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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 12:50

Poulbot-2.jpg"Le chéri de ses dames.

 Une biographie de l'excellent Bernard Lonjon.

 

 6 mai 1889. L'inauguration de la tour Eiffel se déroule en grande pompe. Le monument va devenir le symbole de Paris. Quelques mois plus tôt, à Ménilmontant, un autre futur symbole a vu le jour : Maurice Chevalier.

 Au même moment, le chansonnier Léon Xanrof crée Le Fiacre, qui sera popularisé quelques années plus tard par Yvette Guilbert.

 

 "Un fiacre allait trottinant

Cahin, caha

Hue, dia, hop-là

Un fiacre allait trottinant

Jaune, avec un cocher blanc.

 

 Lorsque Maurice va à l'école, il est petit et gros, ce qui lui vaut le surnom de "Patapouf". Cinquante ans plus tard, il écrira cette chanson en souvenir de cette blle époque et de son quartier natal.

 

 "Les gars de Ménilmontant

Sont toujours remontants

Même en redescendant

Les rues de Ménilmuche

Ils ont le coeur ardent

Le coeur et tout le restant

Tant qu'ils s'en vont chantant

Ménilmontant.

 

 Dans ce quartier d'ouvriers, "Patapouf" cherche à oublier la misère en se bagarrant avec les copains pour quelques billes. C'est pourtant le quartier préféré d'Aristude Bruant, celui qui le rendra célèbre grâce à cette ritournelle.

 

 "Papa était un lapin

Qui s'appelait J.B Chopin

Et qu'avait son domicile

A Belleville.

Le soir avec sa petite famille

Il s'en allait en chantant

Des hauteurs de la courtille

A Ménilmontant, à Ménilmontant !

 

 Paul, le grand frère de Maurice permet à la famille de subsister grâce à son salaire. Le samedi, sa mère accompagne les marmots au spectacle pour les distraire et faire "comme tout le monde". Maurice commence alors à rêver. Il s'imagine lui-même dans ce monde merveilleux. La petite graine est semée.

 Dans le salon indien du Grand Café, boulevard des Capucines, les frères lumières viennent de projeter devant trente-trois spectateurs L'Arrivée du train en gare de La Ciotat. Le 28 décembre 1895, le cinématographe est né. Le comique troupier Polin, lui, ne voit que la caissière.

 

 "Elle est belle, elle est mignonne

C'est un' bien jolie personne...

 

A l'Elisée, Emile Loubet succède à Félix Faure qui a succombé le 16 février 1899 sur le canapé du salon bleu du Palais, dans les bras de sa maîtresse Marguerite Steinheil, l'épouse du peintre.

 Les chansonniers s'esbaudissent. marguerite devient "la pompe funèbre". Quant à son amant président,on dit de lui : "Il s'était cru César, il est mort Pompée."

 Le XXème siècle pointe son nez. La France est coupée en deux depuis l'Affaire Dreyfus qui marquera durablement les esprits.

 Dans les rues, on chante La Paimpolaise de Théodore Botrel et Viens Poupoule, colportées par Félix Mayol, le roi du café-concert.

 

 "Le samedi soir après l'turbin

L'ouvrier parisien

Dit à sa femme : Commed essert

J'te paie l'café-concert...

Viens Poupoule, Viens Poupoule, viens !

Quand j'entends des chansons, ça me rend tout polisson.

 

Maurice est alors tour à tour peintre, apprenti imprimeur, menuisier, électricien, ouvrier mais son rêve demeure : devenir artiste, briller dans la lumière. Ne pouvant être acrobate, il décide de devenir chanteur !

  Il fait ses premiers pas au Céfe des Trois Lions puis enchaînent les contrats. Puis vient la consécration : l'Alcazar de Marseille.

 Le public très difficile broie les vedettes. il siffle, hurle, chahute, n'hésite pas à sortir de scène ceux qui ne conviennent pas. Celui qui entre en lever de rideau avant lui se fait hacher menu par le public. Il ne termine pas sa chanson.

 Quand Maurice descend à son tour dans l'arène, il est mort de trouille et commence à dérouler ses ritournelles dans un silence glacial.

 

 "Ah ! Les p'tits pois, les p'tits pois, les p'tits pois

C'est un légume très tendre

Ah ! Les p'tits pois, les p'tits pois, les p'tits pois

Ca ne se mange pas avec les doigts.

 

 A la troisième chanson, il est bissé. L'Alcazar éclate d'un grand rire sonore. Maurice a gagné, il a conquis la Canebière à dix-neuf ans. Il a ce mot : "Je marche sur une carpette magique."

 

 Ce début de siècle voit l'éclosion de pionniers dans tous les domaines technologiques : Clément Ader et Louis Blériot dans l'aviation, André Citroën et Louis Renault dans l'automobile. En 1900, la première ligne du métro de Paris est inaugurée au cours de l'Exposition universelle. 

 Pendant ce temps, alors que Maurice Garin gagne le Tour de France, Maurice Chevalier reprend en l'imitant avec son chapeau cabossé et son pantalon à larges carreaux, une chanson de Dranem - L'enfant du cordonnier - qui lui va comme un gant.

 

 "Je suis le fils du gniaff, gniaff, gniaff

Qui fait des ribouis

En fait d'orthograph', graph', graph'

J'connais peu de zébie

J'ai tellement le taf, taf, taf

Quand je dis un mot

Que je fais des gaffes, gaffes, gaffes

J'ai l'air d'un idiot.

 

 1908. Maurice vient d'avoir vingt ans. Le plus beau cadeau d'anniversaire lui viendra d'Henri Christiné qu lui offre cette chanson :

 

 "Je suis l'beau gosse

Américain !

Je suis précoce,

J'ai l'oeil coquin.

 

Il rencontre ensuite Fréhel. La môme Pervenche fait le pont entre le Paris d'Aristide Bruant et celui d'Edith Piaf. Son mari lui préféra Damia, sa concurrente brune en fourreau noir dessiné par Sache Guitry, qui se fait un nom dans la chanson réaliste avec La Veuve, un texte contre la peine de mort.

 

 "Voici venir le prétendu

Sous le porche de la Roquette.

Appelant le mâle attendu,

La veuve, à lui s'offre, coquette.

Tandis que la foule, autour d'eux

Regarde frissonnante et pâle,

Dans un accouplement hideux,

L'homme crache son derneir râle.

 

 Chevalier décrit les premiers moments de cette rencontre avec celle qu'il nomme "sa longue folie charnelle" dans ses souvenirs tamisés par le temps.

 Mais extravagante, dévergondée, droguée, Fréhel est tout le contraire de Chevalier. Il s'éloignera progressivement de sa tigresse lascive qui l'embarquera dans d'insatiables parties de plaisir. Le désir fait place à la haine.

 Et ce sera grâce à une fameuse prestation aux Folies Bergère, où il donne la réplique à Mistinguett qu'il rompt définitivement avec l'interprète inoubliable de La Java Bleue, "celle qui ensorcelle quand on la danse les yeux dans les yeux".

 Mistinguett sera son premier grand amour. Il a dix ans de métier quand il s'enroule dans le tapis avec la "Mist". Pour la première, il interprète Les P'tits Gars. Après un timide premier couplet, il enchaîne le second d'une voix plus assurée, son regard s'allume et devient coquin.

 

 "Je vais sur mon chemin

Sans souci du lendemain,

Encontinuant résolument

D'chanter l'amour,

Dans les faubourgs.

Je distingue le mal du bien

En vrai titi parisien.

 

 La foule est subjuguée. Comme la Mist. Le soir, il envoie à "sa gigolette d'Enghien" : "Je ne suis pas un bien grand écrivain, et j'ai appris juste l'alphabet qu'il faut pour t'envoyer quelques baisers... Mes moments d'espoir les plus fous, je te les dois quand je te tiens serrée contre moi dans ce maudit tapis dont il faut toujours sortir trop vite. Nos étreintes sont bien plus prometteuses que les corps de toutes les femmes que j'ai pu tenir dans mes bras."

 Le lendemain, les journaux titrent : "Mistinguett et Chevalier, le couple de la valse renversante, complicité et sensualité."

 Au début du XXème siècle, Max Dearly a créé au Moulin Rouge avec la Mist la valse "chaloupée" ou "danse des apaches", du nom des voyous qui se promènent à Montmartre, la casquette vissée sur le côté.

 Cette valse, qui imite le roulis d'une chaloupe glissant sur l'eau, connaît un succès considérable dans toutes les guinguettes jusqu'à la Grande Guerre.

 La plus célèbre, La Valse brune, a été écrite par Grorges Villard en 1909.

 

 "C'est la valse brune

Des chevaliers de la lune

Que la lumière importune

Et qui cherche un coin noir.

 

 Puis la valse devient "renversée". La partenaire tenue par la taille, cambre ses reins pour dessiner une belle arabesque., tout en continuant à tourner. Enfin, elle se transforme en "renversante" quand le couple de danseurs bouscule sur son passage tout les objets et meubles à portée de fesses avant de basculer ensemble et de s'enrouler dans un tapis pour disparaître.

 C'est cette danse que le couple Mistinguett-Chevalier va populariser dans ces années-là.

 Nous sommes en 1913. Une époque insouciante où l'on chante Le Dénicheur et Si tu veux... Marguerite colportée par le grand Fragson.

  "Si tu veux faire mon bonheur

Marguerite, Marguerite.

Si tu veux faire mon bonheur

Marguerite donne-moi ton coeur.

 Le 28 juin 1914, l'héritier du trône d'Autriche est assassiné à Sarajevo par un Serbe bosniaque. C'est le déclencheur de la guerre, l'étincelle qui embrase l'Europe.

  Ce sera alors la pleine période des tourlourous qui vont triompher auprès des poilus avec une servante, belle, bienveillante et peu farouche, qui leur apporte le temps d'une chanson l'illusion du bonheur avant de retrouver leurs tranchées cauchemardesques. Cette servante, c'est Madelon, bien sûr.

 

 "La Madelon pour nous n'est pas sévère,

Quand on lui prend la taille ou le menton,

Elle rit c'est tout l'mal qu'elle sait faire,

Madelon, Madelon, Madelon.

 

 Mistinguett continue à acclamer son public, passe entre les rangs des spectateurs avec sa parure de plumes, montre ses gambettes dans une douce  euphorie et chante pour ceux qui se battent pour la France. Le cri des poilus :

 

 "A nos poilus qui sont au front

Q'est c'qui leur faut comme distraction ?

 Une femme, une femme !

 Qu'est c'qui leur f'rait gentiment

Passer un sacré bon moment ?

Une femme, une femme !

 

 Blessé, Maurice sera fait prisonnier puis sera libéré grâce à la Mist.

 Les retrouvailles sont poignantes. Il retrouve avec gourmandise les gambettes de sa douce folie, qu'elle interprète avec délectation dans cette chanson fétiche écrite par le complice de Maurice, Albert Willemetz :

 

 "On dit que j'ai de grandes quenottes

Que je n'ai que trois notes

C'est vrai

On dit que j'ai de belles gambettes

Mais j'serais pas Mistinguett

Si j'étais pas comme ça.

 

 Mais le retour à la vie parisienne est difficile. Mistinguett est navré. Les premières disputent séparent le couple.

 Huit mois plus tard, l'armistice est signé. Maurice chante La Madelon de la victoire, écrite dans l'euphorie des évènements.

 

 "Madelon, emplis mon verre,

Et chante avec les poilus,

Nous avons gagné la guerre

Hein ! Crois-tu, on les a eus !

 

 Paris redevient alors le lieu des plaisirs. Les rythmes syncopés du ragtime et du jazz naissant envahissent les cabarets, d'autant que les premiers disques arrivent d'Amérique. En France, on en est encore à danser la java dans les bals et les guinguettes.

 

 "L'grand Julot et Nan a,

Sur un ai de java,

S'connur'nt au bal musett'

Sur un air de javette.

Ell' lui dit : "J'ai l'béguin."

Sur un air de javin.

Il répondit : "Tant mieux !"

Sur un air déjà vieux.

 

 Entre maurice et Mistinguett, les disputtes sont de plus en plus fréquentes. Maurice est engagé en cachette au Palace de Londres par la grande artiste Elsie Janis, et quitte le Casino de Paris. "Mist" est sous le choc, accuse le coup. La plaie qui vient de s'ouvrir ne se refermera plus.

 Elle écrit : "Je ne suis même pas capable de retenir le seul homme que j'ai vraiment dans la peau, le seul qui m'ait fait vibrer."

 

 Elledemande à ses amis de lui écrire une chanson qui décrive toute l'abnégation, tout le renoncement dont sont capables les femmes pour les hommes qu'elles aiment, quelque chose qui exprime à la fois son incontournable souffrance et son seul bonheur : son homme.

 Cette chanson fera le tour du monde. Chaque fois qu'elle interprète Mon homme, c'est pour lui, pour son Maurice, le seul véritable amour de sa vie.


 "Je l'ai tell'ment dans la peau

Qu'j'en d'viens marteau,

Dès qu'il s'approch' c'est fini

Je suis à lui

Quand ses yeux sur moi se posent

Ca me rend tout'chose. 

 

 De retour en France, il teste l'excentrique Oh ! Maurice.

 "Oh ! Maurice

Oh ! Maurice

Oh ! Maurice oh !

Dis-moi pourquoi qu'ta mère t'a fait si beau

J'suis pas un homme

J'suis un poisson

Un bouquet, une fleur, un roseau !

 

 Cette chanson emballe la salle, qui lui réserve un accueil  triomphal jusqu'à la fin du spectacle où il danse comme un Dieu.

 Sa gestuelle fait rire et attire un public de plus en plus nombreux. Son répertoire s'enrichit :

  J'lai trempé dans l'amidon, Sur le trottoir roulant d'Alphonse Tellier, En labourant la bourdinguette de Jean-Louis Ithier, mais aussi C'était une fille, sur le thème de la confusion des sexes dont raffole la Belle Epoque, et que Maurice a enregistrée sur un disque reprenant d'autres chansons interlopes.


 J'appris que la femme

Dont elle était l'mari

Etait un garçon frisé

Que pour fille on faisait passer.

 

 Plus tard, dans l'opérette Dédé, il enchaîne :

 

 "Pour bien réussir dans la chaussure

Portez tout simplement

Un corsage dans l'échancrure

Laisse voir des trésors charmants.

 

 Surtout, une chanson va faire sa fortune. Elle sera fredonnée par la France entière pendant au moins deux générations :

 

 "Dans la vie faut pas s'en faire

Moi je ne m'en fais pas

Toutes ces petites misères

Seront passagères

Tout ça s'arrangera.

 

Les souvenirs de Maurice Chevalier : Tome 1 ; Tome 2 ; Tome 3

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Published by Régis IGLESIAS - dans Les souvenirs de ...

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin