bien jolie d'avoir une constitution d'équipe efficace, encore faut-il placer judicieusement les joueurs. Et là aussi la méthode est très efficace, elle tient compte des interactions positives et négatives, "Avec qui doit travailler le perfectionniste ? Pourquoi ?" "Comment faire pour avoir une équation 1+1= 3 ?"

Enfin, au niveau plus technique, cette méthode permet d'éclaircir certaines observations terrains, où on constate notamment qu' il y a des vendeurs qui parviennent difficilement à conclure malgré une bonne analyse des besoins du client  (typique des altruistes) ou des vendeurs qui réussissent à conclure aisément malgré une analyse moins réussie de ces mêmes besoins ( portrait craché des battants). Le succès est dans les deux cas incomplet mais que l'on peut corriger avec cette méthode.

"L'autruche, le pompier, le joueur, l'assureur, la sentinelle et l'explorateur."

Même topo au niveau des managers, confrontés à des incertitudes, ils peuvent avoir six types d'attitude : l'autruche, le pompier (solution d'urgence), le joueur (pari), l'assureur (les garanties), la sentinelle (en retrait) et l'explorateur (transformation du problème en projet). Suivant leur profil, ils auront tendance de lister leurs problèmes dans telles ou telles catégories.

 snipers.jpg

Les Snipers, un cas d 'école : deux observateurs, un altruiste, un médiateur, un protecteur, deux perfectionnistes, une romantique et deux battants. Des jeunes qui ont faim et les dents longues encadrés par des vieux briscards qui connaissent le terrain sur le bout des ongles


Au niveau personnel, l'Ennéagramme nous aide à mieux comprendre la complexité de nos motivations, nos contradictions et nous offre l'opportunité d'une évolution personnelle des plus enrichissante. Cette méthode nous permet aussi de comprendre pourquoi avec certaines personnes le courant passe et pas avec d'autres, elle explique beaucoup d'histoires d'amour et d'amitiés. 

Elle explique enfin qu'au bout d'un certain temps la base secondaire prend le pas sur la base prioritaire. On n'a plus la même vision, les mêmes envies, on change. Ce qui peut expliquer beaucoup de querelles amicales et familiales, mais aussi quelques divorces...   

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Published by Régis IGLESIAS - dans Coaching

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin